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Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery

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Tamara C. Redbird


Tamara C. Redbird


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▌AVATAR : Mila Kunis
▌CRÉDITS : Chevalisse & tumblr
▌PSEUDO : Lilie
▌HISTOIRES POSTÉES : 25
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 04/05/2014
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 190
▌EMPLOI/ÉTUDES : Photographe

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MessageSujet: Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery EmptyMer 7 Mai - 23:41

Avery & Tamara
Il y a toujours un risque quand on entreprend quelque chose. Mais le risque doit être pris parce que le plus grand danger de la vie est de ne rien risquer. La personne qui risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien. Il peut éviter la souffrance et le chagrin, mais il ne peut simplement pas apprendre, sentir, changer, grandir, vivre et aimer

Voilà quelques jours, voire même quelques semaines qu’elle était revenue de Los Angeles, et sa vie reprenait son cours, ou du moins, elle essayait de faire comme si tout allait bien. Elle était arrivée chez ses parents avant de se trouver un chez elle, bien qu’elle n’ait eu aucune envie de quitter la demeure familiale et laisser sa mère avec ses traitements contre le cancer. Elle se rappelait parfaitement de la conversation qu’elle avait pu avoir avec elle, alors que son père n’était pas à la maison « Tamie, tu ne peux pas rester ici, tu le sais pertinemment. Tu ne peux me voir dans cet état là tous les jours. Je veux que tu aies ton indépendance.. » . La brunette n’avait pu que sourire en secouant la tête «Maman. Mais je… » . Clara était venue prendre sa fille dans ses bras, en lui caressant les cheveux et en la berçant doucement « Ton père est heureux d’avoir à nouveau sa princesse, mais rappelle toi ce qui s’est passé avec… tu as besoin de ton cocon, de retrouver des habitudes prises loin de nous, sauf que là, tu seras plus près de nous, et je compte bien avoir mon bébé le plus souvent près de moi. D’ailleurs, est ce que tu as revu Avery ? » .

Les larmes étaient arrivées aux yeux de la demoiselle, parce que c’était difficile d’entendre parler sa mère ainsi, elle qui était atteinte de cette maladie qui n’avait pour le moment aucun traitement définitif malgré les chimio, les rayons. Rien n’assurait une rémission parfaite, et c’était ce qui lui faisait le plus de mal. En même temps, elle ne parlait pas comme une condamnée, ce qui la rassurait mais le fait de mentionner celui qui avait toujours possédé son cœur la faisait se sentir à l’époque où elle avait tout quitté ici, sans lancer un regard en arrière à celui qui l’avait lâchée, abandonnée. « Maman, encore heureux que je sois revenue, et tu en connais les raisons, même si on n’en parle pas. Quant à lui, je n’ai pas envie d’en parler. non, je ne l’ai pas revu, en fait je fais tout pour le fuir, pour ne pas revivre les moments que l’on a vécu lui et moi, mais être ici, ce n’est pas facile, mais je ne regrette pas, parce que je suis là pour toi, avec toi, avec vous deux.» . Rien de repenser à tout ceci fit sourire Tamara, alors que les larmes étaient en train d’apparaitre. Et c’était ainsi qu’elle s’était réveillée, et elle avait senti quelque chose de mouillé sur sa joue, ce qui la fit sursauter. Elle se rappela qu’elle avait pris quelques jours auparavant un petit chien, un labrador d’à peine 2 mois, qui l’avait faite littéralement craquer et qui lui changeait les idées. En plus, elle en était complètement gaga et son appareil photo avait servi plus d’une fois. Alors certes, c’était son métier et elle se rendait compte qu’elle n’avait pas pris beaucoup de photos depuis qu’elle avait reposé le pied dans sa ville natale, toutefois elle n’avait pas dit son dernier mot et comptait bien poursuivre sa carrière compromettante. «Nola, s’il te plait, je ne suis pas triste, ce n’est pas la peine d’essayer de me réconforter, mais j’apprécie» . Elle se montrait des plus douces avec cette petite boule de poile qui lui faisait tant de bien, et elle se pressa de se lever, avant d’éviter d’avoir une toilette gratuite au réveil, alors qu’elle n’avait rien demandé. Se pressant d’aller dans la cuisine, elle donna ce que Nola réclamait alors qu’elle se servait un petit déjeuner complet, idéal pour qu’elle puisse tenir pour son jogging matinal. Comme elle n’avait pas envie de faire une crise d’hypoglycémie et se retrouver à l’hôpital, elle s’était empressée d’aller s’habiller avec un short, un débardeur et avait attrapé la laisse, elle avait expressément attaché son labrador, qui se montrait réticent, comme à chaque fois. «je suis obligée, sinon tu vas me faire faire le tour des propriétés et que je ne veux pas te perdre» . étant sortis de la maison, elles avaient alors parcouru une bonne centaine de mètres qu’elle avait remarqué que Nola n’avançait plus, si bien qu’elle avait alors décidé de lui faire confiance, parce que la brunette avait remarqué que son chiot pouvait se montrer très docile et ne bougeait pratiquement pas. Mais à peine lâchée qu’elle s’était empressée de courir, au point que Tamara dut en faire de même pour la retrouver, ce qui fut le cas assez rapidement même. «Tu sais que tu es impossible toi. Mais je vois que tu as trouvé quelqu’un…» . Nola semblait avoir trouvé de la compagnie, mais la demoiselle ne vit qu’une silhouette, une silhouette qui lui était familière. Des frissons parcoururent sa peau et lorsque la personne se retourna, les mots lui manquèrent. Ce n’était pas possible, pas lui. Ses jambes furent à deux doigts de se dérober sous elle, et elle ne put que murmurer «Avery..» . Prononcer son nom lui coutait, et lui donnait envie de partir en courant, parce que cela faisait 7 ans, 7 ans qu’ils ne s’étaient pas vus et qu’elle se rappelait très bien des derniers mots qu’elle lui avait dits, et même 7 ans après, elle savait pertinemment qu’elle ne le détestait pas, bien au contraire, elle l’aimait de tout son être, comme au premier jour..

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Avery W. Griffin


Avery W. Griffin


tumblr est mon ami

▌AVATAR : CM Davis
▌CRÉDITS : class whore
▌PSEUDO : Petit_Biscuit (Cléo)
▌HISTOIRES POSTÉES : 54
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 09/03/2014
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 285
▌EMPLOI/ÉTUDES : Jardinier
▌CÔTÉ COEUR : Célibatard


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MessageSujet: Re: Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery EmptyMer 14 Mai - 18:35


WHERE ARE THOSE HAPPY DAYS, THEY SEEM SO HARD TO FIND ?
Tam & Ave
Aujourd’hui encore, Avery passe ses journées au parc. Non non, ce n’est pas pour ne rien faire, s’allonger dans un coin d’herbe et regarder les nuages tout en essayant de trouver des formes comme quand il était gosse. S’il est là c’est uniquement pour le boulot. Bien sûr, il aime les parcs, il aurait pu venir de lui-même mais là, il aurait des tas d’autres choses à faire. Le maire l’a contacté il y a peu pour qu’il s’occupe du parc pendant un temps indéterminé, autant de temps qu’il en a besoin. En tant que jardinier, autant dire qu’il en a des choses à faire, surtout que le printemps est tout de même bien avancé maintenant. Observant alors tout ce qu’il lui reste aujourd’hui, tout comme les jours qui viennent puisque mis à part ses jours de congés prévu, il n’a pas d’autres jardins à aller s’occuper, le travail pour la ville passe avant le reste, c’est inscrit dans son contrat et de toute manière, Avery préfère empiler les dossiers plutôt que tout faire d’un coup. Avery part du principe qu’on ne peut pas faire les choses bien si on ne les fait pas totalement d’un coup. Le jeune homme fut enlevé de ses pensées par un chien qui vient se mettre contre ses jambes. Se baissant alors pour le caresser, il lui dit simplement, comme s’il allait sérieusement lui répondre. « Coucou toi, tes maitres ne savent pas qu’il faut une laisse par ici ? » Avery n’a rien contre les chiens, il trouve même qu’il y a des règles sur la tenue en laisse des chiens qui sont totalement idiote. Seulement là puisqu’il doit continuer de travailler, il préfère nettement mieux ne pas être dérangé par un chien qui court partout. Entendant des pas venant vers lui, il n’eut pas de mal à savoir qui le maitre ou la maitresse du chien venait le récupérer. Se retournant, prêt à saluer la personne qu’il ne pensait ne pas connaitre, en voyant la personne en face de lui, il eut comme un blocage.  « Avery… » Avery se bloqua totalement en entendant cette voix, en voyant ce visage qu’il connaissait autrefois par cœur. Il la connaissait tellement dans le passé que même le présent est touché et certaines choses sont encore présentes. Sept ans, ce n’est pas rien, surtout à l’heure âge, ce n’est même pas un cinquième de leur âge et pourtant, après tout ce temps, l’eau n’a pas totalement coulée sous les ponts. Après tout, ce n’est pas pour rien s’il n’a pas de relation longue et sérieuse, ok il ne cherche pas et encore une fois, c’est totalement inutile de se demander pourquoi. Sept ans... Elle est toujours aussi belle mais ce n'est pas la seule raison qui font qu’il la fixe de cette manière. Tout simplement parce qu’elle est : « Tam… » Il s’est préparé à son retour ou du moins il a tenté de s’y préparer. Grace à son frère Ioan il sait qu’elle est en ville, sinon il ne l’aurait jamais su. En attendant, l’ainé des Griffin a tenté de se préparer au cas o elle le croiserait par hasard dans une rue de Pearl Trees. Si au début il aurait pu imaginer qu’elle lui aurait dit, il s’est vite fait à l’idée que même si elle est ici pour une durée indéterminée, elle ne souhaite pas le voir. En même temps comment aurait put-il s’attendre à autre chose sachant que ses derniers mots prononcé fut qu’elle le détestait. La seule solution qu’ils avaient alors de se croiser, oui parce qu’Avery ne compte pas du tout faire le premier pas, ce n’est pas à lui de le faire après tout, est le hasard. Pearl Trees est loin d’être une grande ville, on ne peut même pas vraiment le qualifier de ville vu la taille du patelin. Pourtant, il ne pensait pas la voir là, alors qu’il travail, ou du moins alors qu’il est censé le faire. « Tu… tu es là ! » ‘Bravo Avery, tu ne passes pas pour un boulet c’est ça l’avantage’ et bien évidement, ce n’est pas dit au premier degré. Bien sûr qu’il passe pour un boulet, c’est juste certain. Sa réplique est totalement idiote, bien sûr qu’elle est là, sinon il ne pourrait pas la voir en la parlant.  Se sentant mal à l’aise avec ce qu’il vient à peine de dire, il se passa une main derrière le crane, visiblement gêné par ce qu’il se passe à cet instant. Le seul sujet de conversation qu’il tenta d’aborder, le seul qu’il ne pourrait pas faire de bourde, ou du moins normalement, fut « Alors c’est à toi cette petite boule de poil ? » Il voulait lui demander combien de temps elle allait rester en ville, ce qu’elle fait aujourd’hui si elle est en internat de chirurgie comme elle le souhait en partant loin d’ici, apportant avec elle son cœur meurtri. Pourtant, au lieu de lui poser toutes ses questions, il est là tout bêtement, accroupi devant un chien qui semble l’être et lui demander conformation. Vous parlez d’une très bonne conversation échangée entre deux ex qui comptaient énormément l’un pour l’autre autrefois. Mais là, être accroupie devant le chien, cela lui permet de ne pas la regarder et surtout, de ne pas replonger dans son regard. Lorsqu’ils étaient encore ensemble, il lui suffisait de le regarder dans les yeux pour qu’elle fasse ce qu’elle veut de lui. Aujourd’hui, Avery ne veut pas prendre le risque que ce soit encore le cas aujourd’hui.


made by pandora.
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Tamara C. Redbird


Tamara C. Redbird


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MessageSujet: Re: Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery Where are those happy days, they seem so hard to find ? - Avery EmptyMer 14 Mai - 22:56

Avery & Tamara
Il y a toujours un risque quand on entreprend quelque chose. Mais le risque doit être pris parce que le plus grand danger de la vie est de ne rien risquer. La personne qui risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien. Il peut éviter la souffrance et le chagrin, mais il ne peut simplement pas apprendre, sentir, changer, grandir, vivre et aimer

Depuis qu’elle était revenue, Tamara avait eu l’habitude de rester enfermée chez elle, ou de rester chez ses parents avec sa mère, à ses plus petits soins, comme si chaque moment pouvait être le dernier. En même temps, cela lui permettait d’éviter au maximum celui qui habitait toujours ici et avec lequel elle avait connu des moments délicieux, au point qu’elle avait envisagé un futur en sa compagnie, mais tout avait été anéanti, et la brune lui en voulait encore, bien qu’il avait eu une excellente excuse, vu que c’était la même qui la faisait revenir aujourd’hui dans cette ville, cette ville où elle avait grandi. Alors maintenant, elle était revenue en étant une femme, une photographe mais elle avait carrément planté sa vie sentimentale, s’étant refusé à refaire sa vie, malgré les assauts de certains hommes qui auraient aimé la mettre dans son lit. Mais elle avait rejeté toutes les propositions, toujours hantée par le fantôme de son ancien petit ami. Alors, à présent, elle avait essayé de se reconstruire, en prenant un labrador encore jeune, pour essayer de ne plus rester seule, et surtout si elle devait partir en séances photos, elle était sure comme ça que sa mère ne se retrouverait pas seule. C’était stupide, mais Tamara avait besoin de sentir que sa mère n’était pas seule, parce qu’elle avait toujours été là pour les autres, et découvrir qu’elle avait un cancer avait quelque peu éloigné les plus réticents, alors que d’autres étaient toujours fidèles au poste. MaisClara Redbird était relativement fatiguée, et la jeune femme le comprenait aisément, voilà pourquoi ce matin là, elle avait préféré rester chez elle et en profiter pour sortir avec Nola. Sauf que si elle avait cru que tout se passerait bien, c’était bien trop demander et surestimer la jeunesse de la jeune chienne, qui avait décidé de n’en faire qu’à sa tête, au point de partir et la faire courir sur quelques mètres, avant qu’elle ne la retrouve en charmante compagnie. Elle s’en voulait d’avoir enlevé la laisse, surtout quand elle avait vu qui était la personne présente à coté de son adorable chien. Avery, alias l’homme qu’elle n’avait jamais cessé d’aimer et pour lequel son cœur fit un bond dans sa poitrine. La brune le dévisageait, comme si c’était la première fois qu’elle le voyait, alors que ses traits, sa peau, elle avait tout connu et réussissait même à tout redessiner les yeux fermés, chaque instant étant à jamais ancré en elle, comme un tatouage ou une photographie que le temps n’aurait pas abimée. Oui, la preuve qu’il était bel et bien son âme sœur, l’homme qu’elle aimait et ne cesserait jamais d’aimer, bien qu’à cet instant précis, tout poussait à croire le contraire, dans sa manière à rester telle une statue. Son « Tam… » la fit frissonner et elle esquissa un léger sourire avant de se pencher afin de faire revenir Nola à ses cotés, comme si sa présence lui permettrait d’avoir le courage nécessaire de l’affronter, ou du moins de lui parler. La brunette avait vu un des frères d’Avery dans Pearl Trees et elle se doutait que son ex petit ami était au courant de son retour, alors son « Tu… tu es là ! » sonnait quelque peu faux, mais elle s’était bien retenue de dire quoi que ce soit. Se pinçant les lèvres, elle n’avait pu que murmurer « oui, je suis là. Tu aurais peut-être espéré que je ne sois qu’un rêve et à des années lumière d’ici ». Mince, ce n’était pas ce qu’elle voulait dire, et elle se reprit très vite « ce n’est pas ce que je voulais dire, pardonne moi.». Bon sang, c’était le comble, elle s’excusait, elle alors qu’elle avait été délaissée du jour au lendemain. La brune ne cessait de le regarder, lui qui passait une main derrière le crane, ce qui démontrait qu’Avery était aussi mal à l’aise qu’elle. Et toujours accroupie, elle ne pouvait que constater que Nola refusait de venir vers elle, et c’était lui qui avait le privilège de l’avoir et de pouvoir la caresser. « Alors c’est à toi cette petite boule de poil ? » . La jeune femme avait soupiré, se relevant et s’avançant vers eux, avant de s’accroupir à nouveau pour la caresser. Nola était sans doute ce petit plus qui l’accrochait à la vie et lui faisait oublier tous ses soucis. Essayant de retenir les larmes qui commençaient à apparaitre, elle avait glissé « oui, elle est à moi. Elle s’appelle Nola, gentille Nola qui n’écoute pas beaucoup sa maitresse et qui préférerait t’avoir en maitre, ce qui est assez ironique…». Se mordant la lèvre inférieure, Tamara effleura les doigts d’Avery et le contact l’électrisa, au point qu’elle posa sa main sur le visage de son ancien petit ami, afin de percevoir son regard. « 7 ans ont passé, 7 longues années.. j’ai tout fait pour… en fait, je crois qu’il vaut mieux qu’on y aille, on a une balade à faire, et je ne veux pas te déranger, donc nous allons te laisser.». Attachant la laisse à Nola, elle s’était relevée et était à deux doigts de partir, lorsqu’elle finit par murmurer « comme tu m’as laissée par le passé…». c’était petit de lui dire ça, mais elle n’avait pas pu s’en empêcher, et le pire c’était qu’elle n’arrivait pas à s’excuser ou du moins elle ne pouvait pas…

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