Sujet: Visite de routine (private: Séphiros L. Livers) Sam 2 Nov - 13:55
Séphiros & Dean ❧ Visite de routine.
Avant de rentrer chez moi, avec mon équipier nous devions passé chez un jeune homme à la santé psychologique instable d'après les informations que nous avions eu. J'avais dis à mon équipier de rentré chez lui, puisque l'homme habitait dans la même rue que moi, il était inutile qu'on y aille à deux puisqu'il fallait juste s'assurer que ce dernier aille bien, et ne soit pas en train de péter un plomb, en même temps j'avais lu le dossier et il aurait des raisons, ayant vu ses parents se faire tuer, et tatouer une partie d'un poème par l'assassin de ses derniers, il avait toutes les raisons valable pour ne pas être toujours au top, il fallait mieux que je reste vigilant sinon j'en connais une à la maison qui allait m'en vouloir.
Arrivant devant le loft de ce dernier, je me gara, j'avais la voiture de fonction, j'étais en civil, arme à la ceinture avec ma plaque, je sonna, attendant que ce type vienne ouvrir la porte, j'espérais qu'il était dans un état aussi normal qu'il lui soit possible sinon intervenant seul j'allais avoir des comptes à rendre et pas qu'à une personne, puis sans doute quelques soucis une fois de plus avec mes supérieurs. Mais au bout d'un instant, personne ne venait, alors qu'il y avait de la lumière, je frappa un peu plus violemment sur la porte en ajoutant d'une voix sèche et forte.
• Police! Lieutenant Dawkins, veuillez ouvrir la porte!
Ma main sur mon arme, je jouais la carte de la prévoyance, ce n'était pas le moment qu'il m'arrive quelque chose. Bien que je n'étais pas fan de sortir mon arme, préférant nettement plus utiliser mes poings et d'autres armes sans danger de mort.
Sujet: Re: Visite de routine (private: Séphiros L. Livers) Dim 3 Nov - 16:50
Visite de routine
Il n'y a qu'un pas entre le réel et l’irréel du moins c'est ce que je pense car c'est mon cas, depuis longtemps je suis comme ça parfois je vais bien et tout est réel et parfois, je fais un pas pour me retrouver dans ma folie avec cette voix et ses hallucinations. Pendant ses moments, je ne contrôle rien et il ne vaut mieux pas être présent. La journée c'était relativement bien passé mais depuis un moment, je ne me sentais pas bien, à croire que tout était lié, je regardais l'heure pour voir que c'était à cette heure-ci qu'ils étaient mort « Tu te souviens ce que j'ai fait... Tu as aimé ça... » Je l'entendais de nouveau et rapidement je posais mes mains sur mes oreilles pour ne plus l'entendre mais je savais très bien que ça ne servirait à rien, il était dans ma tête tout simplement. « Aller on va jouer un peu rien que tous les deux ? » Je marchais dans l'appartement faisant les cents pas pour ne pas répondre, il fallait que je me contrôle. « Aller va prendre le couteau comme dans le bon vieux temps.. » « Ferme-là, je ne veux plus t'entendre... »
Ayé le pas était franchit, il fallait que je me calme et rien de mieux qu'une douche, du moins je le pense, je vais prendre une douche bien chaude avant de baisser la température. Une fois sortie, je m'habillais rapidement passant un simple pantalon de jogging puis je regardais dans le miroir mon dos, il me rappelait tellement de souvenir, de souffrance « T'as vu c'est beau ça... » Je baissais la tête faisant un signe négatif, la douche n'avait servit à rien au fond, il était toujours là, j'avais envie d'hurler de la fermer quand soudain j'entendis sonner. Pour moi tout ça était due à cette voix et à mes hallucinations, ça ne pouvait pas être autrement, il voulait me pousser à bout et me faire encore plus souffrir, alors je remis mes mains sur mes oreilles avant de m’asseoir au sol tout en entrant ma tête dans mes genoux. Il fallait que ça passe d'une façon ou d'une autre mais surtout pas avec les médicaments, il fallait que je sois plus fort tout simplement.
J'entendis au loin frapper à la porte, je relevais la tête « Ferme-là je t'ai dit, dégage j'ai pas envie de te répondre, retourne d'où tu viens... » je parlais à cette voix mais rapidement une autre voix se fit entendre et elle n'avait pas l'air commode « Police! Lieutenant Dawkins, veuillez ouvrir la porte! » Je fronçais les yeux avant de me redresser, je connais vaguement le lieutenant Dawkins et je me demande ce qu'il me veut, je n'ai rien fait pour qu'il vienne me voir. Je me lève et vais vers la porte avant de l'ouvrir, j'observe l'homme qui a son arme à la main et lève les mains « Oh oh oh Pas besoin de ça Lieutenant, vous voulez quoi ? »je l'observais espérant qu'il baisse vite son arme « Il vient te ramener où tu dois être... » je fronçais une nouvelle fois les yeux, effaçant de ma tête ce que je venais d'entendre, j'espérais que ce ne soit pas le cas...
(c) Spinelsuns
Invité
Sujet: Re: Visite de routine (private: Séphiros L. Livers) Mer 6 Nov - 16:08
Séphiros & Dean ❧ Visite de routine.
Après avoir frappé à la porte, le jeune homme arriva et ouvra la porte, levant immédiatement les mains pour que je comprenne qu’il n’était pas un danger, je laissai mon arme alors dans son étui mais restais sur mes gardes malgré tout, monsieur Livers me questionna sur la raison de ma venue chez lui. Il ne semblait pas être serein, fronçant les sourcils, je me demandais qu’est-ce qui clochait ce qui ne m’empêcha pas de lui répondre.
• Je suis juste venu m’assuré que tout allait bien, si vous n’aviez pas de problèmes. Je peux entrer ?
Ayant comme la sensation qu’il y avait un petit souci, je ne comptais pas partir tout de suite surtout pas avant d’avoir trouvé la source de se dernier. Et puis je n’ai pas envie de rentrer chez moi et d’apprendre demain qu’il s’est passé quelque chose que j’aurais pu éviter en me montrant plus insistant dans ma vérification , ce n’était pas non plus mon genre de faire mon travail à cinquante pour cent, je préférais me donner à fond et avoir la conscience tranquille contrairement à certains de mes collègues. Mais revenons à nos moutons, je ne lui laissai pas le temps de me répondre que je fis un pas en avant et pénétra dans son loft, tout était bien ranger, chaque chose à sa place, mais ce n’était pas pour autant pour cela que je n’avais pas des doutes donc avant de rentré j’allais prendre mon temps, connaissant les problèmes d’hallucinations de cet homme, je ne comptais pas le laisser tranquille de si tôt temps que mes soupçons ne s’était pas envolé. Je me tournai vers le barman et commença à poser quelques questions tout en m’enfonçant dans son domicile.
• Belle déco, on ne peut pas dire que vous n’aimiez pas le rouge ni même le noir et le blanc, plutôt original. Vous n’avez pas eu de problèmes d’hallucinations ses derniers temps ?
C’était essentiellement la raison pour laquelle, nous devions gardés un œil sur cet homme, il faut dire qu’il avait vu ses parents se faire tuer sous ses yeux et le tueur s’était donné un mauvais plaisir de s’amusé avec l’enfant qu’il était en le tatouant dans le dos un extrait de poème, il y avait vraiment de quoi faire un pétage de plombs sérieux, j’étais même étonné qu’il était aussi sein malgré quelques problèmes psychologique passagers pour l’instant. Quoi qu’il en soit depuis que j’avais lu son dossier, j’avais envie de veiller sur cet homme qui n’avait pas eu beaucoup de chance et puis vu que nous étions voisins si on peut dire ça serait certainement plus simple pour lui en cas de problème de nous appeler directement au lieu de passer par le commissariat surtout si j’étais à la maison.
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Sujet: Visite de routine (private: Séphiros L. Livers) 
Avant de rentrer chez moi, avec mon équipier nous devions passé chez un jeune homme à la santé psychologique instable d'après les informations que nous avions eu. J'avais dis à mon équipier de rentré chez lui, puisque l'homme habitait dans la même rue que moi, il était inutile qu'on y aille à deux puisqu'il fallait juste s'assurer que ce dernier aille bien, et ne soit pas en train de péter un plomb, en même temps j'avais lu le dossier et il aurait des raisons, ayant vu ses parents se faire tuer, et tatouer une partie d'un poème par l'assassin de ses derniers, il avait toutes les raisons valable pour ne pas être toujours au top, il fallait mieux que je reste vigilant sinon j'en connais une à la maison qui allait m'en vouloir.