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Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian)

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Adrian S. Fisher


Adrian S. Fisher

http://www.pearl-trees.com/t375-adrian-s-fisher

Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Gassmile

▌AVATAR : Gaspard Ulliel
▌CRÉDITS : ChloP (Bazzart)/ Merci à Kréou pour le gif <3
▌PSEUDO : /
▌HISTOIRES POSTÉES : 308
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 19/11/2013
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 4695
▌DATE DE NAISSANCE : 03/08/1986
▌MON ÂGE : 38
▌QUARTIER : Pines Square - Le Peuplier
▌EMPLOI/ÉTUDES : Chargé de redresser une usine de parfum au bord de la faillite
▌CÔTÉ COEUR : La p'tite junkie commence à s'installer

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▌EN CE MOMENT : Quoi de plus beau qu'une balade en forêt le dimanche? Apparemment Alery n'est pas vraiment d'accord.
▌RPs EN COURS : Alex et Alery : Allo bobo ou le début de nouvelles emmerdes
Alery : Tais toi et pédale!
Jude : Le monde est petit

▌DC : Casey J. Chapman

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MessageSujet: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyDim 1 Déc - 21:28

Décidement cette usine allait le rendre fou. Adrian aimait le travail, se fondre dedans et accomplir des choses. Mais là c’était un peu différent. Il avait fait de grande étude de droit, d’économie et de marketing et à aucun moment il n’avait eu l’idée de se lancer dans la cosmétique de luxe. Quand il a été recruté dans cette boîte mondialement connue, il ne devait que s’occuper de son domaine de juridiction. Du coup des cosmétiques et du parfum ou bien des briques de lait, il s’en foutait un peu. Tout a changé quand on lui avait lancé le défi de redresser cette toute petite usine de parfum de la compagnie. Pas rentable, trop peu de quantité et employé qualifié beaucoup trop cher surtout qu’à l’étage, en plus des bureaux, se trouvait un laboratoire de recherche. L’usine avait été conçu pour être complètement autonome, ce qui augmentait la qualité et surtout le prix de ses produits. Fut un temps, il s’agissait de la gamme la plus luxueuse de la marque, maintenant c’était 4 pecno qui faisait de la merde. Autant être sincère.
Adrian avait donc le défi de réussir, s’il n’y arrivait pas il serait renvoyé ou rétrogradé et humilié. Bref, c’était quitte ou double. Il soupçonnait son père d’être derrière tout ça. Après tout ce dernier n’avait jamais soutenu son fils et ne croyait pas tellement en ses capacités. Mais Adrian y arriverait même s’il devait faire un AVC avant ses 30 ans! Dans le but d’éviter tout de même d’avoir des problèmes, il avait recruter une jeune femme de 21 ans. Il cherchait une assistante personnelle pour rédiger quelques courriers, faire des petites tâches pas trop trop compliqué. Du coup il n’y avait pas vraiment de compétence obligatoire, juste être un peu intelligente. Après plusieurs entretiens, il était tombé sur Séréna. Bon feeling, bonne tenue, jolie sourire et plutôt intelligente. Elle entrait même en fac de médecine. Tout le monde sait que les gens en médecine sont des travailleurs quand ils ne sont pas en train de se saouler dans les bars. Au début il éviter de lui donner trop de travail car elle étudiait en même temps mais petit à petit il lui donnait plus de responsabilité. Séréna ne râlait jamais, même quand le travail était tellement important qu’Adrian lui même se disait qu’il avait exagéré. Surtout que le travail devenait aussi de plus en plus difficile et qu’elle n’avait pas toutes les qualifications requises. Réaction en chaine, elle se faisat sérieusement réprimander. Voilà donc plusieurs semaines que la vie de la jeune femme ne devait pas être facile et pourtant, aucune plainte.

Bref, à la place de se retrouver sur son lieu de travail comme d’habitude, Adrian était obligé de travailler à la bibliothèque municipale. C’était un peu une blague. Pourquoi était-il dans cet établissement? Tout simplement parce qu’un abruti avait fait tombé on ne sait trop quoi sur le sol qui était terriblement toxique. L’usine avait dû être évacué rapidement et ne pourra reprendre un fonctionnement normal uniquement deux jours plus tard. Autant dire qu’Adrian était très énervé.
Le voilà dans un box de travail loué pour la journée, un petit espace composé de deux tables collées l’une contre l’autre, quatre chaises, une plante verte en plastique poussiéreuse et une grande baie vitrée donnant sur le couloir. Heureusement il y avait une machine à café dans le hall que l’on pouvait boire dans le box. Même si l’usine était fermée, il n’allait pas arrêter de bosser non plus! Il allait se renseigner encore davantage sur l’histoire du parfum et tenter de trouver une idée géniale pour relancer la gamme. Le voilà devenu créatif maintenant! Puis il devait rédiger un rapport sur l’accident aussi et faire d’autres trucs que tout le monde trouvait chiant mais qui l’excitait un peu.

Le seul problème dans tout ça c’est qu’il était déjà 8h05 et que Séréna n’était pas là. Le fait que sa montre avançait intentionnellement de 5 minutes, n’était pas une excuse. On devait se plier à son horaire à lui. Le temps c’était de l’argent et la jeune femme avait un dossier comportant des papiers important pour travailler. Alors qu’il allait commencer à l’harceler au téléphone pour savoir où elle était, il la vit franchir les portes de la bibliothèque. Il s’était levé de sa chaise et faisait visiblement la gueule. Elle entra enfin dans le box. Adrian prit tout de suite la parole

Vous êtes en retard. Bonjour Séréna, nous avons du travail, dépêchez-vous de vous installez”. Il indiqua une des chaises vides se trouvant devant une table bourré de papier. Adrian alla s’asseoir sans trop faire attention à la jeune femme. Tout en regardant des papiers il s’adressa à son assistante. “Vous avez la liste des fournitures à acheter? Et la facture du service de décontamination qui a dû venir? Et sait-on enfin ce que contenait le flacon? Non car on est sencé faire du 100% bio, rien de chimique. On va passer pour des guignols. Il y a aussi les réponses au questionnaire sur l’usine à dépouiller. Vous savez ceux pour faire le bilan. Vous regarderez ça.” Il déposa devant elle un carton rempli de papier. Il leva enfin les yeux vers elle “Et allez nous chercher deux cafés”. La journée s’annonçait chargée.
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyDim 1 Déc - 22:32

La vie aurait pu être un long fleuve tranquille. Mais tout aurait été trop facile, beaucoup trop facile. Séréna à été élevée dans l’optique qu’on n’a ce que l’on mérite, que la vie n’était pas un bonbon tout rose (ou bleu selon nos préférences) et qu’il fallait s’accrocher pour y arriver. Séréna a toujours été une battante pacifiste. Pacifiste mais battante quand même. C’est donc pour cela qu’elle a toujours fait son travail sans réchigner que ça soit pour les études ou pour son job d’étudiante. Job d’étudiant avec de grands guillemets. En effet, il lui prenait presque autant de temps que d’étudier son cours d’anatomie. Mais, le salaire était correct et grâce à celui-ci elle avait pu mettre quelques dollars de côté, ce qui la réjouissait. Il y a quelques mois, elle avait répondu à une annonce pour être l’assistance d’un certain Monsieur Fisher pour une boite de cosmétique de Luxe. Elle y était allée avec son inséparable sourire même si elle n’était pas certaine d’être reprise puisqu’elle était toujours aux études. Et pourtant, elle avait signé un contrat. Elle était vraiment heureuse même si son entretien n’avait rien présagé de bon et qu’elle avait été très mal à l’aise. Monsieur Fisher (qui était loin d’être un thon, reconnaissons-le), l’avait accueillie derrière son bureau et lui avait lancé un bref regard avant de lui dire d’approcher. Séréna avait dégluti comme si elle devait aller à la barre avouer un crime qu’elle n’avait pas commis. Tout en s’approchant, l’homme continuait d’écrire. D’une voix assez froide il lui avait demandé de se présenter et c’est en disant qu’elle était en dernière année de médecine générale qu’il avait enfin pris la peine de la regarder. Séréna n’avait pas tenu le regard qui semblait durer une éternité et préféra regarder ses petites ballerines taille 37 que de regarder Fisher l’observer comme un animal. Il lui demanda de s’assoir ce qu’elle fit. Elle posa son joli fessier sur le bord de la chaise en attendant les instructions. Il lui montra d’un coup de tête l’ordinateur qui se trouvait à sa droite et lui demanda d’écrire un texte qu’il allait lui dicter. Ensuite il lui demanda de prendre congé en ajoutant qu’il donnerait peut-être des nouvelles favorables. Ce qu’il fit, elle était embauchée.

Séréna avait toujours travaillé sans râler auprès de Monsieur Fisher.  Elle acceptait tout ce qu’elle lui disait et avec le sourire en plus. Il avait de la chance de l’avoir, je pense qu’il le sait. Séréna avait pris son samedi pour pouvoir aller boire un verre avec son amie Jane. Ce petit plan sympathique tomba vite à l’eau puisque la veille, elle avait reçu un sms de Monsieur Fisher.  « RDV Demain. 8h. Bibliothèque. Box3 ». Elle n’avait pas vraiment eu le choix. Elle avait toujours aimé la bibliothèque, d’ailleurs c’était un de ses endroits préférés. Elle espérait juste que Monsieur Fisher n’allait pas rendre ce lieu horrible avec son travail par-dessus la tête. Elle appréciait son patron même si il n’était pas forcément aimable avec elle. Il était passionné par son travail et c’était respectable. Mais parfois, il arrivait à lui faire lever les yeux au ciel et à lui nouer la gorge. Un des rares à vrai dire. La petite blonde faisait trop attention à ce que disent les gens. Certaines fois, elle se sentait blessée d’être considérée comme une moins que rien mais qu’importe, elle savait qu’au fond Monsieur Fisher avait un bon fond et qu’elle ne devait pas lui en vouloir. Il était juste aveuglé par son travail. En fait, il était plus à plaindre qu’elle au final. Ce que ses proches ne comprenaient pas. D’ailleurs, personne ne la comprend vraiment. Sa gentillesse la nuira un jour qu’ils disent. A voir.

A 7heures moins une, elle entra dans la bibliothèque. Monsieur Fisher détestait qu’on soie en retard. Elle marcha d’un pas pressé vers le box numéro trois et aperçu monsieur Fisher à travers la vitre. Elle toqua discrètement et entra. Elle n’eu même pas le temps de se déshabiller qu’il la bombarda d’informations : “Vous êtes en retard. Bonjour Séréna, nous avons du travail, dépêchez-vous de vous installer. Vous avez la liste des fournitures à acheter? Et la facture du service de décontamination qui a dû venir? Et sait-on enfin ce que contenait le flacon? Non car on est sencé faire du 100% bio, rien de chimique. On va passer pour des guignols. Il y a aussi les réponses au questionnaire sur l’usine à dépouiller. Vous savez ceux pour faire le bilan. Vous regarderez ça. Et allez nous chercher deux cafés”

Séréna déposa son manteau sur le dossier de la chaise. « Bonjour Monsieur Fisher. ». Elle regarda discrètement sa montre. Il était 8heures et trois minutes. Elle leva les yeux au ciel en prennant dans son sac un sachet en carton et des papiers. «  Voici Monsieur votre café. J’ai pris la peine d’aller en acheter chez Starbuck’s. Ils sont meilleurs que ceux de la bibliothèque. » Elle lui tendit son café encore tout chaud et fumant. L’odeur envahi la pièce. « Je vous ai pris celui que vous préfériez… » Avec un sourire elle repris : « Oui, Monsieur Fisher, j’ai la liste des fournitures, je les ai commandées, elle devraient arriver demain au bureau quand tout sera redevenu à la normale. La facture de décontamination devrait arriver demain aussi. D’ailleurs, je pense que c’est un reste de produit qui à du tomber. Il reste beaucoup de flacons de produits toxiques dans les armoires du laboratoire. Vous n’avez rien à vous reprocher Monsieur Fisher.  Et je vais me mettre tout de suite au travail monsieur Fisher. »

Voilà ce qu’il fallait faire avec Monsieur Fisher : être ponctuelle, avoir l’esprit d’iniative et d’analyse. Et être ultra productive. Rien de plus. Simple non ?
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyLun 2 Déc - 11:38

Séréna arriva enfin dans le box. Elle avait intérêt à avoir travailler! Depuis le début elle avait été irréprochable, du moins principalement irréprochable. Bien entendu elle faisait quelques petites erreurs, ce qui était normal vu qu’elle n’avait pas la formation adéquate. Cependant elle était vraiment doué. Travailleuse, relativement ponctuelle, autonome et prenait par moment les initiatives, comme aujourd’hui. Alors qu’il lui avait demandé d’aller chercher un café à la machine automatique la voilà avec un délicieux Starbuck’s tout chaud. Suspicieux il renifla la boisson et en goûta un peu. Effectivement c’était le café qu’il préférait. Il ne pensait absolument pas qu’elle allait retenir ça. Il était très fière d’elle mais ne laissa rien percevoir. Il répondit tout simplement “Merci” d’un ton neutre. Adrian n’était même pas au courant qu’il y avait cette chaîne de café dans le coin. En fon de compte Pearl Trees n’était pas si désagréable à vivre. Il manquait juste la plage quoi. Bien entendu l’argent dépensé pour l’achat des cafés sera rajouté à la paie de la jeune femme. Déjà que le salaire n’était mirobolant, si en plus elle payait le café de sa poche, elle n’allait jamais s’en sortir.
Elle répondit ensuite à tout ce qu’il avait demandé. Elle avait tout les documents avec elle et surtout elle avait répondit à tout. “Faîtes moi penser à engager quelqu’un pour nettoyer tout les produits toxiques de cet endroit. On finira par tous y passer sinon.” Décidement les élèves en médecine ont une nette supériorité par rapport aux autres. Cette fille bossait vraiment dur, et pour la récompenser il allait lui proposer de l’aider à créer des parfums. Devoir maison : Séréna allait devoir trouver des plantes qui poussent dans le coin avec un joli parfum. Mais il n’allait pas la déranger maintenant, elle avait autre chose à faire comme s’occuper des questionnaires. Ce qu’elle avait d’ailleurs commencé à entamer. Il la regarda un moment travailler avant de se replonger dans les comptes de la société.

Les affaires allaient vraiment mal, chaque jours l’usine s’engouffrait un peu plus dans la crise. Adrian s’était promis de ne virer personne. Il avait beaucoup trop entendu le cas d’usine virant les trois quarts des employés car trop cher. Non tout le monde méritait de vivre avec un salaire correcte et ses employés étaient tous qualifié et performant. Cependant l’usine ne pouvait continuer comme ça. L’idéal serait de fermer la partie production le temps de créer des produits nouveaux pour ne fabriquer plus qu’eux. Les anciens ne se vendaient plus. Pourvu que les employés comprendront sa démarche, un mouvement de crève et l’image de la boîte en prendrait un coup. Il fallait aussi redoré l’image de la gamme de produit. Mmm il fallait faire un nouveau concept publicitaire, vendre l’usine, faire dans l’authentique. Racheter la confiance de Pearl Trees et des environs avant de conquérir l’Amérique. Un nouveau concept devait absolument voir le jour. Il partit du box sans rien dire et revint 15 minutes plus tard les bras chargés de bouquin sur le parfum au fil des siècles et de livre sur la publicité. Il posa tout ça sur les tables dans un gros bruit. Il s’assied à nouveau sur sa chaise, prit le premier livre de la pile et l’ouvrit à une page au hasard. Adrian lut un peu ce qu’il y avait d’écrit avant de parler à Séréna.

Qu’utilisez-vous comme produit de beauté et pourquoi avoir choisis ceux là? Vous habitez Pearl Trees depuis longtemps?” Quand Adrian s’adressait à quelqu’un, il aimait que la personne arrête de faire ce qu’elle faisait pour se consacrer à lui seul. C’était la moindre des politesses de ne pas faire plusieurs choses en même temps. Qu’importe si elle avait beaucoup de travail, elle finirait chez elle au besoin.
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyLun 2 Déc - 21:50

Depuis qu’elle s’était réveillée ce matin là, Séréna savait que sa journée allait être longue. Elle aimait travailler avec Monsieur fisher. Inconsciemment peut-être il lui inculquait des principes et des valeurs auxquels elle adhérait. La volonté, le courage et la persévérance. Il avait fait beaucoup pour l’usine de parfums de Pearl Trees. Elle en avait beaucoup entendu parler dans les journaux : l’usine allait faire faillite. Et puis, Monsieur Fisher est arrivé avec sa petite tête d’homme d’affaires et tout reprends tout doucement son cours. Séréna avait pu constater l’évolution du travail de monsieur Fisher et elle doit bien avouer : il s’en sortait bien. Mieux qu’il ne le pense. En soi, il se tracassait beaucoup trop, mais c’était un perfectionniste. Ca se voyait malgré lui. Ou bien, avait-il quelque chose à prouver ? Sans jouer à la psychologue, Séréna se retrouvait un peu en lui. Son obsession du travail bien fait compensait une douleur, un vide chez elle. La jolie blonde pense que c’est le cas de Monsieur Fisher aussi.

En lui tendant son café, Séréna ne récolta qu’un simple « merci ». C’était déjà bien pour monsieur Fisher. En fait, souvent il lui disait de continuer ce qu’elle faisait ou il prenait les choses sans rien dire. Elle accepta son remerciement avec un sourire et commença à dépouiller les papiers de l’étude de marché. Il l’entendit ruminer : « Faîtes moi penser à engager quelqu’un pour nettoyer tout les produits toxiques de cet endroit. On finira par tous y passer sinon. » . Elle répondit simplement : « Oui Monsieur Fisher. » Après un instant de réflexion elle reprit : « Pourquoi vous ne les vendez pas sur internet ? Ca ferait de l’argent à l’entreprise. Ou bien à l’université dans la faculté de Chimie ? C’est cher c’est produit là. Ca peut faire une belle rentrée d’argent. » Séréna et son bon côté pratique des choses. Parfois, elle se demandait si elles n’étaient pas plusieurs dans sa tête pour pouvoir penser à tout.

Séréna continuait d’éplucher les données et d’étudier les réponses du bilan tandis que Monsieur Fisher était occupé de son côté, il se prit un petit temps avant qu’il ne s’adresse à elle : “Qu’utilisez-vous comme produit de beauté et pourquoi avoir choisis ceux là? Vous habitez Pearl Trees depuis longtemps? » Ces questions la déconcerta un moment et laissa échapper un « heuuuu… » involontaire. D’habitude, il ne lui posait jamais ce genre de questions. Au fond, il la considérait peut-être bien finalement. « J’ai toujours habité ici et pour être franche, je n’ai jamais acheté les produit de cette usine. D’une part parce que les prix sont assez cher vu leur qualité et d’autre part à cause de la visibilité. On en entend plus parler des problèmes de l’usine que des produits. Je pense qu’il faudrait travailler ce côté marketing. Et pourquoi pas ne proposer une gamme pour les jeunes filles ? On est nombreuses à Peerl Trees. » Elle fit une petite pause avant de reprendre : « Et puis, personnellement, je me maquille que très peu. Je préfère le parfum. Les bonnes odeurs qui rappellent la campagne et les fruits. » Séréna osa affronter le regard de Monsieur Fisher ne sachant si c’était la réponse qu’il attendait et puis sans savoir pourquoi elle lui demandea : « Et vous Monsieur Fisher ? Vous aimez quoi dans le maquillage d’une femme ? Qu’est ce que vous aimeriez voir sur le visage de la femme que vous aimez ? » Elle lui fit de gros yeux et baissa les yeux et s’excusa en bredouillant un petit « désolée » avant de s’enfuir sous les chiffres des papiers qu’elle devait analyser. Celà ne lui ressemblait pas d'être intrusive. Monsieur Fisher déteindrais-t-il sur elle ?
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyLun 2 Déc - 22:28

Il n’avait pas pensé à ça. Effectivement revendre les produits pouvaient être une très bonne idée. Il n’avait aucune idée de combien ça pouvait rapporter à l’entreprise mais même 10€ ça serait déjà ça! A vrai dire il n’avait jamais pensé à faire ça car pour lui c’était idéal. En se remémorant rapidement ses cours de droit, il ne trouva aucune trace de la moindre illégalité. Il faudra quand même vérifier tout ça. Pour ce genre de chose il n’avait pas suffisamment confiance en Séréna. Si elle se trompait l’usine pouvait être accusé de trafic de stupéfiant ou il ne savait pas trop quoi. Il griffonna l’idée sur son carnet en l’encadrant en rouge, signe qu’il allait le faire rapidement et que par conséquent c’était une bonne idée. Une fois le tout noté, il releva la tête “idée intéressante”. Séréna ne devait de toute façon pas s’attendre à le voir crier au génie même si au fond, sur ce coup elle l’avait complètement bluffé. Ne pas donné trop d’espoir aux gens. A force de leur donner beaucoup de travail et peu de compliment, ils finissent par trouver incroyable un simple merci. Ils deviennent reconnaissant et pas pourri gâté. Théorie peut-être bancal mais que croyait dur comme fer Adrian.

Il était donc allé chercher tout un tas de document avant de poser une question à la jeune femme. Non pas qu’il s’intéressait particulièrement à elle mais c’était le seul échantillon féminin qu’il tenait sous la main. Elle allait devenir la beta testeuse de la gamme. En écoutant sa réponse il but une gorgée du café. Apparemment sa question avait déconcerté complètement la jeune femme vu qu’un son ridicule était sortie comme par réflexe de sa bouche. Il la regarda droit dans les yeux légèrement blasé qu’elle ne lui réponde pas plus rapidement. C’était pas bien compliqué comme question pourtant.
Elle lui expliqua que l’usine faisait de la merde. Elle l’avait dit de manière élégante mais en gros c’était ce qu’elle avait voulu dire. Donc ce n’était pas dans sa tête, les produits sentaient vraiment mauvais. Il se souviendra toujours de la première fois qu’il a mit les pieds là bas, une migraine, mais une migraine terrible. Tout ses produits chimiques et mélanger à des fleurs qui avaient du pourrir dans un coin, une ordeur ignoble. Maintenant on puait toujours quand on y ressortait mais la qualité de la puandeur était tout de même plus haut de gamme même s’il y avait encore du boulot. Bien que sa franchise là dessus lui avait plu, il aima beaucoup moins qu’elle lui donne comme conseil de redorer l’image de la société. Son regard se ferma d’un coup. Nooon, il n’avait pas du tout pensé à ça. Elle le prenait pour un imbécile complet? Qui était le patron ici? Elle s’était permise un peu trop de liberté et il la ramena à l’ordre directement. “Vous n’êtes pas payé pour penser marketing, chose pour laquelle vous n’êtes pas qualifié, mais obéir à mes ordres et répondre à mes questions”. Il fut sec. La jeune fille continua donc sa réponse, ce qui était la chose à faire. Prendre la réflexion et continuer de répondre. Elle ne l’aurait pas fait, Adrian aurait râlé. Cependant, ses réponses lui apportèrent confirmation. Il devait faire des odeurs simple et légère. Visiblement la mode du maquillage etait au nude, le parfum devait aussi suivre cette tendance. Il se détendit un peu contente d’avoir vu juste. Il continua de lire son livre

«Et vous Monsieur Fisher ? Vous aimez quoi dans le maquillage d’une femme ? Qu’est ce que vous aimeriez voir sur le visage de la femme que vous aimez ? » Surpris qu’elle lui pose ce genre de question personnel, il releva la tête d’un coup. Il ne s’était jamais posé la question. C’était une bonne question. Il se mit à imaginer un maquillage qu’il aimerait voir sur une fille qu’il aime. La tête d’Alery tout sourire lui arriva alors en pleine face. Oulala il n’aimait pas du tout avoir en tête cette fille quand on lui posait cette question! Adrian commençait à s’enerver, on pouvait le lire dans son regard. Il allait ouvrir la bouche pour réprimander la jeune femme quand celle-ci s’excusa tout de suite. Après tout, ce n’était pas de sa faute s’il avait pensé à la mauvaise personne au mauvais moment. Il se radoucit. Il passait vraiment d’un comportement radical à un autre. Séréna, ultra gêné, avait reprit son travail. Elle semblait vraiment intéressée par la compagnie et avait posé la question dans le cadre d’un débat d’idée. Certes, il restait le patron mais il pouvait de temps en temps écouter l’air de rien ce qu’elle disait. Pour la récompenser, il allait lui donner du travail supplémentaire.

Séréna, j’ai une mission pour vous. Pour demain, trouvez-moi 3 compositions de différentes plantes pour en faire un parfum que vous pourriez porter” Le mieux pour faire de la pub c’est donné l’impression que l’on n’en fait pas. Par la suite il donnerait un échantillon à Séréna et ses amies qui serviraient de panneau vivant. On verra plus tard de toute façon.
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptySam 14 Déc - 15:33

Séréna avait cru bien faire en répondant à la question de Monsieur Fisher. Elle a toujours été de nature franche et se sentit légèrement blessée par la réaction de son patron. D’abord il lui sous entendit de fermer sa jolie bouche pour être polie. Cela refroidit Séréna qui pensait bien faire. Il avait besoin d’un coup de main et elle se faisait réprimander par ce qu’elle disait une vérité qui ne lui plaisait pas. Elle admirait beaucoup monsieur Fisher, mais son côté moi-je-sais-mieux-que-toi avait le don de la rendre muette. En plus, il avait un air de dictateur cubain quand même. Ce qui n’arrangeait pas la première impression qu’il donnait. La première fois que Serena l’avait vu, c’était à une conférence sur les produits chimiques donnés à l’université. Suite à cette conférence, Séréna s’était jurée de se spécialisée dans l’homéopathie. Pour en revenir à Monsieur Fisher, il avait prit la parole un court instant pour annoncer que l’usine de parfum serait biologique. Il avait donné son discours en homme conquérant, un guerrier qui allait sauver la planète mais tout en gardant cette sobriété et ce visage fermé qui le caractérise tant. Séréna s’était même dit qu’il avait beaucoup de charisme en plus d’être un homme en apparence intelligent.

Quand Séréna eut dépassé les limites en lui répondant par une autre question en implicant une femme qu’il pourrait aimer. Séréna senti son cœur se serrer encore plus quand Monsieur Fisher eut des expressions étranges sur le visage. Il était quelqu’un d’assez expressif même si la jolie blonde savait qu’il essayait de se contrôler. Elle s’attendait à se faire réprimander pour sa curiosité intrusive mais rien n’en fut. “Séréna, j’ai une mission pour vous. Pour demain, trouvez-moi 3 compositions de différentes plantes pour en faire un parfum que vous pourriez porter”. Serena ne s’attendait pas à une telle nouvelle. En fait, Monsieur Fisher avait plus besoin d’elle qu’il ne semblait le montrer. Elle était ravie de cette nouvelle et avait hâte de quitter la bibliothèque et de partir à la recherche de nouveaux composants. Séréna adorait se balader pour humer les parfums de la nature et s’évader dans ses pensées, elle prit avec joie cette nouvelle et se promit d’emmener une de ses amies avec elle pour l’aider à trouver la composition qui ferait rêver monsieur Fisher à un avenir prometteur pour la parfumerie.
Séréna avait déjà quelques idées en tête, des odeurs fraîche et discrètes mais le défi était de trouver ces plantes. Elle savait que ça n’allait pas être une tâche facile mais s’était de loin la plus intéressante que Monsieur Fisher lui avait confiée. « D’accord Monsieur Fisher, je vous apporte ça demain. » C’est donc tout sourire que Séréna se remit au travail. Pendant 30 minutes il n’y eu aucun mot dans le box tout deux bien trop occupés. Séréna boucla très vite les réponses du questionnaire et d’en faire une synthèse.

« Voici les chiffres Monsieur Fisher. J’ai fait les calculs et il soit possible qu’il y a une marge d’erreur de 0,7%. Il me semble que l’évolution est assez bonne en comparaison avec le premier bilan que j’ai effectué pour vous. C’est très prometteur, vous faites du bon boulot Monsieur Fischer. » Séréna lui tendit les chiffres avec un sourire compatissant. Oui, elle appréciait Monsieur Fisher même si ses amies n’avaient pas lésiné de critiques à son sujet. Elle s’en était fait sa propre idée et était heureuse de travailler pour un homme comme lui.
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Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Gassmile

▌AVATAR : Gaspard Ulliel
▌CRÉDITS : ChloP (Bazzart)/ Merci à Kréou pour le gif <3
▌PSEUDO : /
▌HISTOIRES POSTÉES : 308
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 19/11/2013
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 4695
▌DATE DE NAISSANCE : 03/08/1986
▌MON ÂGE : 38
▌QUARTIER : Pines Square - Le Peuplier
▌EMPLOI/ÉTUDES : Chargé de redresser une usine de parfum au bord de la faillite
▌CÔTÉ COEUR : La p'tite junkie commence à s'installer

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▌EN CE MOMENT : Quoi de plus beau qu'une balade en forêt le dimanche? Apparemment Alery n'est pas vraiment d'accord.
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MessageSujet: Re: Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) Au boulot! Et plus vite que ça (Séréna et Adrian) EmptyDim 15 Déc - 12:42

Soyons honnête, Adrian n’y connaissait rien du tout en cosmétique. Il avait dû apprendre tout ça sur le tas et rapidement. Au début il ne devait que donner des consignes au directeur de l’usine d’un point de vue markéting et gestion du personnel. Bref un travail de consultant. Mais en reniflant le parfum proposé à la vente, il comprit que la qualité posait problème. Elle n’avait fait que décliner d’année en année pour devenir un produit qui sentait le détergent. Le 100% nature vanté, était devenu un ramassis de produit toxique. Surprenant que l’usine n’ait pas explosé entre temps. L’odeur était insupportable et il trouvait scandaleux que des personnes s’étalent ce genre de substance sur le corps. Même s’il fumait, il aimait les produits naturelles, il achetait bio et aimé utiliser des produits respectueux de l’environnement. Bien entendu il devait faire certaines entorses pour son boulot mais il préférait les produits naturels surtout quand on doit se les étaler sur la peau.

Adrian avait dû remanier tout, absolument tout et tout seul car les employés de l’usine avait légèrement baissé les bras, se préparant à être viré. Quand il est arrivé, personne ne croyait en lui. Archétype du jeune branché venant de Miami voulant faire ses preuves, il avait dû se battre pour gagner la confiance des employés. Il avait recruté Séréna une fois son intégration déterminé. Lors de son entretien il l’avait trouvé un peu niaise dans son regard mais souriante et déterminé. Puis le fait de faire médecine était un grand plus. Depuis qu’il travaillait ensemble, il avait rarement dû crier sérieusement contre elle, il râlait tout le temps et la remettait à sa place mais c’était surtout sa façon de s’exprimer. Elle faisait du très bon travail, si ce n’était pas le cas jamais il lui aurait demandé de donner son avis dans la création d’un nouveau parfum. Au début la gamme visait un publique de femme riche généralement avec un bon poste. Comme l’avait proposé sa jeune employée, la gamme allait changer de cible. Pearl Trees était une ville assez étudiante et relativement jeune, ce qui étonnait Adrian. Qui diable de 20 ans viendrait s’enterrait ici? Soit, il devait viser les jeunes femmes et les adolescentes. En plus il avait sous ses yeux un parfait cobaye! Bon normalement il aurait dû l’augmenter si elle commençait à faire de la publicité sans le savoir et aider à la conception, mais il n’était pas sûr qu’elle soit au courant. Autant se taire sur le sujet donc.

Tout les deux travaillaient et le silence se fit donc rapidement. Adrian aimait le silence pour travailler, rien de pire que de bosser dans le bruit ou pire avec de la musique comme certains de ses anciens collègues faisaient. Le silence fut rompu par Séréna qui avait finit son job. « Voici les chiffres Monsieur Fisher. J’ai fait les calculs et il soit possible qu’il y a une marge d’erreur de 0,7%. Il me semble que l’évolution est assez bonne en comparaison avec le premier bilan que j’ai effectué pour vous. C’est très prometteur, vous faites du bon boulot Monsieur Fischer. » Il était toujours très étonné quand on lui disait qu’il faisait du bon boulot. Il n’avait pas tellement l’habitude et ça le géné un peu mais en même temps il se sentait tout fière de réussir. Un vrai gosse en fin de compte. “Très bien. Je pense que nous faisons du boulot”. Il avait fait exprès de dire par sous entendu que Séréna y était aussi pour quelque chose. Il faisait peu de compliment direct mais il trouvait juste de ne pas prendre le mérite uniquement pour lui, enfin… En privé. Il ne dira pas au PDG de la société que l’usine a été redressé avec l’aide d’une gamine. Il regarda sur le planning de boulot du jour pour voir ce qu’il pouvait lui donner d’autres à faire. Il cherchait un truc qu’il n’avait pas envie de faire lui quand il se rendit compte qu’il avait oublié quelque chose d’important. Tout les ans l’usine organisait un repas de Noël pour les employés et leurs enfants. Si cette année il n’en organisait pas, on serait au bord de l’insurrection. Il soupira “J’ai complétement oublié de penser à quelque chose. Il faut qu’on organise le repas de Noël, vous savez celui où la famille vient et tout le monde fait semblant de passer un bon moment. Malgré le peu d’argent à notre disposition, nous devons faire en sorte que tout se passe bien. Commencez par établir le nombre de personne présente au maximum. Normalement sur les fiches employés il y inscrit la composition de leur foyer.” Il poussa vers elle un nouveau dossier avant de continuer sa lecture.

Quelques minutes s’écoulèrent durant lesquels il regardait les flacons des parfums tous plus extravagant les uns que les autres. “Séréna, est-ce que pour vous la beauté du flacon est importante?”
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