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You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN

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L. Calliopée Bennett


L. Calliopée Bennett

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▌AVATAR : Aimee Teegarden
▌CRÉDITS : TearsFlight & Silverlungs
▌PSEUDO : Maïssane
▌HISTOIRES POSTÉES : 145
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 10/03/2014
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 675
▌DATE DE NAISSANCE : 14/02/1994
▌MON ÂGE : 30
▌EMPLOI/ÉTUDES : Etudiante en droit, photographe à tes heures perdues
▌CÔTÉ COEUR : Le yoyo sentimental.

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▌EN CE MOMENT :
C'EST TELLEMENT PLUS FACILE DE FUIR
QUE DE SE BATTRE POUR CE QU'ON VEUT VRAIMENT.
Tu t'entremêles et tu restes enfermée et tes sens te disent que tu veux t'en aller. Et leurs rires résonnent, et le mal s’amplifie car leurs rimes te suivent et deviennent ta routine. Car la vie est ailleurs dans un âge lyrique. Et seule sans prières. Tu renonces et abdiques. Car la vie est ailleurs et ton amour subsiste. Pour un sourire, un songe qui feront qu'il existe.

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ET DEUX PAR DEUX ON AVALE NOS MOTS,
C'est dur d'oublier ce qu'on connait et ce qui imprègne nos peaux

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MessageSujet: You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN EmptyMer 19 Mar - 18:12

You keep making me weak

Can't frozen and can't breathe
Something's gotta give now cause I'm dying just make you see. That I need you here with me now. Cause you've got that one thing. So get out, get out, get out of my head and fall into my arms instead. I don't, I don't, don't know what it is but I need that one thing and you've got that one thing. Now I'm climbing the walls. You don't notice at all and I'm going out of my mind.All day and all night.



Devant la glace tu regardes ton reflet dans un mutisme parfait,  d’autres filles s’agitent derrière toi, enfilent articles l’un après l’autre, sortent timidement pour interpeller une vendeuse tandis que tu t’observes la tête ailleurs, lentement tu appliques ton rouge à lèvres et songes à Lexis un instant, même visage et pourtant si différentes. Tu sais qu’elle t’a toujours envié, tu le devines aisément et ce depuis le lycée, tu sais même pourquoi mais décidément tu ne comprends pas. Elle envie ce que tu ne représente pas ce que tu es parce que tu sais aussi qu’au fond elle a tellement plus de choses à offrir que toi. Elle te met sur un piédestal duquel tu aimerais descendre,  eux tous, ils t’ont toujours considéré comme la chanceuse de votre paire, la plus brillante, la plus jolie, s’ils savaient à quel point ils se trompent. T’es juste un jouet cassé derrière l’image d’une poupée de porcelaine. Et tu les déteste, parce qu’ils donnent tant et si peu. Tant pour que tu puisses te foutre en l’air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et tu finis par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s’estompent. T’es comme un électron libre, t’as une carte de crédit à la place du cerveau, une vipère à la place de la langue et rien à la place du cœur, tu vas en boîte plus que tu ne vas en cours, t’as plus de fringues que t’as de vrais amis, et deux cents numéros dans ton répertoire que t’appelle jamais.  Alors que mille pensées s’agitent dans ta tête une vendeuse t’interpelle pour savoir si la taille te convient, si la couleur te convient, si la coupe te convient, elle vient s’assurer de ne pas avoir couru les rayons pour te satisfaire pour rien. Elle vient vérifier son investissement, le temps c’est de l’argent, faut croire que le dicton s’applique super bien dans les centres commerciaux. Pourtant t’es pas décidée à lui faciliter la tâche, tu ne mâches jamais le travail des autres au contraire t’aimes leur compliquer la  vie « Hmm…Je ne sais pas trop. Je trouve qu’elle me fait de grosses hanches. » Et tu le vois ce froncement de sourcil, cette fameuse ride du lion sur son visage exaspéré, elle ne dure qu’un instant mais suffit à t’amuser parce que tu devines aisément qu’elle perd patience « Oh non pas du tout au contraire la coupe est parfaite, elle vous va vraiment très bien. » « J’hésites avec l’autre aussi…Vous savez celle que vous avez rapporté en rayon tout à l’heure ? » T’attends un petit soupir mais elle se contient merveilleusement bien tandis qu’elle te décroche son sourire le plus hypocrite « Celle-ci est bien plus jolie, c’est un modèle qui se vend très bien. En plus elle met vos jambes en valeur. » Ah ! Le voilà, l’éternel cirage de pompe où l’on vous vente à quel point le vêtement vous met à votre avantage. Pourtant tu ne l’écoutes déjà plus, elle commence son incroyable tirade de compliments sur ta silhouette mais  ton regard fixe autre chose, ton attention totalement reportée sur la bande de jeunes devant le magasin de jeux vidéo juste en face. « Oh c’est très joli sur vous ! » Vous interrompt une autre cliente qui essaye elle aussi un article juste à côté de toi « Je sais merci. » Lui réponds-tu en décrochant à peine un sourire, elle doit penser que tu es une jeune fille bien orgueilleuse et tu sais que ta remarques énerve encore un peu plus ta vendeuse alors tu décides de mettre fin à ses souffrances « Je vais la prendre. » « Très bien ! Et les jeans et tops que vous avez laissez dans la cabine ? » « Je prend tout. » Cette fois c’est un sourire sincère qu’elle t’adresse, à moitié soulagée à moitié fière d’être venue à bout d’une enquiquineuse telle que toi, au fond elle n’y est pour rien tu n’as pas besoin d’elle pour te décider, ni des clientes empattées dans leur pantalon à côté de toi. Tu avais fait ton choix à l’instant même où tu les as enfilé, emmerder ton monde est juste un moyen de te distraire mais il se trouve que tu viens d’en trouver un bien plus amusant.

Tu sors de la boutique tes paquets dans les mains les yeux toujours rivés sur cette petite bande de l’autre côté de la galerie. Soudain le miteux centre commercial de Woodburgh te parait bien plus attrayant, toi qui regrettais les boutiques de New-York il faut bien que tu retrouves ici quelques avantages. Il ne t’a pas encore remarqué bien trop absorbée par ce qu’il fait présentement dans la salle d’arcades. Ahilan. Tu hausses un sourcil au départ ce type tu n’en avais strictement rien à faire mais voilà il a décidé de ne pas céder à tes avances et cela t’as contrarié, tu es très forte au jeu du chat et de la souris seulement cela devient plus compliqué quand le partenaire refuse d’être chassé. Tu sais que tu finiras par te lasser d’ailleurs tu aurais bien pu mais tu as percuté que cet imbécile te prenait pour ta sœur et cela a ravivé ton intérêt. Tu es comme ça, tu t’amuses, tu prends, tu jettes, tu méprises, dis oui et non, tu es indécise, un vrai bordel, le cours de ta vie t’échappe, mais ce n’est pas grave, il n’a pas grande importance…

« Mais dis donc c’est qu’on arrête pas de croiser en ce moment Griffin ! » Lui lances-tu narquoise en arrivant devant lui « Je vais finir par croire que tu me suis… » Il relève à peine les yeux de son jeu et tu sens que cela t’agace un tantinet, ton regard glisse sur ses amis eux aussi occupés dans l’arcade à faire joujou avec une manette, quelle est cette fascination des mecs pour le monde du virtuel tu te demandes bien. Tu finis par te rapprocher lui murmurant à l’oreille « Tu sais je connais des jeux bien plus amusants… » Un rictus en coin vient se dessiner sur tes lèvres mais tu finis par t’impatienter. Tu n’aimes pas attendre et lui fais comprendre, soufflant dans ses cheveux, laissant gambader tes doigts sur l’écran « Oh je suis impressionnée ! Même sans voir où tu vas-tu t’en sors bien. Tu es donc imperturbable ? » Une idée te vient alors, rapidement tu déposes tes sacs près de la machines  et te positionnes juste derrière lui, il semble méfiant tout en étant ravis que tu aie dégagé de l’écran et de son champs de vision mais c’était sans compter sur tes mains qui viennent glisser sur son torse, tes bras enroulant son bassin tu laisses tes doigts suivrent le chemin jusqu’à sa ceinture « Toujours concentré sur le jeu ? » Tu chuchotes et c’est au moment où tu comptes t’attaquer à sa braguette qu’il fait un faux mouvement, le jeu laisse échapper un drôle de son avant que tu ne vois l’écran afficher en lettres capitales « GAME OVER. » Satisfaite tu éclates de rire et te détaches de lui pour lui faire de nouveau face « Mince alors t’as perdu ! » Tu ne sembles pas désolé du tout au contraire tu jubiles en te mordant la lèvre inférieure.  




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Ahilan G. Griffin


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▌AVATAR : Zayn Malik
▌CRÉDITS : blue romance
▌PSEUDO : kréou
▌HISTOIRES POSTÉES : 225
▌ARRIVÉ(E) À PT LE : 28/02/2014
▌IMPORTANCE DANS LE ROMAN : 1350
▌DATE DE NAISSANCE : 17/03/1993
▌MON ÂGE : 31
▌QUARTIER : Oak Ridge - L'amaryllis
▌CÔTÉ COEUR : C'est une bombe à retardement si t'écoutes le bruit...

▌EN CE MOMENT : You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN Tumblr_mjtjmfYhVZ1s8w4iko1_500

▌RPs EN COURS : You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN 298825ahi
♣️ B.F.F Best Fuck Forever w/ Yaya

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♣️ GreenPeace Stadium w/ les loosers & le bro'

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♣️ Il faut sauver Nono ♥️



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MessageSujet: Re: You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN EmptyJeu 27 Mar - 0:42

You keep making me weak

Can't frozen and can't breathe
Something's gotta give now cause I'm dying just make you see. That I need you here with me now. Cause you've got that one thing. So get out, get out, get out of my head and fall into my arms instead. I don't, I don't, don't know what it is but I need that one thing and you've got that one thing. Now I'm climbing the walls. You don't notice at all and I'm going out of my mind.All day and all night.



Nous étions là à cette fête, la musique couvrait les hurlements sauvages des ados défoncés qui m'entouraient. Cette fête était naze clairement. Il manquait de fille. Enfin, il manquait de fille intéressante. Le genre de fille qu'on n'attrape pas en 30 secondes chrono avant de l'avoir plaqué contre le mur et pour qui la fin de soirée est déjà connue de tous avant même qu'elle n'ait commencé. Blonde, brune, rousse, et même une pétasse aux cheveux bleus. Petite, grande, anorexique ou dinde sur patte. Il y en avait pour tous les goûts. J'ai toujours aimé jouer depuis ma plus tendre enfance avec Avery et nos supers cartes Pokémon puis après Ioan est venu pimenter nos parties. Enfin là n'est pas le sujet, j'aime jouer. J'ai toujours été un compétiteur dans l'âme et j'ai toujours rêvé d'être le premier dans tout ce que j'entreprenais aussi bien dans les cours que dans le sport ou les filles. Ce soir, j'avais besoin d'un jeu. Je n'avais qu'une envie, que l'une de ses filles me mettent au défi de la séduire, de la faire frémir jusqu'à en perdre haleine. Que celle que personne ne pensait pouvoir toucher, finisse dans mon lit. Alors que mon regard balayait l'horizon, je sentis un doigt effleurer ma cuisse. Alexis Bennett était là. Ses cheveux bruns ondulés lui tombaient sur la poitrine et mettaient en valeur ce décolleté dans lequel mes yeux se perdaient. " Hey Griffin... Ôte tes yeux de mes seins, si tu ne veux pas que je te les arrache. " " Alexis Bennett... Tu faisais moins la maline dans mes souvenirs. " La copine de mon frère ou sa future du moins était là face à moi à me provoquer. Pourquoi ? Je n'arrivais pas à cerner son petit jeu, qui m'agaçait autant qu'il m'excitait. Elle était capable de me faire passer par tous les sentiments possibles et inimaginables. Je n'avais pas le droit de la toucher, je le savais. J'avais promis. Quelle promesse à la con d'ailleurs. Mon cœur avait envie de la claquer et de l'insulter tous les noms de jouer comme cela avec mon frère et moi. Mais mes hormones, elles... Elles avaient envie de l'attraper de la prendre, de la plaquer contre le sol, contre le mur, contre n'importe quoi. J'aurais aimé que chaque parcelle de ma peau soit contre la sienne jusqu'à n'en former plus qu'un. L'alcool m'aidant sûrement, j'attrapai sa main et la tirais avec moi dans la salle de bains. La porte à peine refermée, ma main gauche sur sa taille pendant que la droite la tirait vers moi pour pouvoir l'embrasser à pleine bouche. Ioan était désormais bien loin de mes pensées à présent. Mes mains se baladaient sur son corps pendant que ma tête avait plongé entre ses seins. Je sentais son souffle chaud contre ma nuque. Mes muscles se tendaient et mon jean devenait, de plus, en plus étroit à chacun de ses baisers toujours plus passionnés. Ma main remontait sous sa robe, attrapant ses petites fesses rebondit entre mes mains... Elle et moi, on allait jouer comme je l'aimais, et j'allais finalement passer une bonne soirée. Mon tee-shirt vola à travers la pièce pendant qu'Alexis sauta sur le lavabo, sans perdre mon temps, je descendis la fermeture éclair de sa robe. Il y avait ce bruit sourd qui m'empêchait de me concentrer, ma tête remuait pendait que mes mains s'amusaient bien. J'ouvris les yeux, j'étais seul dans ma chambre... Pas de trace d'Alexis. Seulement les effets que ce rêve m'avait procurés comme seul témoin.

Mon portable vibrait encore et encore. Foutu portable. Qui pouvait bien être le connard à m'écrire à une heure pareille ? Un samedi en plus ! Mon jour du seigneur à moi. Mon dieu, mon lit, mon royaume et mon paradis. Tout le monde le savait, on ne me dérange jamais pendant ma grasse mat' du samedi ! Même ma mère faisait l'effort de ne pas venir me donner mes corvées de ménage ce jour-là... J'attrapais mon téléphone et vis le nom de Yana apparaitre sur mon téléphone. " Qu'est-ce que tu veux Nay' ? T'as vu l'heure ? " " - Il est midi et demi Ahilan... " " Oui justement ! Tu me rappelles d'ici 2h ok ? " Sans même attendre sa réponse, je raccroche et jette mon téléphone avant que ma tête lourde vînt s'écraser sur mon oreiller. A moi les bras de Morphée ou plutôt de cette jolie demoiselle... Avant même que je puisse refermer les yeux, mon téléphone vibrait de nouveau. " Quoi encore ? " " T'es réveillée là non ? Donc écoutes moi ou je débarque d'ici 30 secondes sauter sur ton lit ! " " Vu le rêve duquel tu m'as sortis et ma tenue d'Adam... Il vaudrait mieux que tu évites Yana si tu ne veux pas finir la bouche pleine. " " Oh Ahi... T'es répugnant dès le matin ! " " Tu l'as dit, on est le matin... Alors laisse moi dormiiiiiiiir ! " Cette fois c'était elle qui avait raccroché. Dieu m'avait enfin entendu, j'allais pouvoir finir ce rêve. La sonnette retentit ! Argggh quelle garce, elle avait osé ! J'attrapai le premier short que je trouvais dans le foutoir qu'était ma chambre et descendit les marches quatre à quatre accueillir ma meilleure amie. " Bien remis de tes émotions Griffin ? " " Très drôle Yana... Alors quoi ? Tu te maries ? Tu es enceinte ? De triplés ? Plus peut-être... Vu que tu fais toujours tout dans l'excès. Un mec t'as dragué ? Ha oui, c'est vrai, on va aller marquer ce jour d'une croix rouge ! Mon Dieu, quelqu'un a dragué Nayana Maden, un miracle ! Il s'est produit... " Je courrais en rond comme un fou sous son regard blasé mais habitué. " Non, je voulais juste te demander de me déposer à Woodburgh et d'être mon chauffeur rien de plus. Je dois rejoindre Salomé pour faire du shopping là-bas. " Cette fois c'était moi qui l'ai regardait blaser. Tout ça pour ça m'étais-je dit !

J'avais déposé Nayana avec sa sœur jumelle Salomé, une jolie petite blonde. Si on ne le savait pas, il était tout bonnement impossible de les penser sœurs, alors jumelle... Elles étaient si différentes. Alors que ma meilleure amie était dans le genre électron libre, sa sœur, elle était dans le genre ennuyant à mourir, ouvrant la bouche seulement pour bailler. Je devais attendre en plus de ça que les demoiselles aient fini leurs achats pour pouvoir ensuite les ramener. Si Ioan me voyait attendre là dans le centre commercial que ses princesses fassent leur shopping, il se serait foutu de moi, c'est clair en me disant : " Quel est l'intérêt Ahilan de faire ça, si ce n'est pas pour faire un plan à trois ? " Quoi de mieux qu'une petite partie de jeux vidéo pour passer le temps ? Je savais qu'en allant là-bas j'y croiserais quelques gamers que je connaissais plus ou moins et peut-être même un ou deux potes. Bingo ! Scott était là et me proposa une partie contre lui sur le jeu de mon choix. Bon, je n'allais pas prendre trop de risque et choisir le jeu sur lequel je me débrouillerais le mieux. Alors que j'attendais que le jeu reprenne, mon regard tomba sur Alexis Bennett. De nouveau-là était là à m'observer. Elle me suivait partout ! De mes rêves à mes samedis après-midi... Elle était partout ! Je fixai mon regard sur l'écran brusquement comme un gamin pris sur le fait en pleine bêtise. J'étais comme tétanisé à l'idée qu'elle puisse voir qu'elle me perturbait et me mettait dans un état second. Jouer. Appuyer. Attaque. Attaque. High-kick. Carré. Carré. Triangle. Rond. Carré. Je répétais mes attaques presque automatiquement. Elle était là. À roder autour de moi. Quelle garce ! Je ne m'en débarrasserai donc jamais ! Si jamais Ioan passait par là, il allait me tuer. L'ignorance est le meilleur des mépris m'a-t-on toujours appris... Oui, j'allais l'ignorer et continuer ma partie comme si elle n'existait pas. Ignorer quelqu'un, c'est plutôt simple, sauf quand c'est une fille, totalement hot qui plus est, et qu'elle commence à vous faire des sous-entendus en s'approchant dangereusement de vos parties intimes. Cette fille était totalement dingue et elle en riait sans être le moins du monde gêné de la présence des gens nous entourant. Je lâchais la manette et l'attrapais par le bras pour l'attirer un peu plus loin. " Bennett, je ne sais pas à quoi tu joues... Mais tu vas arrêter ça très vite crois-moi. " Le début était presque comme dans mon rêve et j'aurais tout lâché pour que la suite soit la même. Son sourire en coin, sa façon de se mordre les lèvres en me défiant du regard et de se dandiner devant moi. Mon poing vint taper le mur sur lequel sa tête reposait. " Encore un truc comme ça et mon poing ce n'est pas dans le mur qui finit. "



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MessageSujet: Re: You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN You keep making me weak. Can't frozen and can't breathe ∇ AHILAN EmptySam 17 Mai - 0:49

You keep making me weak

Can't frozen and can't breathe
Something's gotta give now cause I'm dying just make you see. That I need you here with me now. Cause you've got that one thing. So get out, get out, get out of my head and fall into my arms instead. I don't, I don't, don't know what it is but I need that one thing and you've got that one thing. Now I'm climbing the walls. You don't notice at all and I'm going out of my mind.All day and all night.



Il perd. Tu gagne. Tu en as l’habitude c’est toujours comme ça avec toi, tu fais les règles du jeu et il serait désagréable pour toi qu’il veuille les changer soudainement. Non, il s’impatiente, tique, soupire et tente de se contrôler mais tu vois son exaspération et sa gêne prendre le dessus et ça t’amuse de plus belle, ton sourire s’élargit tandis qu’il t’agrippe fermement le bras pour t’acculer plus loin « T’as raison allons dans un coin plus tranquille » Siffle-tu toujours moqueuse, tu sais pertinemment qu’il est en train de perdre patience et tu le provoque un peu plus « Quoi ? Tu n’aime pas jouer ? » Ta voix est devenue étonnement plus sérieuse, ton regard aussi, ta réponse est sortie en un rien de temps et tu le fixe avec insistance. Ton rictus s’est effacé et ses sourcils se froncent, il se pense unique et tellement désiré tu viens en quelques mots de lui remettre les idées en place. Il n’est qu’une lubie de plus, une proie pour passer le temps entre tes mains expertes. Mensonge, surement. T’as jamais plus voulu quelqu’un que ce Griffin, parce qu’il te repousse ? Peut être. Parce qu’il semble différent ? T’en sais trop rien, on pourrait croire que t’as jeté ton dévolu sur lui par pur hasard comme on joue à pile ou face mais c’est son regard qui t’a de suite interpellé. Il a les mêmes yeux que toi, ceux qui connaissent la solitude, ceux en quête d’identité. La seule différence est qu’il l’assume tandis que toi tu te cache sous un masque. Et tout ça tu l’as pas su en le suivant, en demandant. T’as juste eu à le scruter durant de longues minutes et c’est venu tout seul. C’est toujours dans les yeux qu’on voit si les gens sont tristes ou heureux. Le regard, on ne peut pas le maquiller.

Et puis le coup arrive, tes yeux ont à peine le temps de cligner que ton souffle se coupe, son poing venant cogner à quelques centimètres de ton visage, quelques mèches de tes cheveux se soulèvent une fraction de secondes à cause de l’impact. Tu fixe ses doigts avant de reporter de nouveau ton attention sur lui. Déjà à bout ? Pense-tu sans émettre un son « Tu veux me faire croire que tu frapperais une femme sans défense ? » Tu reprends cet air mesquin exaspérant pour le mettre au défis, tu sais pertinemment que jamais il ne lèverait la main sur toi, il n’est pas assez lâche. Cependant tu es loin d’être sans défense, tu souhaite seulement l’agacer un peu plus et lui montrer à quel point tu ne le prends pas au sérieux. T’en rajoute une couche, posant ta main sur ses phalanges blessées tu porte ses doigts à tes lèvres pour embrasser ses éraflures « Tu sais … » Dis-tu tout en effleurant sa peau « Il y a des situations où un peu de violence ne dérange pas … » Tu lâche sa main et profite de l’espace réduit entre vos deux corps pour continuer ta mascarade « … Si tu tiens tant à me filer une bonne correction t’as juste à attendre le moment propice. » Sur le point de l’embrasser tu te recule en éclatant de rire pour finalement te décaler sur la droite et t’éloigner, tu retourne récupérer tes sacs avec nonchalance et sans même lui accorder un nouveau regard.

Il pense surement que tu en as terminé avec lui, qu’il va pouvoir retourner à ses amis et ses jeux vidéos stupides, que tu es lassée ou résignée mais il n’en est rien, plus il te repousse plus tu trouve cette chasse amusante et quelle souris distrayante il fait là ! Ses mains s’apprêtent à attraper une nouvelle manette mais tu t’en empares « Désolé je vous l’emprunte pour le reste de l’après-midi ! Ciao ! » et voilà qu’à l’image de tes emplettes tu l’agrippe et le traîne derrière-toi jusqu’à l’extérieur de l’arcades,  il pourrait surement émettre une objection si tu lui avais laissé le temps de réaliser mais très peu pour toi. Tu finis par le lâcher en plein milieu de la galerie marchande pour lui faire de nouveau face « Ce qu’il fait chaud aujourd’hui tu ne trouves pas ? J’ai bien envie d’une glace … Tu m’en offre une ? » De ton pouce tu désigne le marchant juste derrière vous tout en te mordant l’auriculaire ce que tu fais instinctivement lorsque tu es satisfaite de toi. En l’occurrence tu te réjouie bien de la tournure que prennent les choses toi qui pensais fermement t’ennuyer aujourd’hui. « Quoi ? Promis je ne prendrais pas d’esquimau ! » Un rire t’échappe en constatant l’air blasé qu’il affiche « Je plaisante ! Arrête d’être si crispé. » Tu prends ton air sur de toi mais il n’en est en fait rien, il pourrait te planter, il pourrait te dire d’aller de faire voir, il devrait même, il pourrait penser que tu ne l’intéresse pas et le croire. Il pourrait tout un tas de choses mais tu reste persuadée qu’il fera le choix de rester avec toi. T’en as envie et quand tu veux quelque chose, tu l’obtiens. C’est comme ça, depuis toujours. Tu prévois, tu enchaînes, tu calcules et surtout tu arrive à tes fins. Tu te donne des aspects imprévisibles et surprenants mais tu n’es qu’une menteuse parce que tout est parfaitement sous contrôle. Tu n’aime pas prendre des risques même si tu fais aisément croire le contraire. Pleurer, c'est risquer de paraître fragile. Aller vers quelqu'un c'est risquer de s'engager. Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond. Présenter ses idées ou ses rêves aux autres, c'est risquer de les perdre. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Espérer, c'est risquer de désespérer. Essayer, c'est risquer d'échouer. On dit qu’il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie c'est de ne rien risquer du tout. Seuls ceux qui risquent de vivre sont libres, les autres sont des enchaînés. Tu fais partie des enchaînées, t’es juste trop peureuse pour l’admettre.




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