l faisait un temps merveilleux aujourd’hui, et pourtant on est en plein hiver. Mais c’était juste un temps parfait pour aller à la piscine. J’avais donc pris la voiture et était parti en direction de la piscine municipale. J’avais besoin de faire un peu de sport et me défouler en faisant des longueurs serait parfait tout simplement !! Arrivant ensuite, je paie rapidement mon entrée, heureusement il n’y avait pas grand monde au guichet. Je file rapidement au vestiaire pour me changer et enfiler mon maillot de bain. Ensuite direction les douches, l’eau tiède coulait sur ma peau, cela me faisait un bien fou. En profitant de ma soi-disant douche, j’observe un peu ce qui se passe autour de moi. Il n’y avait pas grand monde non plus dans la piscine apparemment, au moins j’allais pouvoir nager tranquillement sans que l’on se marche sur les plates bandes, ce que je détestais cordialement. Une fois que j’étais bien lavé, je passe le bain des pieds et me dirige vers le bassin. Déposant ma serviette sur un rebord, je vais pour m’avancer vers le grand bassin quand je tombe nez à nez avec... Timéo, quelques mètres plus loin. Je déglutis difficilement, en une semaine beaucoup de choses ont changées. J’ai commencé à lire son livre et j’avais rapidement compris que cette histoire était très certainement très inspirée de son passé. Alors j’avais l’impression de le connaître comme peu de monde. Bien sûr, j’avais continué de lui donner cours, mais maintenant, j’évitais de passer du temps en sa présence s’il y avait d’autres personnes aux alentour, pour la simple raison que j’avais dépassé ce statut de professeur-élèves. Au bout de quelques jours après que je sois passé à son appartement, j’avais compris qu’il y avait bien plus qu’une petite admiration. J’était tout bonnement attiré par ce jeune homme. Il faut bien dire que mes yeux ne pouvaient s’empêcher de profiter de la vue qu’il m’offrait sur son corps parfait. Bien sûr, c’était contre nature pour moi, même si j’assume pleinement mon homosexualité. Mais je n’avais pas le droit d’être avec lui, j’étais son professeur... Et je peux dire qu’en ce moment je déteste être son professeur, et être professeur tout court. Mais je ne peux pas l’ignorer comme si je ne l’avais pas vu, simplement parce que je le fixais depuis au moins deux longues minutes, et que je n’avais pas bougé, alors qu’il semblait proche d’un autre mec, ce qui ne me plaisait guère.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Dim 2 Mar - 12:04
Il avait un entrainement aujourd'hui, c'est pourquoi il s'était rendu à la piscine municipale, enfin c'était pas un entrainement officielle, sinon il serait à la piscine de l'université, mais un des membres de l'équipe lui avait demandé s'il voulait venir s'entrainer avec lui alors il avait accepté. Avec leur place dans l'équipe il avait une passe pour la piscine, il n'avait donc pas besoin de payer pour y aller, surtout qu'il y travaillait aussi comme sauveteur. Il avait passé rapidement par les vestiaires, la douche pour ensuite rejoindre son ami qui était déjà arrivé. Il s'assit sur le bord de la piscine du côté le plus creux afin de parler avec son ami et planifie un peu leur entrainement. Il regarda autour de lui et fut troublé par la personne qu'il vit, son prof, qu'est-ce qu'il faisait ici. Enfin il avait une vie comme tout le monde, il avait le droit de venir profiter de l'eau... Il avait eu l'impression qu'il l'évitait un peu dernièrement, depuis qu'il était venu chez lui à vrai dire, mais peut-être qu'il se faisait des idées. Enfin, il sortit de ses pensées et se leva, il y avait pas trop de monde à la piscine, mais il y avait quelque famille, donc des jeunes qui ne vont pas attention. Il commença à marcher pour aller voir son horaire tant qu'à être ici, autant en profiter, mais quand il marchait un enfant qui courrait lui fonça dedans et le plancher glissant l'empêchait de garder son équilibre et il se retrouva sur le sol la tête cognant le sol. Ça lui pris quelques secondes pour réaliser ce qui était arrivé et pour se redresser, son ami était approcher. « Ça va Tim ? » Il se frotta la tête faisant oui de la tête, au moins il ne saignait pas, mais il était quand même sonné. Il resta assis pour être sur de ne pas retomber et attendre d'être complètement sur qu'il pourrait tenir sur ses pieds. Faut dire que ça avait quand même cogner fort lorsqu'il était tombé, il pourrait avoir une commotion. Il se mis à penser à Liam qui était là, il allait penser quoi? La phrase qui l'avait hanté depuis que celui-ci était partit de chez lui, il avait bien préciser qu'il n'avait pas de petit-ami... pourquoi préciser petit-ami, il était loin de se douter que son prof était gay, mais ça lui avait fait un petit quelque chose et pas de mauvais, non, de l'espoir? Peut-être, mais c'était idiot, c'était son prof... D'ailleurs il le voyait approcher ou c'était ses yeux qui lui jouait des tours à cause de la chute...
aire des longueurs pour oublier que j’étais complètement fou de Timéo, ça devrait m’aider pour quelques temps. Mais je sais que ça ne me fera pas oublier le problème... Surtout que j’allais continuer à le croiser et à le voir en classe. Et que je ne pourrais pas continuer à l’éviter, surtout que maintenant il faisait des efforts pour participer davantage, et que je ne pouvais pas ruiner ses efforts. Mais rien que d’entendre sa voix, ça me chamboulait, j’avais envie de faire des choses interdites. C’était assez déstabilisant puisque je ne le connaissais pas tant que ça au final. Juste à travers son livre. Mais je crois qu’également sa timidité, sa façon de se comporter a eu raison de mes barrières que je m’étais fixé. En tant que professeur, je m’étais fermement interdit de ressentir quoique ce soit pour mes élèves, qu’une certaine confiance dans leur travail. Et voilà que Timéo dérogeait parfaitement à la règle. Règle que je n’avais plus envie de suivre à la lettre dernièrement. Mais il est vrai que cela serait très mal vu et que je risquerais simplement de me faire virer du lycée si jamais je venais à entamer une relation avec un élève. Mais pour l’instant rien ne se passait et c’était tant mieux, j’avais besoin de temps pour réfléchir aux implications de mon ressenti, et aussi de savoir si ce n’étais pas juste physique. Ce qui serait plutôt facile à repousser, je ne suis pas un grand fan des relations sans lendemain. Mais j’avais comme cette impression que c’était mal parti. Et l’évènement qui suit confirma mes soupçons. Alors que je le vois tomber, mon coeur loupe plusieurs battements avant de s’affoler. La peur s’introduit dans mon esprit, sournoise, vicieuse. Alors que je vais pour m’approcher, son ami s’approcha également, je pesta intérieurement, stop. Il fallait vraiment que j’arrête de pester alors qu’il n’y avait rien entre nous, il n’y avait pas de raison que je sois... jaloux... d’un autre mec, je n’étais rien pour Timéo. Mais i repartit aussi rapidement, sans même prendre le temps de demander des secours, quel inconscient, Tim venait quand même de se cogner la tête ! Je m’avance donc rapidement vers Tim, la peur qui me broyait toujours les entrailles. « Tim... ! » Arrivé à sa hauteur je m’accroupis et pose mes deux mains sur ses épaules, prêt à réagir si jamais il le faut. « Ca va ? Tu peux te lever ? » Mes yeux crevaient l’inquiétude, mais je m’en foutais complètement qu’il le voit. Oups. Je n’aurais pas dû le toucher, maintenant mon esprit s’égare sur la douceur de sa peau. Et sur le fait que sa bouche était drôlement attirante.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Dim 2 Mar - 15:14
C'est vrai que son ami pouvait être un idiot parfois, mais lui qui l'intéressait vraiment était en train d'approcher, son professeur, Tim se frottait toujours la tête alors qu'il pensait à la dernière semaine, les cours, il avait commencé à participer un peu. Liam en semblait content, mais d'un autre côté, il y avait un petit quelque chose qui le troublait dans l'attitude du prof. Est-ce que c'était à cause du livre qu'il lui avait passé, lui qu'il lui avait écrit... Ou sa dernière question avant qu'il ne parte. D'ailleurs, il avait eu l'impression de le faire fuir, car juste après sa question il avait dit qu'il devait partir. Il s'était trouvé idiot d'avoir posé une question comme ça, il aurait du s'en tenir à des questions à propos du cours. Quand il l'entendit dire son nom, ça lui fit une chaleur à l'intérieur de lui. Il semblait inquiet, enfin c'est ce que Timeo avait l'impression de voir dans les yeux de celui-ci. Par contre, qui ne serait pas inquiet, il aurait sûrement réagit de la même façon avec un autre. Ses mains sur sa peau, il aimait ce contact, c'était si agréable, il eu un petit sourire, il voulait le rassurer. « Oui ça va... j'ai juste un peu mal à tête, ça devrait passer. » Il travaillait se soir, il ne pouvait pas être malade, il n'était pas radin, mais il avait besoin d'argent pour tout payer, il n'avait pas personne pour l'aider à payer sa nourriture, son appartement et son université. Il voulait savoir s'il pouvait se lever, il hocha la tête et dit : « Oui je crois... » Il se redressa afin d'être assis complètement puis il se leva, il tenait bien sur ses jambes, enfin un instant puis il perdit un peu équilibre et posa sa main sur l'épaule de Liam en réflexe, mais il aimait bien sentir la peau de celui-ci contre sa peau. « Merci... » Il ne put s'empêcher de regarder le corps de celui-ci, il était vraiment mignon, très beau, pourquoi il lui faisait autant d'effet, c'était un homme, non normalement c'est une femme qui devait lui faire cet effet. Il n'était jamais tombé amoureux avant, enfin si c'était ce qu'il était en train de faire.. tomber amoureux de son prof. Il ne le devait pas, c'était mal... Il devait s'éloigner de lui, il allait devenir fou sinon et dire encore des conneries et le faire fuir. « Je crois que je ferrais mieux de rentrer, aller me mettre de la glace. » Le mieux serait qu'il aille à l'hôpital, mais il n'avait pas trop envie d'aller attendre des heures dans une salle d'attente pour se faire dire qu'il avait une commotion et devrait faire attention de ne pas s'endormir.
on mais sérieusement, qui c’est qui pouvait laisser seul quelqu’un qui venait de lourdement chuter ? Pas moi en tout cas. Bon, fallait que j’arrête de me plaindre, sinon je n’aurais pas pu aller voir comment il allait, et je n’aurais pas pu être à ses côtés. Donc faut vraiment que j’apprenne à relativiser. Et puis, je pourrais peut-être être un peu moins distant vu que l’on était dans un endroit neutre, même si on courrait toujours le risque de se faire surprendre, bon de toute façon on ne faisait rien de mal -enfin pas encore- donc personne n’aurait quelque chose à redire. Mais je dois bien avouer, que la lueur que j’ai aperçu dans ses yeux quand je lui ai voué à demi-mot que j’étais gay, ne m’a pas laissé indifférent. Et j’avais dès lors compris qu’il était certainement gay. Mais pour l’instant c’était la peur et l’inquiétude qui primait. Je voulais savoir s’il allait bien et s’il devait aller consulter, même si je le pensais fortement. Mais bon, je ne devrais pas être le seul à m’inquiéter de cette chute, normalement. Je le vis sourire, et je hoche tout simplement la tête. « Certain ? Tu veux un médicament ? » Je ne desserrais pas mon emprise, et de toute façon je ne comptais pas le lâcher avant de savoir vraiment s’il allait bien et d’en être certain. Les chutes de ce genre, c’est toujours dangereux, et je n’aimerais pas savoir qu’on a négligé quelque chose. Je me redresse donc alors qu’il me confirme pouvoir se lever, mais je ne peux empêcher de dériver mon regard sur son corps musclé. Mais je ne reste pour autant pas très loin. Et j’avais bien fait. Sentant une main sur mon épaule, je remarque dans la seconde qui suit qu’il flanche. Passant mon bras autour de sa taille, je le ramène tout contre moi afin de le soutenir. « On va aller consulter un médecin. Que tu le veuilles ou non. ». Le soutenant toujours, je commence à m’avancer vers les vestiaires, attrapant au passage ma serviette, tant pis pour les longueurs, tant pis pour mes résolutions de me tenir loin de lui. Mon coeur en avait décidé autrement. Je ne pourrais pas rester neutre face à ce jeune qui faisait battre aussi violemment mon coeur, mais je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir le protéger à tout prix. Je resserre mon emprise, arrivant dans les douches, je soupire bruyamment. « Je ne te lâche pas avant que tu sois dans un cabinet médical, et même après. Tu vas aller me faire examiner ta petite tête, et je t’emmène pour être certain que tu le fasses. » J’avais peur, vraiment, alors ce n’était pas le moment de faire sa rebellion. Me séchant rapidement, j’attends que Tim fasse pareil avant d’aller en cabine pour me rhabiller. Je l’aide à aller jusqu’à son casier pour qu’il prenne ses affaires avant d’aller en cabine. « Si tu as besoin, je serais juste à côté. » Je serais bien resté pour l’aider, mais j’ai peur de ne plus me contenir avec cette proximité.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Dim 2 Mar - 20:07
Non, il n'avait pas besoin de médicament, il avait juste besoin de glace, il avait juste mal à la tête à cause de la chute et il ne pense pas qu'un médicament pourrait changer quelque chose, mais peut-être que le médecin que celui-ci allait le forcer à aller voir lui conseillerait quelque chose. « Oui... juste de la glace devrait faire l'affaire. » Il s'était appuyer sur lui afin d'avancer jusqu'aux vestiaires et il pris sa serviette aux passages. On, il aimait entendre ce mot sortir des lèvres de celui-ci surtout quand il était inclus dans le "on" vraiment c'était tellement agréable de le sentir près de lui, pourquoi c'était si bien? Pourquoi il se sentait si bien en sa présence. Il aurait pu marcher seul après un petit moment, mais il resta appuyer sur celui-ci, juste parce qu'il se sentait bien. Il ajouta même qu'il allait l'amener qu'il le veuille ou pas. Il eu un petit sourire et répondit : « Bon d'accord... mais je peux y aller seul si jamais tu as quelques choses de prévu... je voudrais pas gâcher ta journée... » Après tout, il ne voulait pas le forcer, surtout que dernièrement, il l'avait sentit un peu distant. Il s'essuya en même temps que celui-ci avec sa serviette, puis il pris ses vêtements dans sa case et il entra dans la cabine à côté de Liam qui lui dit qu'il était là si besoin. Il fut vraiment touché par exemple par tout ce qu'il disait, il était vraiment gentil, attentionné, vraiment, pourquoi il l'ai autant. « Merci... vraiment c'est gentil de ta part, tu es sur que tu veux m'accompagner? Tu sais je dois juste avoir une petite commotion, rien de bien grave.... » Bon c'était quand même grave une commotion, il devait s'assurer qu'il ne dorme pas durant 24h afin qu'il ne s'endorme pas et se réveille plus jamais, c'était quelque chose qui pouvait arriver, mais dans les cas les plus grave. Il fini se s'habiller enfilant une paire de jean et un t-shirt, puis il mis sa veste et sortit de la cabine. Il pris clés, celle de son appartement bien sûr, comme il n'a pas de voiture. Enfin bref, il lui regarda un moment celui-ci, il était aussi mignon en maillot qu'habillé, il avait pris récupérer son équilibre, mais il avait gardé un sérieux mal de crâne ainsi qu'il voyait un peu flou, mais il ne le dit pas, il le dira au médecin comme de tout façon Liam avait l'intention de le forcer à aller le voir. Il lui dit : « Merci de m'avoir aidé à marcher... j'étais un peu étourdi après ma chute... » Il lui adressa un petit sourire, mais reste qu'il était un peu mal à l'aise de gâcher la journée de celui-ci. C'était peut-être égoïste de sa part il en était pas moins content de pouvoir passer du temps avec lui... Il le suivit à la voiture de celui-ci et il entra dans la voiture côté passager, le mouvement de s'asseoir l'étourdit un peu, le faisant prendre sa tête dans sa main et fermer les yeux, il avait l'impression qu'il allait vomir, lui qui pensait être débarrassé des étourdissement il s'était trompé, finalement c'était peut-être mieux de suivre le conseil de Liam et que celui-ci reste avec lui même après le médecin.
Il avait l’air d’être une vraie tête de mule. si ça ne tenait qu’à moi il y aurait longtemps que j’aurais appelé les secours. Mais bon, je ne le connaissais pas assez pour me permettre de l’emmener manu militari. Mais il n’échapperait néanmoins pas au médecin, heureusement on se trouvait dans une petite bourgade et le médecin était souvent le plus disponible pour les urgences. « On verra. Ca pourrait déjà aider, on verra avant de sortir si les guichetières peuvent nous en passer. » Elles devaient certainement en avoir dans un de leur congélateur, j’en suis presque certain. Arrivant dans les vestiaires, la peur me tiraillant toujours autant les entrailles. Mais le désir commençait à y trouver sa place, surtout dès que je l’ai eu contre moi. J’avais eu chaud d’un coup. Et surtout, je me rendais compte que ce n’étais pas si ridicule que cela. Après tout certains étaient attiré par l’argent, alors que moi c’était pour tout autre chose. « Non, je t’accompagne, que tu sois d’accord ou pas. Et tu ne me déranges pas, aucunement. » Je souris légèrement, même si je n’étais pas très fier de mes derniers agissements. Je n’aurais peut-être pas dû être aussi distant, vu que ça ne changeait rien apparemment. Le laissant dans la cabine, je ne me presse pas de sortir. Je lève les yeux au ciel, s’il croit vraiment que j’allais le laisser. « Je suis certain et intransigeant sur ça. Rien de bien grave, Tu te fou de moi ?! » Oui, j’étais littéralement inquiet, plus que je ne l’aurais été pour d’autres. Alors je ne le lâcherais que quand il irait mieux même si pour ça il faudrait qu’il vienne chez moi et qu’il y passe la nuit. Mais ça, ça serait à en discuter avec le médecin. Bref, je me rhabilla rapidement, au cas où Tim’ aurait besoin de moi, et je dois bien avouer que cette possibilité me réjouit. Une fois habillé, je sors rapidement de la cabine et m’apprête à frapper à la cabine de Tim pour savoir si tout va bien. Mais la porte s’ouvrit en même temps. Je lui souris doucement, repassant mon bras autour de son corps, hors de question que je le lâche maintenant, je m’étais bien trop inquiété pour ça, et je ne serais pas rassuré avant le médecin. Commençant à avancer pour sortir de la piscine, j’étais quand même heureux qu’il l’admette. « Un peu ? Beaucoup tu veux dire ! » Je lâche un rire, le resserrant davantage contre moi. Passant au guichet pour savoir s’ils ont de la glace, je peste parce qu’elles n’en ont pas que que donc, Tim allait devoir rester avec cette douleur sans même pouvoir la soulager un minimum. Je lui ouvre la porte de ma voiture afin qu’il s’y installe. Le temps que je fasse le tour de la voiture pour monter du côté conducteur voilà que Tim se prends la tête entre ses mains. Je grimace, mon inquiétude revenant au triple galop. Posant ma main dan sa nuque, je la caresse doucement en attendant qu’il se calme. « dis-moi quand on peut y aller.. » Passant ma main dans ses cheveux, je les caresse doucement. Je n’aimais vraiment pas le voir aussi mal.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Dim 2 Mar - 22:20
Il ne hocha pas la tête, mais il lui fit comprendre que c'était correct, il avait mal au crâne dès qu'il le bougeait alors il tentait de limiter un maximum ses mouvements et le fait de pouvoir se tenir à celui-ci aidait beaucoup. Il fut soulager que celui-ci l'accompagne et surtout que ça ne le dérange pas, il eu un petit sourire. « D'accord... merci. » Il arriva ensuite dans le vestiaire et se changea et une fois habillé celui-ci ouvrit la porte et Liam passa son bras autour de lui. C'est vrai qu'il était vraiment étourdit, il s'était trompé, finalement la chute avait été plus violente qu'il ne le pensait, au moins il n'avait pas saigner, enfin il espérait, mais en se passant la main dans les cheveux il avait juste sentit une petite bosse, mais pas de sang. C'était déjà un point positif. Il avait ensuite fait le chemin pour se rendre à la voiture de celui-ci et faut l'avouer il ne se lassait pas de le sentir tout prêt de lui, mais il fut aussi déçu d'apprendre que les réceptionnistes n'avaient pas de glace qui aurait vraiment aidé, il allait devoir attendre d'être à l'hôpital.
Il fut surpris en sentant la main de celui-ci sur sa peau, sa nuque et lui caresser les cheveux, ça lui faisait vraiment du bien, comme si une petite chaleur parcourait son corps faisant accélérer les battements de son coeur. Il rouvrit les yeux pour le regarder un instant. Ce qu'il était gentil, trop gentil, il avait envie de se blottir dans ses bras, de sentir les bras de celui-ci qui l'entour alors qu'il n'a jamais ressentit ce besoin avant. Il se redressa un peu pour s'appuyer sur le dossier du siège puis il lui dit : « On peut y aller. » Il eu un haut de coeur, mais il arriva à se contenir et regardait la voiture, plutôt que le décor qui risquait de lui faire tourner encore un peu plus la tête. Autant regarder quelque chose qui bouge pas. Une fois arrivé au urgence, il se retrouva à nouveau collé à Liam qui l'aidait à tenir debout et il s'assit sur une chaise dans la salle d'attente et laissa Liam aller parler à la secrétaire des urgences. Il avait le coude appuyé sur sa cuisse et la tête dans sa main les yeux fermés, ça diminuait un peu la douleur de ne pas bouger, garder une position fixe et il tenait sa tête ainsi il n'avait pas à forcer pour la tenir droite. Quand Liam s'installa à côté de lui il ne pu s'empêcher de lui demander : « Pourquoi tu étais si distant cette semaine? J'ai dit quelque chose l'autre fois? Ou fait quelque chose? Ou encore c'est mon livre... il est si nul que t'ose pas m'en parler. » Il eu un petit sourire, mais fit une petite grimace de douleur ça lui donnait mal à tête de rire. Rire = douleur donc il se rappela que rire était une mauvaise idée. Mais il avait besoin de savoir et autant en profiter alors que celui-ci est ici et qu'ils n'ont rien d'autres à faire en attendant que le médecin se libère.
e soupire doucement, l’aidant du mieux que je pouvais jusqu’à la cabine. Je n’avais vraiment jamais été inquiet comme ça pour quelqu’un que je connaissais à peine. Enfin à peine était quand même un bien grand mot. Mais maintenant, je crois que je ne pourrais plus nier que j’étais vraiment attiré par ce jeune homme, grand bien me fasse. Je le reprends donc contre moi pour l’aider à sortir.
Une fois dans la voiture, ce geste m’avait paru si naturel, je ne m’en choqua même pas de le faire. Je n’étais même pas gêné du fait que je n’avais plus du tout envie de retirer ma main de ses cheveux. J’ai même envie de lui redresser son visage, et de l’embrasser, de lui enlever toute cette douleur qui tirait son si joli minois. Lorsqu’il se redressa pour me regarder, je ne pus que lui sourire faiblement, étant toujours inquiet, mais je n’avais pas retiré ma main de sa nuque. Son contact m’électrisait, je n’avais jamais ressenti cela avant. Si c’était ça l’amour, alors je voulais bien m’y abandonner. Je hoche la tête. « Alors c’est parti, si jamais ça ne va pas tu me le dis, et je m’arrête. » Je démarre et roule donc jusqu’aux urgences. Heureusement celles-ci n’était pas trop loin de la piscine. Tout se déroula sans encombre, je me gara et sortit rapidement pour reprendre contre moi Tim. Je le déposa sur une des chaises en salle d’attentes des urgences avant de me diriger à l’accueil où j’expliquais la situation à l’infirmière de garde. Je soupire alors qu’on me dit qu’il y aura au moins une bonne demie heure d’attente. Je reviens vers Tim et l’observe pendant quelques secondes, je ne peux empêcher mon corps de réagir, ce qui n’est vraiment pas le moment. M’installant à ses côtés, je lui annonce : « Il va falloir patienter, apparemment, il y a beaucoup de maladroit aujourd’hui ! » Mais il me demande soudainement ce qui s’est passé cette dernière semaine, pourquoi j’ai été si distant. Et mince moi qui avait cru que c’était passé inaperçu, j’avais tout faux. Je prends une profonde inspiration avant de le regarder, assez tendrement. « Non... Rien de tout cela, tu n’es pas fautif... C’est... C’est...moi. » Je passe une main sur mon visage ce n’était pas le bon lieu pour les déclarations, vraiment, mais je pouvais au moins lui dire que j’avais dévoré son livre. « Ton livre, il est incroyable. Très bien écris, et dis-moi si je me trompe, mais je suis presque sur que ton passé t’a fortement inspiré ? » Cette histoire m’avait réellement ému, elle m’avait profondément touché. Je posais de nouveau mon regard attendri, sur Tim, sa barbe naissante encadrait parfaitement son visage, lui donnant un air plus viril, moins juvénile. Et j’aimais bien ces deux facettes de tim. Passant une main autour de ses épaules, je l’attire contre moi, déposant un baiser sur son crâne. J’attendais avec impatience le médecin, qui arriva plus rapidement que prévu. Il s’excusa auprès de nous, nous disant que Tim devait rapidement passé aux examens pour définir ce qu’il avait rapidement. Mais je ne pouvais pas l’accompagner. Je soupire et me tourne vers Tim. « Vas-y, je t’attends ici, je ne bouge pas. » Pour appuyer mes dires, j’attrape ses doigts, que je serre fébrilement entre ma main avant de la relâcher, le laissant partir aux examens. M’installant dans un fauteuil, je ne me rends même pas compte que je m’endors en l’attendant.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Dim 2 Mar - 23:30
Il se sentait si bien auprès de lui que ça en devenait presque mal, enfin à ses yeux, c'était son professeur, il ne voulait pas lui attirer des problèmes, les relations avec un professeur n'était pas possible. Il hocha doucement la tête, mais valait mieux se rendre directement et que le mal passe, c'était mieux comme ça. Il ouvrit les yeux quand il le sentit revenir et lui dire qu'il allait devoir attendre un peu comme il y avait beaucoup de maladroit. « Hey je suis pas si maladroit... » Faut dire qu'il serait pas tomber si le jeune ne lui était pas foncé dedans, il était habitué de marcher sur un sol glisser et ne tombait plus. Il voulait par contre comprendre pourquoi son prof avait été si distant, alors il lui demanda, mais il lui dit que c'était lui le fautif. Pourquoi? Il allait poser une question, mais celui-ci parla de son livre et lui demanda s'il était inspiré de son passé, il baissa la tête un instant, regardant le sol alors qu'il savait que certains passage pouvait être assez troublant sur ce qu'il avait pu vivre et intime dans un certains sans. Il disait même qu'il était puceau dans son livre, il n'arrivait plus à croire qu'il lui avait laissé le lire, comme il avait pu oser. À quoi il allait penser. « Oui... beaucoup, ça me faisait un peu de bien de l'écrire aussi. Mais vraiment tu le trouve bien? J'étais pas trop sûr... j'aimerais bien être écrivain, j'adore écrire, mais je sais pas trop si mes romans seraient de bon vendeurs... sinon je pourrais être professeur, mais encore je me vois pas trop devant une classe... » Il parlait un peu trop et ça lui donnait mal au crâne, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Il le sentit l'entourer de son bras pour le coller contre lui et lui donner un baiser sur le dessus du crâne, il eu un petit sourire et se laissa faire afin de se blottir contre lui. Il se maudit quand le médecin arriva, disant qu'il devait venir, il n'avait pas envie de se séparer, il était si bien. Il se leva et lui adressa un sourire alors qu'il sentit la main de celui-ci entrelacer leur doigts et serrer sa main en lui disant qu'il ne bougeait pas. « Merci Liam. » Il lui adressa un sourire sincère alors qu'il suivit le médecin qui l'amena passer quelques tests. Ça pris plus de temps de prévu, mais comme il avait fait une bonne chute il ne voulait pas prendre de chance. Mais comme il le pensait il n'avait qu'une commotion, mais ce n'était pas à prendre à la légère et lui dit de ne pas dormir durant plus d'une heure de suite si besoin, mais le mieux était encore de ne pas dormir et lui donna des médicaments pour la douleur et les nausées lui conseillant aussi de mettre de la glace et de revenir si jamais il n'allait pas mieux. Il lui conseilla aussi de ne pas rester seul, il sortit de la salle pour se rendre dans la salle d'attente et il y vit Liam qui s'était endormit, il était mignon, trop mignon comme ça. Il s'approcha et toucha la main de celui-ci. « Liam... ? C'est beau on peut y aller... » Il lui laissa le temps de se réveiller et il sortit de l'hôpital avec celui-ci, il eu envie de glisser sa main dans celle de celui-ci puis une fois dans l'auto il lui dit ce que le médecin lui avait : « J'ai une commotion comme je pensais... faut pas que je dormes plus d'une heure de suite durant les prochain 24 h et j'ai des médicaments pour la douleur et les nausées... » Il marqua une pause, il ne voulait pas être un poids, mais d'un côté il avait envie de rester avec Liam et il ne connaissait pas vraiment une autre personne à qui il pourrait demander ça.. « Il m'a conseiller de ne pas rester seul aussi, par précaution... » Il n'osait pas lui demander, s'essuyant ses mains moites sur son jean. Il pouvait sentir son coeur battre à une vitesse folle, il avait envie de l'embrasser, que ça soit le premier homme à embrasser...
e souris quand il s’exclame qu’il n’est pas maladroit. En fait, je n’en savais strictement rien, et puis sa chute, il l’avait du à un gosse imprudent. « Je n’ai pas dit ça. » Je souris doucement. Un peu gêné par sa question, je dois bien dire que ça me peine qu’il l’ait remarqué, je ne voulais pas qu’il croit que c’est de sa faute. C’est surtout que je n’étais tout simplement pas encore capable d’assumer ce que je ressentais vraiment. Bon, actuellement cette situation m’avait bien fait comprendre que, même si je m’éloigne je ne pourrais pas aller à l’encontre de mes sentiments. Mais, même si maintenant j’avais décidé de les accepter, je sais que rien ne sera facile, et puis de toute façon je ne suis même pas certain de ce que ressens Timéo. Si ça se trouve, il y avait tout ce qu’il y a de plus hétéro, même si j’avais lu dans son manuscrit son homosexualité, enfin peut-être ‘était-ce qu’une couverture, même si j’espérais que non. Je soupire et reste assez évasif à ce sujet, même si je sais que ça ne lui conviendrai probablement pas. Alors j’enchaîne sur son manuscrit. Son histoire m’avait touchée, et quand il confirma mes dires, j’avais le coeur qui se mit à faire des pirouettes, peut-être était-il gay également... Mais je me retenais bien de lui en parler, de toute façon, il connaissait mon orientation sexuelle. « Je peux comprendre. Ecrire, il paraît que c’est une bonne thérapie. Tu sais je conseille de taper ton manuscrit à l’ordinateur et de l’envoyer à des éditeurs, ils seront les plus à même de te conseiller sur ce sujet. » Et j’espérais vraiment que ce soit positif. Passant mon bras autour de lui, je l’amène tout contre moi. Je sais que je risque d’aller trop loin, mais ça ne me faisait pas peur. Déposant un baiser sur son crâne, j’en profite pour sentir son effluve, parfum qui emplit agréablement mes narines. J’allais être accro à ça, je le sens bien venir. Alors que je profitais du moment, le médecin arriva, je soupire, promettant d’être toujours là pour Tim, comme j’en avais bien l’intention de le faire en fait. Je soupire essayant de trouver une position confortable en l’attendant. Je finis par m’endormir au bout d’une dizaine de minutes, le contrecoup faisant effet. Je ne vis donc pas l’heure passait et n’entendit pas Tim revenir. Je sentis quelque chose sur ma main et ouvrit doucement les yeux, avant de tomber sur le visage de tim.... « Hum... Désolé, je crois que je me suis endormi....Laisse moi deux minutes et j’arrive. » Je m’étire doucement avant de me lever et de sortir de l’hôpital. Je crevais d’envie de savoir ce qu’il avait, et de voir si je pouvais l’aider ou non. Mais je ne voulais pas le devancer. Retrouvant la voiture, je rentre dedans après m’être rassuré en voyant que Tim s’en sort sans trop de difficultés. Je hoche la tête, bon au moins on avait bien fait d’aller voir le médecin, il pourrait soulager sa douleur. « d’accord, plus de peur que de mal alors... Mais de toute façon, tu viens chez moi, jusqu’à temps que tu te rétablisses » Il n’avait pas le choix et je n’avais pas l’intention de lui donner. Je souris en le voyant si gêné.. J’attrape sa main et réplique avant qu’il ne proteste « Et ne dis pas que tu vas déranger parce que ce n’est pas le cas. ». Je soupire doucement je devais me contrôler alors que j’avais de plus envie de l’embrasser, mais je devais me retenir car ce n’était pas le bon moment ni même le bon endroit. Démarrant la voiture, je roule en direction de chez moi. On y arrive après dix petites minutes de conduite, je me gare devant l’immeuble où se trouve mon loft. Je sors de la voiture et l’attends. Une lueur d’inquiétude passe dans mes yeux alors que je me rends compte qu’il allait devoir monter les escalier. « Euh, si jamais ça ne va pas pour monter les escaliers tu me le dis. » Je grimace, j’avais zappé cette donnée. Passant une main dans ma nuque, je me dirige tout de même vers l’entrée, lui ouvrant la porte et me décalant pour le laisser passer.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Lun 3 Mar - 13:13
Il savait que ce n'était pas ce qu'il avait dit, mais il avait ressentit le besoin de le prévenir, de lui dire qu'il n'était pas maladroit, pourquoi c'était si important pour lui de paraitre bien devant lui. De savoir qu'il l'avait éviter lui avait fait mal, mais pourquoi? Tout cela il avait du mal à le comprendre, c'était la première fois qu'il se mettait à ressentir de tel chose, surtout pour un homme, il avait des doutes sur sa sexualité et il en parlait dans son manuscrit, mais encore, il n'était sur de rien. Bien que les évènements des derniers jours le laissait penser qu'il était bien gay et il avait compris que son prof aussi l'était. Est-ce qu'il avait une chance? Est-ce que tout ce qu'il faisait pour lui, ces petites attentions étaient un signe de ce qu'il pouvait ressentit pour lui? Il espérait que oui au fond de lui, mais le problème était aussi que celui-ci était son professeur ce qui voulait dire qu'ils ne pouvaient pas avoir une relation, bien qu'il pourrait laisser tomber ses études et se concentrer sur l'écriture, c'était aussi une option si vraiment il se passait quelque chose entre eux un jour. Liam lui conseillait de taper son manuscrit pour l'envoyer à des éditeurs et pour la première fois il avait vraiment envie de le faire, savoir que Liam aimait ce qu'il avait écrit lui donnait un peu confiance. « Oui.. je vais faire ça... » Il avait peur des commentaires qu'il pourrait recevoir sur ses écrits, mais Liam lui donnait envie de tenter sa chance. Il était ensuite aller avec le médecin afin de se faire examiner et à son retour il l'avait doucement réveillé, il eu un petit sourire puis il le suivit à la voiture et lui expliqua ce que le médecin lui avait dit. Il eu tellement chaud quand celui-ci lui dit qu'il venait chez lui, il allait finalement voir où vivait son professeur, celui-ci devait lire en lui, comme il lui pris la main et affirma qu'il n'avait pas son mot à dire, il hocha la tête et eu un petit sourire alors qu'il serra un peu la main de celui-ci, pour lui faire comprendre... comprendre quoi? Qu'il l'aimait bien, à vrai dire, il en savait pas trop comment s'y prendre, il observa les lèves un instant de celui-ci, partager son premier baiser avec Liam, il aimerait ça, mais il avait peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir comment s'y prendre. Il resta silencieux, mais il garda sa main dans celle de Liam jusqu'à ce qu'ils arrive devant la demeure de Liam. Il sortit de la voiture et il passa la porte alors que Liam venait de lui ouvrir. « Je crois que ça devrais aller... » Il le pensait, mais après quelques marches, il pris la main de Liam pour arriver à garder son équilibre, relevant la tête vers celui-ci alors qu'il regardait où il mettait ses pieds comment un enfant qui apprend à marcher. Il avait l'impression que c'était ce qu'il était en train de faire en ce moment réapprendre à marcher. « Finalement... je crois que j'aurais besoin d'un peu d'aide. » Il fut à nouveau contre Liam et c'était loin de lui déplaire. Arrivé chez celui-ci, il le laissa ouvrir puis il entra dans l'appartement. « C'est beau chez toi... » Il avait chaud tout d'un coup, réalisant où il était, avec qui il était, s'il n'était pas à sa première fois, il l'embrasserait peut-être, mais il n'osait pas, peut-être que Liam le voyait juste comme un petit frère... le baiser sur le crâne, le serrer contre lui, on pouvait faire ça à son petit frère non? Et il avait l'âge d'être son petit frère aussi... d'un coup réalisant cela, il sentait l'espoir qu'il avait eut de l'intéresser s'évanouir. Il alla s'asseoir dans le salon, sentant ses jambes faibles et se frotta un peu l'arrière de la tête qui était encore douloureux... « Tu aurais de la glace...? » Il n'avait toujours pas pu en mettre et il se dit que ça pourrait lui faire du bien un peu de froid et lui remettre les idées en place aussi... mais ça il n'allait pas le préciser.
e le trouvait touchant, vraiment. Son innocence me faisait littéralement craquer. Et son manque de confiance aussi. Je trouvais ça dommage que ça lui mette des bâtons dans les roues, car je le trouvais vraiment très talentueux, et j’essayais de rester au maximum objectif. J’étais heureux qu’il accepte d’envoyer son manuscrit à un éditeur, j’étais presque certain qu’il serait apprécié par certains éditeurs. « Alors je te donnerais quelques adresses intéressantes. » J’étais presque certains que ces éditeurs adoreraient autant que moi ce manuscrit, il devrait peut-être changé quelques points, mais rien de bien important, j’en suis certain. Je pose mon regard sur nos mains enlacés, j’aimais sentir sa peau contre la mienne, et le fait que tout le long du trajet il ne lâche pas ma main me dit que j’ai peut-être ma chance.
Une fois chez moi, enfin dans l’entrée de l’immeuble, je recommençais à m’inquiéter, je ne voulais pas qu’il fasse trop d’effort. Je hoche la tête avant de commencer à monter les escaliers à ses côtés. Sursautant lorsqu’il prit ma main, la peur pointa de nouveau le bout de son nez. L’attirant contre moi, je passe mon bras autour de sa taille pour l’aider à monter. Heureusement j’étais qu’au premier étage. Le lâchant pour lui ouvrir, je le laisse pénétrer dans le loft. « Merci... » Il n’y avait pourtant rien d’extraordinaire, quelques tableaux glanait dans des expos vente et une bibliothèque. Refermant la porte, je dépose mes clés et retire ma veste. « Fais comme chez toi. » Je souris alors qu’il me demande de la glace. Je file au congélateur et en sort un sachet de glaçons, que je vais ensuite lui tendre « Tiens. » Je m’installe dans le canapé, attendant qu’il arrive à mes côtés. Mon coeur battait la chamade, déjà parce que j’étais rassuré de le savoir mieux, et surtout parce qu’il était chez moi, et qu’il n’avait repoussé aucun de mes gestes. « Tu sais que tu m’as fait une belle frayeur quand même » Je pose ma main sur sa joue, caressant sa barbe, tandis que je le couvais littéralement du regard.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Lun 3 Mar - 14:16
Il avait eu de la chance que celui-ci soit présent à la piscine, il aurait sûrement été chez lui suite à sa chute et aurait pu aggraver son état, mais non, il était tombé sur lui et il avait de la chance. Il le remercia du fait qu'il lui donnerait quelque adresse, bon il allait devoir commencer par taper le manuscrit qui était assez long et pas fini d'ailleurs, donc il devrait attendre un peu avant de l'envoyé. Une fois chez lui, il lui affirma que c'était beau chez lui, bon c'était peut-être par extraordinaire, mais Tim aimait la simplicité donc un décor simple, juste quelques tableaux c'était parfait. Il semblait aussi avoir une bibliothèque bien remplis, une autre journée il aurait sûrement pris le temps d'aller voir les livres, mais là il n'était pas trop en état de se préoccupé de ça. « Merci. » Dit-il alors qu'il pris le sachet de glace entre ses mains et il le plaça afin d'être où il s'était cogné, le tenant de sa main gauche. Il le rejoignit sur le canapé, s'installant tout prêt de celui-ci. Il avait vraiment eu peur? Il semblait sincère, il ferma les yeux un instant pour profiter des doigts de celui-ci contre la peau de son visage, puis il les rouvrit et plongea son regard dans celui-ci alors qu'il était tout prêt de lui. « Je... » Il n'arrivait pas à mettre ses idées en place alors qu'il qu'il était incapable de détacher son regard de celui-ci, il lâcha la glace enfin la déposa sur le canapé alors que sa main qui était froide pour avoir tenu la glace pris la main de Liam, celle qui ne lui touchait pas la joue. Il ne savait pas trop comment s'y prendre, il avait envie de l'embrasser, il approcha son visage de celui-ci, il avait peur que celui-ci le repousse, mais il ne semblait pas vouloir le faire. Il fini par déposer ses lèvres contre celle de son professeur, s'était une première pour lui, il n'avait jamais rien fait avec personne, réalisant ce qu'il faisait il se recula. Il se serait sûrement levé d'un coup et sauvé s'il n'était pas tombé quelques heures plus tôt. Il ne savait pas quoi faire, il bredouillait, s'excusant de ce qu'il avait fait, il ne l'intéressait sans doute pas, il se montrait peut-être juste gentil, Tim c'était peut-être fait des idées... « Je... j'aurais... » Il arrivait pas à parler, il rougit alors qu'il avait envie de se cacher, d'hurler à quel point il pouvait être idiot.
Je crois que j’aurais pu faire une attaque en le voyant tomber. Franchement ce n’était pas possible d’avoir aussi peur pour un simple élève, mais il était plus que ça. Mais heureusement, il s’était laissé faire, et heureusement car je ne sais pas ce qui aurait pu se passé si je n’avais pas été là. Mais, il allait falloir laisser ça au passé et se concentrer sur le présent. Présent qui devenait nettement plus intéressant. Lui passant de la glace pour qu’il la pose sur sa bosse, je m’assieds dans mon canapé. « Mais de rien. » Je soupire doucement, enfin rassurer de le savoir ici. Caressant sa joue, je lui avoue que j’ai vraiment eu peur. Mais j’apprécie le contact avec sa joue, si vraiment je ne craignais pas qu’il ne me repousse, je l’aurais embrassé. Alors qu’il avait fermé les yeux, j’approchais doucement mon visage du sien. Je fus hypnotisé par son regard. Je souris doucement, il semblait vouloir parler, mais rien ne sortait de sa bouche. Je le laisse prendre ma main, et serre la sienne, alors que l’autre s’enfonce doucement dans ses cheveux. Je ne fais aucun geste pour reculer ni même prendre les devants, je veux être certain qu’il ressente la même chose que moi. Le laissant combler les derniers mètres, je ferme les yeux au contact de ses lèvres contre les miennes. Elles avaient un goût légèrement sucré. Mais je n’eus pas le temps de réagir qu’il se recula. Je rouvre mes yeux, tombant sur un visage anxieux. Affichant un petit sourire, le mal était fait, et je sus que j’étais tombé dans ses filets, mais je m’en fichais pas mal des conséquences. Je pose un doigt sur sa bouche « Chut » Comblant cette fois la distance, je pose mes lèvres tout contre les siennes, les mouvant légèrement. Plaquant une main sur son cou et l’autre autour de sa taille, je le garde aussi proche de moi.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Lun 3 Mar - 16:30
Il avait du mal à croire ce qu'il venait de faire, il venait de l'embrasser, enfin c'était juste un bisou, juste déposer ses lèvres contre les siennes, mais quand même, ce n'est pas quelque chose qu'on fait normalement, surtout pas avec son professeur. Comment avait-il pu, il se recula, il ne savait plus quoi faire, quoi dire, il fut rassurer, mais aussi surpris quand celui-ci posa son doigt contre ses lèvres pour lui dire de se taire - pas avec ses mots, mais bon plus doucement - il le vit se rapprocher pour combler la distance et déposer ses lèvres contre ses jours. Il ferma les yeux, profitent de se doux contact alors qu'il sentait ses lèvres contre les siennes, sa main sur son cou, sa main dans son dos. Il lui rendait son baiser puis il entrouvrit légèrement les lèvres afin de le laisser prolonger ses baiser et le rendre plus passionnée. C'était tellement bon, il arrivait pas à croire qu'il avait pu passer tout ses années sans jamais embrasser quelqu'un, mais il se doutait que ça ne pouvait pas être aussi bien avec n'importe qui. Il se sentait si bien, comme si la douleur venait de partir juste grâce à ce petit contact. C'est étrange, mais d'un coup, il avait la fin de son roman qui lui venait en tête, il allait devoir écrire ça une fois qu'il était seul, mais pour l'instant il ne voulait pas quitter le contact de celui-ci. Il se recula un instant interrompant le baiser alors qu'il se demandait si c'était vraiment réel ou il était en train de dormir, une conséquence de sa commotion, mais il restait tout prêt de lui, il avait peur et envie de la suite. Liam savait des choses sur lui que très peu savent... il repris sa main celle qui était dans son dos pour entrelacé leur doigts alors qu'il ne dit rien, il ne savait pas quoi dire quoi faire. Le mieux était donc de se taire et se laisser faire... avec plaisir.
e n’avais pas pensé que ce serait lui qui m’embrasserait vraiment en premier, mais il l’avait fait. Et ce n’est pas moi qui allait m’en plaindre. Bon il n’y avait rien de passionnel dans ce baiser, il était plutôt chaste, très chaste. Mais, je sais qu’il n’avait aucune expérience. Ce qui était un sacré défi pour moi, j’avais effectivement une certaine expérience qui pourrait l’effrayer, alors il ne fallait pas que je la mette trop en avant. Je soupire doucement avant de retrouver la douceur de ses lèvres. J’attendais qu’il participe, qu’il trouve son rythme. Fermant les yeux pour me concentrer sur l’explosion de sentiment qu’il provoquait en moi. Gardant mes mains le long de son cou et de son dos, je me force à rester sage. Alors qu’il ouvrait ses lèvres, j’y introduis ma langue pour rendre le baiser un peu plus passionné. C’était vraiment une explosion de sensations, ce que je n’avais jamais eu avec aucun mec auparavant, il paraît que c’est vraiment comme ça quand on est réellement amoureux. Je caresse doucement sa nuque, sa peau électrisant chaque terminaison nerveuse de mon corps. Je profitais de ce baiser, sans même penser aux minutes qui allaient arriver, à l’explication qui allait sans doute être inévitable. Mais, j’étais prêt à y passer à la casserole. Lâchant ses lèvres par manque d’air, je pose mon front contre le sien. Les yeux à peine ouvert, je reprends mon souffle. Je resserre ses doigts, tout en affichant un sourire ravi. Caressant de mon pouce sa main, je glisse l’autre sur son visage, le caressant doucement. Je trouvais que le silence à ce moment était tout simplement parfait. Il n’y avait pas besoin de parole, de mots, pour qualifier ce que l’on était en train de vivre. La seule chose que je savais vraiment c’était que je serais maintenant incapable de me passer de lui maintenant que j’avais goûté au bonheur de ses lèvres. Mais, sa chute me revint à l’esprit. Je reprends le sachet de glace. « Tiens, reprends ça ! » M’installant en travers du canapé, après avoir viré mes chaussures, je lui ouvre mes bras. « Viens-là ».
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Lun 3 Mar - 22:41
Si en ce moment il était bien, que tout était parfait, il ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il allait le laisser tomber quand il allait se rendre compte qu'il n'avait vraiment aucune expérience, c'était son premier baiser pour vous dire à quel point il n'a aucune expérience. Quand il entrouvrit ses lèvres et sentit sa langue pénétré sa bouche il pensait lorsqu'il était plus jeune et quand il voyait d'autres s'embrasser ainsi que c'était dégoutant, mais pourtant il aimait ça. Oui il y avait vraiment rien de dégoutant, c'est juste divin de le sentir aussi près de lui et se sentir aussi intime avec lui. Il fini par quitter ses lèvres pour reprendre son souffle doucement et il eu un sourire, il devait paraitre idiot ainsi, ce petit sourire stupide aux lèvres, mais il aimait ça, il aimait se sentir aussi près de lui. Il ne savait pas trop où allait mener leur histoire, surtout s'il y allait vraiment y avoir une histoire, mais il ne voulait pas parler pour l'instant et profita de se sentir apprécié, aimé, qu'on fasse preuve de tendresse à son égard. Seulement, celui-ci s'éloigna pour prendre le sachet de glace, s'imaginant que c'était déjà terminé. Mais il lui tendit le sac pour ensuite s'installe plus confortablement sur le canapé et lui ouvrir les bras et lui dire de venir. Il fallait pas lui demander deux fois, il se rapprocha de celui-ci pour se blottir dans les bras de celui-ci alors qu'il replaça le sachet de glace sur sa bosse. Si on lui avait dit que cette soirée allait se passer ainsi, il ne l'aurait jamais cru. Il appuya sa tête contre l'épaule de celui-ci puis il décida de prendre parole, ça lui trottait dans la tête, depuis un petit moment.. il devait savoir : « C'est pour ça... que tu étais distant cette semaine? » Une façon de savoir si ça lui plaisait depuis un peu plus que quelques heures qu'il lui plaisait, qu'il ressentait quelque chose, ça expliquerait le comportement de celui-ci. Il caressa le torse de celui-ci, a travers le tissus de celui-ci... « Ça euh... te dérange pas.. que j'ai aucune.. enfin tu sais... je voudrais pas tout.. gâcher. » C'était assez honteux pour lui de dire qu'il était puceau, il se sentait bien, il ne voulait pas tout gâcher... c'était important à ses yeux, cet homme qui était plus vieux que lui, qui était son professeur, il avait tellement d'expérience qu'il allait se sauver ou le jeter dehors quand il allait commencer.. passer aux choses sérieuses.
Je ne savais pas ce qu’allait pouvoir m’amener l’avenir, mais il fallait que je sois confiant, et surtout je sais que j’allais devoir le rassurer. Il était timide, et certainement peu sûr de lui au vu de son inexpérience. Mais moi, ça ne me dérangeait pas, c’était même plutôt un défi, plaisant, mais aussi stressant. Savoir que notre partenaire n’a tout bonnement aucune expérience en la matière, ça peut être vraiment déstabilisant, il allait falloir que je fasse vraiment attention de rester à l’écoute. Je ne voulais pas être trop entreprenant et aller trop vite pour Tim. Mais pour l’instant il répondait à mon baiser alors j’en profitais. Jusqu’à ne plus pouvoir respirer. Laissant juste un baiser au coin de ses lèvres, admirant son sourire, qui pouvait être idiot, mais qui était stupidement magnifique. J’aimais profiter de l’instant présent, j’aviserais demain ou plus tard sur l’avenir de cette relation et les conséquences de celle-ci. Mais j’avais confiance que d’une manière ou une autre on allait certainement pas en rester là. Ce que je venais de ressentir à travers ce simple baiser était certainement plus fort que ce que j’avais ressentis lors de mes précédentes histoires. Mais, je m’éloigne un peu juste histoire de m’installer plus confortablement. Mais, je ne pouvais pas l’avoir loin de moi trop longtemps pour le moment, je profitais qu’il soit là. Refermant mes bras sur son frêle corps, je pose délicatement mon menton sur son crâne. Caressant distraitement ses hanches, à travers son tissu, je profitais de ce moment de silence. Mais, il semblait avoir encore des interrogations quand à la semaine dernière. Je soupire doucement avant d’hocher imperceptiblement la tête. « Oui.. J’avais besoin de faire le point sur ce que je ressentais... Mais.. te voir mal en point aujourd’hui a un peu précipité les choses je crois... ». Ce n’était pas de manière péjorative que je disais cela, bien au contraire. Je frémis en sentant sa main sur mon torse, alors que j’embrasse ses cheveux. Je souris alors qu’il me fait part de ses craintes. « Chut.. On y va doucement, à ton rythme d’accord ? Tu n’es pas obligé de le faire hein, je ne t’y obligerais pas, jamais. » Bien sûr, comme tout homme que je suis, il y allait bien avoir un moment où il allait falloir, mais je n’étais pas un homme des cavernes, je savais me retenir. Mais j’avoue que je ne coucherais pas avec lui ce soir, déjà parce que je sentais qu’il était loin d’être prêt, et que je voulais mettre au clair déjà cette relation.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Mar 4 Mar - 12:07
Il était vraiment bien avec lui, installé dans ses bras, il pouvait sentir la tête enfin le menton de celui-ci sur sa tête. Il était tellement confortable, il était avait certaine question et il n'avait pas pu s'empêcher de lui demander, à vrai dire, c'était étrange de se dire qu'il pouvait ressentir quelque chose pour lui et ce depuis quelques temps. Il eu un petit sourire quand celui-ci lui répondit que le voir mal au point avait un peu précipité les choses. Au moins, sa chute avait eu un bon côté, car, il aurait sûrement été distant à force de se rendre compte de ce qu'il pouvait ressentir et de penser que celui-ci pouvait ne rien ressentir. Comme il était loin de penser que celui-ci pouvait s'intéresser à lui.. « Au moins ma chute à eu un côté positif... jamais j'aurais pensé que je pourrais t'intéresser... » Une petite chute c'était rien si ça lui permettait de se retrouver ainsi dans les bras de celui-ci, il caressait le torse de celui-ci a travers le tissus, alors qu'il avait pu le sentir caresser ses hanches ce qui lui avait donner quelques frissons. Il eu un petit sourire en sentant les lèvres de celui-ci qui embrassait le dessus de son crâne. Mais il avait besoin de savoir autre chose, sur le fait qu'il n'avait aucune expérience, la réponse de celui-ci le rassura vraiment. Il releva la tête vers celui-ci se redressant juste un peu pour déposer un baiser sur ses lèvres et lui dit : « Merci... je me sens vraiment bien avec toi... » Il avait envie de faire de nouvelle expérience avec lui, bon peut-être pas là comme il n'était pas au meilleur de sa forme, mais ça le rassurait vraiment. Il se réinstalla, se blottissant dans ses bras. Il pris la main de celui-ci et sans vraiment le regarder il ajouta : « Je pensais pas que je pourrais t'intéresser... surtout après ce que tu as lu sur moi dans mon manuscrit... » Tout ce qu'il avait pu dire sur lui dans ce roman, que son oncle avait été violent, qu'il n'avait aucune expérience et tout plein d'autres trucs qui aurait pu ne pas lui donner envie de se mettre avec lui, son manque de confiance, qu'il n'osait même pas tenter de faire l'équipe de natation de haut niveau... Tant de chose sur lui qu'il n'aurait jamais osé dire à personne, mais d'un autre côté c'était peut-être mieux qu'il soit au courant, il serait ainsi plus en confiance... Il y avait un autre problème, il était son étudiant, il pourrait lui faire perdre son emploi, ce qui lui donnait vraiment envie d'envoyer son manuscrit et laisser tomber ses études.
Je ne pensais pas que ça me ferais autant de bien que de l’avoir dans mes bras. Bon d’accord, ça fait longtemps que je n’ai pas eu d’homme dans mes bras, donc je dois bien avouer que ça me manque. Mais, ce n’était pas pareil, je n’avais pas cette impression d’être pleinement comblé comme je le suis actuellement avec Tim. Et il est vrai que je ne serais pas là s’il n’avait pas chuter. Mais bon il ne faut pas trop exagérer les choses, il peut s’estimer heureux que ce ne soit pas plus grave. Mais il est vrai qu’à la base je n’avais pas eu l’intention de me rapprocher de Tim avant d’avoir démêler tous mes sentiments. Je souris tout en secouant la tête. « Oui, on peut dire ça, mais la prochaine fois éviter de te faire mal, tu veux bien ? Ca serait nettement mieux quand même ! » Non parce que les urgences, ça allait bien un moment, mais je ne serais pas prêt à revivre cette angoisse de ne pas savoir comment il allait. Je contracte mon ventre sous ses caresses. Attrapant sa main, je la glisse sous mon tee-shirt afin de sentir ses caresses à même la peau. Je soupire de contentement. Embrassant ses cheveux, je glisse ma main vers la ceinture de son pantalon, continuant de le caresser, touchant parfois sa peau. Alors qu’il me parla de son inexpérience, je ne m’en offusqua pas, comprenant parfaitement son besoin de réponse. Je voulais juste lui faire comprendre qu’il n’avait pas besoin de se sentir en-dessous de moi, parce que ce n’était vraiment pas le cas. « Moi aussi... » Je noua mes doigts aux siens, caressant sa main avec mon pouce. Resserrant encore mon emprise, je noue mes jambes aux siennes. Je souris, repensant à son manuscrit « Et alors, tu penses que parce que ton passé est lourd mais ce n’est pas ça qui va m’empêcher de t’apprécier pour ce que tu es ! » On avait tous nos problèmes, nos histoires, nos blessures, mais ça devait nous faire avancer et non pas reculer ou rester sur place. Mais j’avais confiance en Tim pour rebondir par rapport à tout ce qui lui était arrivé ! Scellant nos lèvres à nouveau, je reste pourtant tendre cette fois-ci. Relâchant nos lèvres, j’embrasse son front. « Reposes-toi, tu en as bien besoin. »
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Mar 4 Mar - 16:23
Il ne put s'empêcher d'avoir un petit sourire alors qu'il lui dit que la prochaine fois valait mieux qu'il ne chute pas, faut dire qu'il n'en avait pas trop envie lui non plus de se retrouver à l'urgence, même si ça lui permettait de se retrouver avec lui. « Oui tu as raison... » Il lui adressa un sourire alors qu'il fut surpris quand celui-ci lui pris la main pour la glisser sous son t-shirt, il eu un petit frisson alors qu'il caressa la peau de celui-ci, c'était vraiment agréable et il eu un frisson alors qu'il sentit la main de celui-ci glisser jusqu'à la ceinture de son pantalon, il eu un léger frisson alors qu'il se sentir durcir, sa respiration s'accéléra, mais il devait se calmer, il avait tellement honte de lui, il en voulait surtout pas se retrouver avec une bosse. Pour se calmer, il pris sa main, c'était mieux, oui, sinon il allait avoir une érection et c'était peut-être pas le bon moment, il était par contre soulager de savoir que lui aussi se sentait bien en ce moment avec lui. Il prenait un peu confiance, mais encore, il avait quelque crainte. Il releva la tête vers celui-ci, l'écoutant à propos du fait que son passé lourd ne le dérangeait pas, ne l'empêchait pas de l'apprécier, pour lui répondre il scella leur lèvre à nouveau, mais pour un bref instant. Juste pour lui montrer combien il l'appréciait. Il lui disait de se reposer, mais il n'en avait pas vraiment envie... « J'ai pas vraiment envie de me reposer... j'ai tout mon temps pour me reposer. » Il lui adressa un petit sourire et il glissa sa main sous les t-shirts, il ne pensait pas avoir une relation, mais il voulait seulement être proche de lui, il n'avait pas envie de dormir, surtout que le médecin lui avait dit d'éviter de dormir, mais bon, il était bien comme ça et il ne forçait pas, donc on peut dire qu'il se reposait, seulement il y avait toujours un point qui l'inquiétait, mais il pourrait en parler une autre fois, il préférait se concentrer sur la peau qu'il touchait, sa peau tellement douce, il eu un petit sourire et il se blottit un peu plus dans les bras de celui-ci mais il retira le sachet de glace. « Je crois que j'ai le crâne gelé là! » Il eu un petit rire et il mis enfin plutôt lança le sachet à leur pied. « Tu l'avais pas sur toi j'espère? » Comment il était placé, il espérait que celui-ci n'était pas en contact avec le sachet, il devait avoir eu froid, même si le sachet avait commencé à fondre avec le temps. Il se réinstalla maintenant qu'il n'avait plus le sachet de glace sous sa tête. Il remis sa main sous le t-shirt de celui-ci, sans pas contre oser descendre vers le bas ventre de celui-ci, comme il faut le dire, il n'était pas trop à l'aise encore avec ça... donc il n'osait pas se rendre là tout de suite, mais il laisserait Liam faire...
e souris doucement n’en rajoutant pas une couche. Après tout ça ne sert à rien de ramener sans cesse le sujet sur le tapis. À part exacerber les gens. Glissant sa main sur ma peau, le contact me fit frissonner. Mon ventre se contracta sous ses caresses. Je soupire de nouveau, il allait falloir que je me contrôle. Je remonta ma main dans son dos mais sous le tee-shirt, il n’y a pas de raison qu’il ne subisse même sort que moi. Mais alors que j’appréciais ce moment de tendresse, il vint me tirer la main pour l’enlacer. Je repose mon regard sur son visage, avant de le voir gêné, j’agrandis mon sourire pour le rassurer. Mais il allait falloir que je lui demande de me dire clairement quand je vais trop loin, car je ne peux pas le savoir s’il ne me le dit pas. « Il faut que tu me le dises si je vais trop loin, d’accord ? » Non parce que ça serait extrêmement gênant si jamais j’allais beaucoup trop loin et qu’il n’oserait pas me le dire. Même si je sais que je n’irais déjà pas plus loin que quelques caresses osées. Mais il avait d’autre craintes que je m’empressa de rassurer. J’en avais bien sur des craintes également, mais je me gardais bien de lui dire, parce que cela les concrétiserait, et je ne voulais pas les concrétiser. Prolongeant légèrement le baiser, je repassa mon bras autour de lui. Le déplaçant pour qu’il se retrouve totalement sur moi, je m’enfonce un peu plus dans le canapé. « D’accord, si tu veux lire ou quoique ce soit d’autres, tu n’hésites pas. ». J’halète alors qu’il passe de nouveau sa main sous mon tee-shirt. Je ferme les yeux de bien-être. Retirant ma main de son dos, je vais l’enfoncer dans ses cheveux. Les caressant doucement, j’évitais comme je pouvais sa blessure, parce qu’il y avait le sachet de glace, et je n’avais pas envie de me glacer les doigts, fallait être idiot pour le vouloir. D’ailleurs je souris alors qu’il retire le sachet de glace, parce que mon épaule commençait considérablement à geler également. Et puis je préférais avoir chaud. Je rigole avant de déposer un baiser sur son front « Je peux te réchauffer si tu veux... » Je faisais courir mes doigts là où il y avait auparavant le sachet de glace. « Non ça va je n’ai pas eu trop froid.. » Regardant sa main se faufiler sous son tee shirt, je me redressa légèrement et retira mon tee-shirt « Plus pratique ». J’attrape son visage pour l’embrasser passionnément. Glissant mes mains un peu partout, je l’empêche de se décoller de mon corps. Haletant à la fin du baiser, je dévie mes lèvres dans son cou, déposant des baisers papillons un peu partout jusqu’au creux de sa nuque. M’attardant au creux de son épaule, je m’y affaire à apposer une marque rouge, avant d’y déposer un baiser et de relever mon visage, avec un sourire espiègle.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam Mer 5 Mar - 11:36
Il avait sentit quelque que chose de vraiment étrange, mais tellement bien, seulement ça lui fit peur, pas parce qu'il ne comprenait pas, mais il avait peur de ce que celui-ci pourrait penser de lui. S'il avait une érection juste pour ça, pour quelques caresses, ses pourquoi il pris sa main pour le faire arrêter pour se calmer et il le regarda, relevant la tête vers lui quand il lui dit de lui dire s'il allait trop loin.. « Non... ça va, c'est seulement nouveau pour moi tout ça... » Il lui adressa un petit sourire puis l'embrassa doucement alors que celui-ci prolongea le baiser. Il lui proposait de lire quelques choses qu'il voulait, mais non, il n'avait pas envie de lire, il voulait juste rester auprès de lui, il était bien en ce moment. « Je veux juste rester auprès de toi... je suis bien ici. » Il repassa sa main sous le t-shirt de celui-ci et il pouvait sentir sa main dans son dos, mais finalement il retira sa main de son dos pour lui caresser les cheveux. Il retira ensuite le sachet de glace, il commençait à geler et il avait peur aussi que celui-ci ai l'épaule geler comme il était appuyer contre celui-ci. Eu un sourire quand il lui proposa de le réchauffer. « Je suis pas contre... » Il eu un petit sourire et se serra un peu plus contre lui alors qu'il lui dit qu'il n'avait pas eu trop froid. Il continuait de lui caresser le torse alors qu'il fut surpris quand celui-ci retira son t-shirt disant que c'était plus pratique, il eu un sourire alors qu'il le regardait, lui se retrouvant complètement allongé et c'était Liam qui était au dessus de lui, enfin pencher au dessus de lui. Il lui rendit son baiser et faisait promener ses mains sur le torse de celui-ci et les glissant dans son dos. Il ferma les yeux alors qu'il sentait les baiser de celui-ci dans son cou et sur son épaule et quand il le regarda lui adressant un petit sourire il retira son t-shirt lui aussi et le fit rejoindre le t-shirt de Liam qui était au sol. Il lui adressa un petit sourire... « Plus pratique... comme tu dis. » Il eu un petit sourire complice alors qu'il s'était sentit durcir au fil des baiser de celui-ci, tant pis, il devait être courageux, mais il voulait aussi lui faire plaisir il l'embrassa doucement et puis dans le cou. Il pris sa main pour la mettre sur son torse et la laisser descendre doucement et l'embrassa, afin de lui faire comprendre qu'il voulait bien essayer de nouveau trucs s'il voulait, il voulait tellement lui faire plaisir et il se sentait bien, en confiance. Il lui murmura doucement : « J'ai confiance en toi... » Il voulait être à la hauteur de celui-ci qui était si bon avec lui, doux, parfait. Ses mains entouraient le cou de celui-ci et ferma les yeux un instant pour profiter de ce moment.
Je hoche simplement la tête à ses dires. Je comprends tout à fait que ça l’angoisse, je n’étais pas mieux à son âge, quand j’ai découvert l’amour pour la première fois. Bon ce n’était pas l’amour avec un grand a mais suffisamment pour qu’on passe le cap. Serrant sa main, je ne voulais pas le brusquer ni même qu’il se sente obligé de quoique ce soit envers moi. Non au contraire, je sais qu’il fera un pas au moment opportun, mais pour cela il fallait déjà qu’il prenne en confiance en lui, et je l’aiderais en ça. « Je sais, mais il faut que tu es confiance en toi.. Et en moi aussi bien sûr. ». Caressant sa joue pendant le baiser, je restais doux. Ne voulant pas m’emporter, je lui propose s’il veut lire quelque chose, même en restant contre moi, ça m’aiderait certainement à rester sage. Mais je conçois qu’il n’ai pas le courage de lire. « Tu pourrais lire en restant dans mes bras. ». Je commençais à durcir sous son traitement, j’essayais tant bien que mal de me retenir, de ne pas lui sauter dessus. Caressant ses cheveux court, je passa mes doigts légèrement sur son front. Là où était le sachet, frissonnant sous la fraîcheur, je vais doucement souffler sur sa peau pour la réchauffer avant d’y apposer mes lèvres après qu’il m’en ait donné la permission. Mais ses mains faisait déjà chavirer mon esprit loin, très loin. Mais le haut devenait vraiment gênant, alors je le retire rapidement, et puis il commençait vraiment à faire chaud. Prenant le dessus je l’embrasse avant de m’attaquer à son cou. Mon corps frissonne à ses mains, ses caresses étaient douces, tentatrices. Je laissais mes mains vagabonder sur son torse, par le biais de son haut. Après avoir fait ma marque je me relève pour l’admirer. Mais je ne l’admire pas bien longtemps, vu qu’il bougeait pour retirer son haut. Une pointe de désir voila mes yeux, à la vu de son torse parfaitement dessiné. Posant mes mains dessus, je rigole à ses paroles avant de fondre sur ses lèvres. Le baiser était exigeant et passionné. Je le sentais se détendre de minutes en minutes. Il osait même lâcher mes lèvres pour enfouir les siennes dans mon cou, je lâche un long soupir de contentement. Alors qu’il e guide pour poser ma main sur son torse, je le laisse faire, appuyant un peu plus ma main à certains endroits et d’autres mois. Glissant mes mains autour de ses hanches, je mordille sa lèvre avant de le laisser me parler. Je caresse sa joue, et secoue la tête négativement, j’avais vraiment très envie de lui, mais ce n’était pas le bon jour. « Je n’irais pas plus loin que ça... » Je me colla cependant à lui, ne lui cachant plus mon érection, mais je ne voulais pas qu’il croit que je ne fasse tout cela que pour le sexe. Alors tant pis si je devais nous frustrer tous les deux, mais on en restera là. J’embrasse son cou doucement, laissant traîner mes mains sur sa peau douce.
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Sujet: Re: (piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam
(piscine) C'est contre-nature... Mais sommes-nous normaux ? + Tiam