Il avait reçu un appel d'un éditeur, après avoir envoyé la fin de son livre, enfin il avait reçu un appel avant, mais il voulait lire la fin du manuscrit avant de le rencontrer, mais celui-ci semblait très enthousiaste à propos de ses écrits. Comme ce n'était pas toujours évident de trouver un moment, il avait décidé de se rencontrer à l'université. Il avait discuter avec lui un bon moment à la cafétéria, l'éditeur, John, était vraiment un jeune homme séduisant, avec beaucoup de charisme, mais Tim n'y portait pas vraiment attention. Il s'intéressait surtout à ce que celui-ci pouvait lui dire, il fut surpris de savoir qu'il ne voulait rien changer, il voulait surtout voir avec lui les détails pour la couverture, etc. John pensait faire une photo de lui, sur le dessus du livre, mais lui n'était pas d'accord, il pensait plutôt qu'un illustrateur pourrait faire quelque chose de beaucoup mieux. Il mangeait et discutait avec cet homme, il pouvait rire parfois et il était loin de se douter qu'un peu plus loin dans la cafétéria il y avait Liam qui les regardait. Tim ne s'intéressait pas à John, enfin seulement à ce qu'il pouvait faire comme travail. Ils ont finalement conclu d'engager un éditeur, puis de mettre un petit photo de lui, avec un résumé du livre et de qui est Timeo. Il avait tellement hâte de tout raconter ça à son petit ami. Comme John devait partir il le raccompagna à l'entrée de l'université et lui serra la main, lui disant qu'il allait se revoir bientôt pour lui montrer quelque essai de l'illustrateur.

Tim pris son cellulaire pour envoyer un sms. Liam, tu es où ? Faut que je te vois, tu le croiras jamais! (: Tim xxx Il était vraiment enthousiaste et il pris la direction du bureau de celui-ci, surpris de ne pas recevoir de réponse à son sms. Il fini par le voir. « Liam, attends moi. » Mais celui-ci devait ne pas l'entendre comme il continuait d'avancer. Il fronça les sourcils, mais accéléra le pas pour le rattraper, celui-ci devait être en route pour son bureau. Il pourrait discuter tranquillement là et sans être déranger. Tim avait tellement hâte de lui raconter tout, mais il ne comprenait pas pourquoi il semblait l'ignorer, mais il se faisait peut-être des idées, il ne l'avait peut-être juste pas entendu.

Je n’avais pas pu passer beaucoup de temps avec Tim, pour la simple et bonne raison que j’avais eu beaucoup de boulot, à l’université comme au lycée, mais cela ne m’empêchait pas de lui envoyer des textos à chaque fin de mes cours. Et ce depuis qu’il avait quitté mon appartement. Mais c’était à la fois la fin de semestre et la fin du trimestre, ce qui fait que j’avais beaucoup de corrections à faire. Bien sûr que j’avais envie de le voir, j’avais même prévu de trouver un moment ce midi pour le voir un peu en solo. Et de passer du temps chez lui ce soir. J’avais vraiment besoin de le retrouver, de le ravoir dans mes bras. J’étais en conférence jusqu’à l’heure du déjeuner. Je n’avais pas le temps de rentrer à mon appartement avant de reprendre les cours. Alors je pris la direction de la cafétéria afin de me prendre un sandwich. Il n’y avait pas grand monde pour une fois, alors c’est le moment parfait pour tomber sur un tableau cauchemardesque. Ce tableau représentait Tim avec un autre homme, mon pire cauchemar, ils étaient bien trop proches à mon goût, et surtout je ne connaissais pas ce jeune homme ni d’adam ni d’eve. J’avais l’impression que mon coeur venait de se briser en milles morceaux. J’avais encore été trop idiot pour croire en une histoire d’amour, qu’il ne se trouverait pas quelqu’un de son âge. Je ne pouvais pas rester une seule seconde de plus dans cet endroit où je pouvais les voir rire et sourire. Alors je fis demi-tour sans même manger un morceau, de toute façon je n’avais plus faim.

Alors que j’arrivais dans la salle de classe, mon portable sonna, je regarda vite fait le SMS, ne prenant même pas la peine de le lire quand je vis que c’était Timéo. Je n’avais plus aucune envie de le voir, j’étais plutôt en colère, contre lui, contre cet inconnu et surtout contre moi-même pour avoir pu croire qu’il m’aimerait vraiment, et que je n’étais pas qu’un simple essai pour lui. J’avais vraiment été idiot sur le coup, et ça faisait vraiment mal. Heureusement, j’avais mon après midi qui était normalement prévu pour la correction des dernières copies, mais je n’avais vraiment pas l’intention ni l’envie de bosser. Alors je pris ma veste et mes copies que je fourra dans mon sac avant de sortir de la classe. Mai il fallait que le sort s’acharne sur moi, puisque j’entends Tim m’appelait. Et je n’avais aucune envie de lui parler, ni même de le voir, pas après la scène que j’ai aperçu. Mais il ne semblait pas vouloir me laisser, alors j’allais clairement lui faire comprendre. Je me retourne lui lançant un regard noir, et brillant de larmes. « Laisse-moi, je n’ai pas de temps à te consacrer. » Froid, dur, si différent de ce que je suis normalement.

Il n'arrivait pas à le croire, à vrai dire il ne comprenait pas ce qui se passait, pas de réponse à son sms alors qu'il avait l'habitude d'avoir une réponse dans la minute et il était comme ça lui aussi et avait l'habitude de lui répondre très rapidement ne voulant pas le faire attendre. Bref, il avait décidé de se rendre à son bureau pour le retrouver, peut-être passer l'après-midi s'il était libre, il était loin de se douter qu'il pensait que tout cette histoire n'était pas sérieuse pour lui. Au contraire, celui-ci était très important quand il l'aperçu dans le couloir avec son sac il accéléra le pas pour le rattrape, mais il arriva pas à croire qu'il venait t'entendre, Liam était froid, dur, il ne comprenait pas. Il resta immobile cherchant à comprendre et pour réaliser un peu tout ça... Oui c'était possible qu'il soit débordé à ce moment de l'année, mais il y a d'autres façons de le dire non? Tim se sentait vraiment mal là, il était sur d'avoir fait quelque chose de mal, mais quoi? Ou sinon Liam ne l'aimait plus, il s'était tanné, il préférait un homme de son âge, avec de l'expérience, pas un jeune bon à rien.

C'était comme un retour sur terre, un retour à avant qu'il ne se retrouve dans ses bras sur le canapé de celui-ci. Il avait les larmes qui montaient aux yeux, mais il s'essuya les yeux avant de dire... « J'ai fait quelque chose de mal? Qu'est-ce passe... ? » Il marqua une pause, le regardant, il le vit partir et il le retint par la main, pour ne pas le voir partir, du moins pas avant d'avoir sa réponse, de comprendre ce qu'il avait fait de mal. Il murmura, c'était presque inaudible, mais bon, c'était sortit tout seul : « Tu... m'aimes pu? C'est ça... je savais... que je pouvais pas vraiment t'intéresser, c'était juste trop beau. » Il ne pouvait empêcher les larmes de couler le long de ses joues cette fois, tant pis si les autres pouvaient les voir, il ne pouvait plus le regarder, ça lui faisait trop mal. Il se mis à marcher pour s'éloigner puis à courir, il devait partir, il n'avait pas non plus envie que tout le monde le voix ainsi dans cet état. Il s'arrêta de courir seulement une fois dehors et s'appuya le dos contre un arbre, sa respiration était rapide, il avait été stupide, naïf de croire qu'il avait vraiment une chance.

Non, je ne voulais pas le voir, pas alors que j’étais si en colère contre moi-même. Et je ne voulais même pas qu’il me voit aussi faible. Oh non, il n’allait pas avoir ce plaisir. Mais c’était certain qu’en me retrouvant seul dans mon appartement je n’en ménerais pas large. Soupirant lorsqu’il me rattrape, je ne peux que lui balancer des horreurs à la figure, pourtant intérieurement ça me fait mal de le blesser. Mais j’avais ma fierté, et ma jalousie m’aveuglait. De toute façon c’était certain qu’un jour ou l’autre il allait partir dans les bras d’un autre, il fallait que j’arrête d’être dupe parfois. Je soupire, ce n’était pas comme ça que j’imaginais notre histoire, non. Pour une fois je commençais vraiment à croire que je pourrais m’engager dans une relation somme tout sérieuse, mais il faut croire que la réalité m’a encore rattrapé. Pour autant, j’avais décidé que désormais, c’était fini, plus jamais je ne confierais ma vie à un autre, comme je l’avais fait aussi rapidement avec lui. Après tout, je n’étais peut-être pas fait pour les relations à long terme.

Je vis ses larmes couler, ça me fends le coeur encore plus, mais il l’avait piétiné, alors il n’avait qu’à s’en prendre à lui-même. Et maintenant il osait dire qu’il ne savait pas ce qu’il avait fait. Je l’avais pourtant prévenu, à demi-mot, que j’étais jaloux et possessif. Je n’y réponds même pas, me contentant de serrer les poings. Et faisant demi-tour. Mais il m’attrapa la main, main que je retire furieusement, le fusillant du regard. Je l’aime, et ça fait mal, mal de se dire qu’on le perd. Je déglutis difficilement alors qu’il pense que je ne l’aime plus. C’était totalement faux, oh non, sinon je n’aurais pas réagit aussi fortement en le voyant avec un autre mec. Au contraire, je n’avais jamais aimé quelqu’un aussi fort. Je l’aurais bien pris dans mes bras, si je n’étais pas si mal en point que lui. Mais, je ne fis rien pour le retenir, restant en plein milieu du couloir, les bras ballant et essayant de ne pas pleurer. Je sortis rapidement, l’apercevant contre un arbre, mais je n’étais pas prêt à le voir, à lui parler. Pourtant Dieu sait combien ça me ferait du bien de lui dire qu’il avait gâché notre amour en s’affichant avec cet homme, et qu’il aurait mieux fait de ne pas jouer avec moi si c’était juste pour coucher, et d’aller voir le premier venu parce que je ne lui ai pas accordé cette faveur. Arrivant à la voiture, j’essaie tant bien que mal de l’ouvrir, hors je n’y arrive absolument pas avec les mains tremblantes et la vue floutées par les larmes qui ravagent mon visage.

La jalousie rongeait tout mon corps. Je ne pensais pas être jaloux, je ne l’avais jamais été avec mes précédentes conquêtes. Peut-être parce que je n’étais pas amoureux... Contrairement à cette fois-ci. Je n’arrivais même pas à ouvrir ma voiture que c’en était lamentable. Mais avant d’y parvenir, je sens la main de Tim sur la mienne. Un frisson parcourut toute mon échine, les sentiments, ça ne part pas comme ça, ça serait trop facile ! Je ferme les yeux, sa voix était emplie de tristesse. « Laisse-moi, s’il-te-plaît. » Je n’avais plus aucune colère, seulement de la tristesse qui pointait dans ma voix. Je sais que j’avais peut-être extrapoler ce que j’avais vu, mais je ne pouvais pas m’en empêcher. Le sentant reculer, je souffle un bon coup avant d’enfin ouvrir la portière. On se faisait du mal mutuellement, mais je ne pouvais pas le retenir, pas encore. Même si une petite voix intérieure me disait que j’avais exagéré, que je me trompais certainement, je n’arrivais pas à me dire qu’il ne partirais jamais, que cette situation se reproduirait très certainement encore.

Malgré ma blessure, malgré ma douleur, je ne pouvais être que fier pour lui, je n’y doutais pas une seule seconde qu’il allait réussir... même s’il ne pouvait pas me voir, un sourire traversa mes larmes. « Je suis content pour toi... » Mais mon sourire devient plutôt amer. « En tout cas, je te souhaites qu’il te rende heureux... » Je n’arrivais pas à accepter de ne pas avoir su rendre heureux Tim, pourtant c’est ce que j’aurais réellement aimé. Je me retourne une dernière fois vers lui, m’imprégnant de ses traits, de son visage, de ses lèvres. Avant de monter dans ma voiture et de partir loin d’ici ... JE n’étais même pas certain de pouvoir retourner en cours enseigner.

En tout cas, je te souhaites qu’il te rende heureux... Il n'arrêtait pas de ressasser ses phrases depuis qu'il l'avait regarder partir en voiture, il était rentré chez lui, il ne comprenait pas? Le rendre heureux, c'était lui qui était censé le rendre heureux, pas un autre homme. Il s'était sentit détruit, il avait l'impression que son coeur s'était brisé, il était rentré chez lui et les larmes avaient coulé, Liam ne l'aimait plus, il ne était sûr, tout était fini. Il ne serait pas capable de retourner à l'université, d'ailleurs il n'y retourna pas. Il ne contacta personne, il passait ses journées chez lui et allait seulement travailler puis il rentrait sans parler à personne. Il n'avait pas contacté l'éditeur malgré les messages de celui-ci. Non, il ne voulait voir personne, il était allongé dans son lit, il n'en pouvait plus, il n'arrivait pas à croire que tout s'était fini si rapidement. La première fois qu'il tombe amoureux et en une semaine il arrive à le perdre, il était amoureux et maintenant il était détruit.

S'était de sa faute, il en était sûr, il avait du faire quelque chose, dire quelque chose qui avait blessé Liam et il s'en voulait, il avait voulu se faire mal. Il n'était un bon à rien, comme son oncle lui disait, il ne faisait que déranger les autres, leur nuire, être un poids. Il était allongé dans son lit, il n'avait pratiquement rien manger de la semaine, il avait du perdre un peu de poids pour ne pas avoir mangé depuis qu'il n'avait pas revu Liam... il n'était plus sûr de combien de temps ça faisait, peut-être deux semaines, pas vraiment plus. Il n'allait plus du tout à l'université, par peur de croiser Liam. Il entendit cogner à la porte, mais il ne se leva pas, non il ne voulait voir personne, c'était pas la première fois qu'il entendait cogner, quelqu'un était venu cogner il y a quelques jours, peut-être un voisin, un étudiant d'un de ses cours. Comme l'autre fois la personne partirait, la porte n'était pas verrouillé, si la personne voulait vraiment la voir elle n'aurait qu'à ouvrir la porte, mais lui n'avait pas l'intention de sortir de son lit, où en short, torse nu, les yeux fermés, il ne voulait pas les rouvrit. Il s'amusait à promener ses doigts sur la cicatrice qu'il s'était fait, sur le poignet, pour se punir, comme son oncle le punissait, il ne méritait que ça pour avoir faire souffrir Liam. Il n'entendait plus cogner, la personne avait du partir enfin il l'espérait...

Depuis la dernière fois, le jour de notre dispute, je n’aperçus pas Timéo, que ce soit dans mes cours, ce qui ne m’étonna même pas. Mais ne plus l’apercevoir à l’université et se rendre compte qu’il n’allait tout simplement plus en cours. Que personne ne le voyait, ni même avait des nouvelles. Ca ne me plaisait pas, je craignais qu’il ai décidé d’arrêter ses études, alors qu’il m’avait promis de ne pas le faire. Mais, j’étais un idiot, parce que c’est moi qui avait tout fichu en l’air. Notre relation, c’est moi qui l’ai détruite. Les jours passant, c’est la honte de mon comportement qui prit la place de la colère. J’avais rapidement compris que j’avais été aveugle. Mais, j’avais espéré dans les jours qui avaient suivi croiser Tim dans les couloir et réussi à l’intercepter. Mais maintenant je comprenais pourquoi je n’arrivais pas à le croiser. J’avais été bien trop loin, je savais pertinemment que c’était sa première relation, et je le piétinais comme son oncle avait réussi à le faire. J’avais beaucoup de choses à rattraper, et surtout à me faire pardonner. Même si je n’étais pas certain qu’il me pardonne.

Alors, à défaut de ne pas le croiser, il allait falloir que je prenne les choses en mains et que je me déplace à son appartement. Terminant les cours au déjeuner, je ne pris pas la peine de déjeuner et fonça directement chez lui. Arrivé devant sa porte, le stress monta, je sais que ça n’allait pas être facile. Et je sais qu’il allait en souffrir, certainement autant que je l’ai fais souffrir. Mais je l’aimais sincèrement, je n’avais pas pu tourner la page, et je ne le pourrais pas. En ayant parlé avec ma tante, elle m’avait remonté les bretelles. Je n’avais plus qu’à lui faire comprendre que j’avais eu tort. Frappant à la porte j’attends *qu’on m’ouvre, je sais qu’il est là, je le sens. Soupirant alors qu’il ne réponds pas à la seconde fois, j’essaie d’ouvrir la porte. Celle-ci était déverrouillé, je pénètre donc dans l’appartement. Ce qui me sauta aux yeux, c’était que les volets étaient clos, que ça sentaient à plein nez le refermé. Posant ma veste, je cherche où est sa chambre. Tombant rapidement dessus, j’ouvre la porte, avant de le voir allongé. Il semblait tellement avoir changé. « Tim... » Je m’approchais du lit, m’asseyant dessus alors qu’il était dos à moi. Mes larmes coulaient de nouveau, j’avais mon coeur qui se serre de le voir ainsi. « C’est moi... ». Hésitant à poser une main dans ses cheveux, je les effleure juste. « Je... Je suis désolé... tellement....désolé... » Je ne pleurais jamais, enfin rarement, mais là, la peur de le perdre, le voir souffrir, c’en était trop pour moi.

Il n'avait pas pu retourner en classe, voir Liam l'aurait fait trop souffrir, il ne pensait pas que ça pouvait être aussi horrible de perdre celui qu'on aime, il ne pensait pas que ça allait se finir ainsi. Il avait mal et il s'était fait mal pour se punir, pour se punir de lui avoir fait du mal alors qu'il n'avait aucune idée de ce qu'il avait pu faire pour le faire souffrir ainsi. Il entendait des pas dans l'appartement, appuya sur sa cicatrice comme quelqu'un se pincerait pour savoir s'il dors, car qui pouvait entrer comme ça chez lui? Liam ne voulait plus le voir, ça ne pouvait pas être lui, seulement il eu l'impression de sentir son odeur lorsque la personne s'installa sur le lit, assis à côté de lui, un frisson le parcouru lorsqu'il sentit les doigts de Liam dans ses cheveux, lui faisant passer au bon moment qu'il avait passé avec lui.

Les larmes coulaient le long de ses joues et il l'écoutait.. il était désolé, Tim ne comprenait plus rien, pourquoi il était désolé si c'est lui qui avait fait quelque chose de mal? Il ne se retourna pas, il ne pouvait pas voir son visage, il ne supporterait pas de le voir pleurer alors qu'il pouvait sentir que celui-ci avec des larmes qui coulaient le long de ses joues. Tim fini par prendre parole, sa voix était faible, tremblante : « Pourquoi... ? C'est moi qui devrait être désolé... je sais pas ce que j'ai fait, mais je suis désolé... je voulais pas te faire souffrir. » Il appuyer sur sa cicatrice encore rouge comme elle n'était pas vieille, il dit quelque chose qu'il ne pensait pas dire un jour, comme il ne pensait pas qu'un jour sa serait possible. « Je ...t'aime... » Il ferma les yeux un instant et n'osait pas se retourner de peur de se rendre compte que tout ça n'était qu'un rêve...

L’apercevant dans le noir, je n’aperçois pas encore ses marques, ni même sa maigreur, mais j’ai comme cette impression que quelque chose a changé et que je ne sais pas encre quoi, mais je sais déjà que ça ne me plaira certainement pas. L’amour, si c’était ça, alors j’étais prêt à subir toutes les douleurs, pourvu que lui ne souffre pas, et que je sois à ses côtés. Je ne voulais pas qu’il me quitte, qu’on s’éloigne, cela fait trop de mal. Maintenant c’était à moi de rattraper la chose, de le rassurer. Entrant dans sa chambre, je m’installe sur son lit. Caressant ses cheveux, je remarque enfin sa maigreur. Je déglutis difficilement. Je soupire, laissant couler librement mes larmes, je n’avais qu’une envie c’était de le prendre dans mes bras, de l’embrasser, de lui dire que tout va bien désormais. Mais, j’avais encore trop peur qu’il me rejette.

S’il savait combien je m’en voulais. Descendant ma main sur son épaule et sur son bras, je m’allongea à ses côtés après avoir retiré mes chaussures. Posant ma tête dans son cou et passant mes bras autour de lui, je lui murmure des tonnes de pardon, continuant de pleurer contre lui. Mais je me calmais les minutes passant. Je me sentais enfin "plein" à ses côtés, comme si c’était une évidence que je l’ai entre mes bras. « Non, tu n’as rien fait... C’est .. ma jalousie... Lorsque je t’ai vu avec..cet homme, et être si proche... J’ai cru devenir fou, comme si mon pire cauchemar se réalisait... » Caressant distraitement son bras je rajoute : « Alors que je n’ai même pas vu que je te faisais souffrir... » Déposant un baiser sur son épaule, je fronce les sourcils en le voyant cacher son poignet.. Passant ma main au-dessus de son corps, je lui retire sa main, apercevant es marques rouges... Un regard d’effroi se posa sur lui, avant que je ne me redresse pour le retourner face à moi. « Tim... C’est quoi ça ? Tu t’es fais ça comment ? » Je tenais toujours son poignet, lui lançant un regard angoissé. De mon autre main, j’allais caresser sa joue... Un immense sourire apparut alors qu’il me disait ces trois petits mots « Oh moi aussi je t’aime tellement ! » Scellant cette déclaration par un baiser chaste, je ne voulais pas encore le brusquer.

Il restait allongé dans le lit alors qu'il n'osait pas bouger, qu'il avait peur de ce qui pourrait arrivé. Il ferme les yeux un instant alors qu'il sent la main de celui-ci descendre à son épaule puis le sentant se coucher à côté de lui, se coller à lui. Il se sentait bien dans ses bras, il réalisait maintenant pourquoi il avait réagit ainsi, il pensait vraiment qu'il le laisserait tomber pour un autre? Il pourrait jamais faire ça... « C'était juste l'éditeur... pourquoi t'as pensé ça? Je t'avais dis pourtant que j'étais bien avec toi... que je voulais être avec toi, les autres ne m'intéresse pas. » Il tenait son poignet pour ne pas le laisser voir ce qu'il s'était fait, il avait arrêté de pleurer, il essuya ses joues un instant, puis celui-ci lui attrapa le poignet pour voir, il se sentait honteux. Il ne voulait pas l'inquiéter, il ne voulait pas qu'il sache qu'il s'était fait ça parce que Mathys l'avait fait souffrir. Il évita son regard un instant et il répondit : « C'est rien... c'est pas important... » Il releva les yeux vers celui-ci puis il lui avoua ce qu'il pensait, ce qu'il ressentait. Il ferma les yeux pour profiter du contact de ses doigts sur sa joue. Il l'embrassa après lui avoir dit que lui aussi l'aimait, qu'il l'aimait tellement.

Il pris la main de celui-ci et l'attira contre lui, pour l'embrasser doucement. « Reste avec moi... si jamais tu trouves que je suis trop prêt de quelqu'un t'as juste à venir... mais y'a que toi que j'aime, y'a qu'avec toi que je veux être. » Il lui adressa un petit sourire et l'embrassa doucement et le serra contre lui et passa une main sur le visage de celui-ci et il passa un main sous le t-shirt de celui-ci, il voulait lui montrer combien il l'aimait. Il était prêt à tenter de nouvelles expériences avec lui, il voulait le rendre heureux... « Je veux découvrir... avec toi. » Il ne savait pas trop comment le dire qu'il voulait aller plus loin, faire l'amour avec lui, même s'il était stressé à l'idée de ne pas être à la hauteur. Il allait tellement mieux de le savoir avec lui, il se sentait revivre d'être à nouveau dans ses bras, n'arrivant toujours pas à croire qu'il avait pu être jaloux de cet homme. Oui mignon et plus jeune, mais Tim n'avait pas fait attention à ce genre de détail, à ce moment là, il ne pensait qu'à son livre et au fait qu'il avait hâte de tout raconter à Liam.

Frottant mon visage dans son cou, je m’allonge tout contre lui. Je sentais de nouveau son parfum si envoûtant. Déposant des baisers papillons tout le long de son cou. Ca me faisait du bien de le retrouver. Je me rendais compte que cette dispute, mes craintes étaient vraiment infondées. Ce qui me rendait encore plus honteux. Mais, il faut dire que notre différence d’âge était tout de même assez conséquente, et il y avait de quoi craindre lorsque je voyais un de son âge traînait encore. « Vous sembliez proche, bien trop proche pour moi... Oui... Mais on sait jamais... » Je baisse la tête, même s’il ne pouvait pas la voir, j’avais vraiment honte. Attrapant son poignet, je vis la marque rouge, je ne peux pas ne pas penser que si je ne lui avait pas fait cette crise, il ne se serait certainement pas fait ça. Mais j’attendais vraiment des explications, j’en avais besoin. Caressant ses traces, je ne lâchais pas, posant mon regard angoissé dans le sien. « C’est pas rien.. Timéo, dis-moi ce qui s’est passé, qu’as-tu fait ? ... S’il-te-plaît ... ». Sa déclaration m’alla droit au coeur. L’embrassant, je fis passer tous mes sentiments dans ce doux baiser. Je restais doux, et je n’étais pas trop passionné, me redressant je pose mon front sur le sien « Bébé... Pardonne-moi.... »

Passant au-dessus lui par son invitation, je prolonge longuement son baiser. Je ferme les yeux à sa déclaration. Je hoche positivement la tête. « Promis, je ne te quitte plus, c’est trop difficile sans toi.. Je crois que je suis déjà accro à toi, tu as pris mon coeur. » Frissonnant de sa main sous son haut, je gémis pendant le baiser. Il n’en fallait pas plus pour me chauffer. Continuant d’approfondir le baiser, je caresse son corps et plus particulièrement son torse. Levant un sourcil à ce qu’il me demande, je me relève, je ne veux pas aller plus loin sans être sur. Sûr qu’il ne regrettera pas, parce que si je vais plus loin, je n’arriverais pas à m’arrêter. « Tu en est certain, il n’aura plus de retour en arrière... » Attendant sa confirmation qui ne tarda pas à venir, je l’admirais. Fondant ensuite sur ses lèvres entamant un baiser plus que passionné, il était limite obscène. J’allais lui montrer que désormais il m’appartenait. Collant mon bassin au sien, je m’installe entre ses jambes. Retirant rapidement mon haut, je lâche juste ses lèvres pour enlever le morceau de tissu. Soupirant, j’enfouis ma tête dans son cou, mordillant sa peau. Je prenais les choses en mains, mais j’attendais qu’il me confirme avant que je n’ose quoique ce soit qu’il n’est pas encore essayé.

Il le regarda un moment alors qu'il le sentait tout contre lui, ça lui faisait tellement de bien d'être avec lui, il lui avait tellement manqué. Mais il était surpris de savoir qu'il était jaloux de son éditeur. Il les trouvait proche... « Je ferrais attention... je veux pas que tu sois jaloux, tu n'as pas besoin d'être jaloux. » Il lui adressa un petit sourire, puis son sourire s'effaça quand il pris son poignet pour lui caresser sa cicatrice lui demandant ce qui était arrivé il le regarda un moment, trouvant que c'était grave. « Je supportais pas d'avoir pu te faire du mal... je... » Il avait du mal à exprimer ce qu'il avait pu ressentir, il s'était sentit tellement mal qu'il n'avait pas pu faire autrement que se faire du mal. Il lui demandait de lui pardonner, il ne serait pas capable de toute façon de lui en vouloir. « Je serais pas capable de t'en vouloir... » Il caressa la joue de celui-ci et lui fit un petit sourire pour lui montrer ce qu'il ne lui en voulait pas.

Il eu un sourire alors que celui-ci lui disait qu'il ne le laisserait plus, qu'il avait pris son coeur, il l'embrassa doucement et lui dit : « Et toi tu as pris le mien... » Il l'embrassa doucement avant de lui dire qu'il voulait faire l'amour, enfin il ne le dit pas dans ses mots, il ne savait pas trop comment lui dire d'ailleurs, mais celui-ci semblait avoir compris, car il s'installa au dessus de lui et retira son t-shirt. Il voulait être sur que celui-ci le voulait, qu'il n'y aurait pas de retour en arrière. « J'en suis sûr... vraiment. J'en ai envie. » Il le regarda et passa ses mains dans le dos de celui-ci. Alors qu'il s'installait entre ses jambes, il lui faisait vraiment de l'effet, les baiser, le voir ainsi, le retrouver, il s'était mis à durcir, il avait une érection, ça le rendait un peu mal à l'aise, mais il en avait vraiment envie. Il déboutonna son short afin de lui laisser le champs libre, lui montrer qu'il était vraiment prêt...

Je pourrais me perdre dans son regard, dans ses yeux marrons que je trouvais tout simplement parfait. Passant mes doigts sur chacun de ses traits de son visage, je me mordille la lèvre inférieure, il faut sire que je commençais sérieusement à l’étroit... Il m’en fallait vraiment peu. « Je n’ai pas besoin d’être jaloux ? Alors que tu es bâti comme un dieu ? Tu repasseras... » Je rigole légèrement avant de prendre son poignet... Avant de relever des yeux horrifiés à sa réponse. Déposant mes lèvres sur sa blessure, je ferme les yeux, laissant mes larmes couler. « Ne refais jamais, ça, je ne le supporterais pas... » Remontant mes baisers le long de ses bras, j’arrive jusque dans son cou. Mais j’avais besoin de l’entendre qu’il ne m’en voulait pas, comme pour effacer tout le mal que j’ai pu lui faire ces derniers temps. « J’ai besoin que tu me le dises, s’il te plaît... C’est important pour moi » Frottant ma joue contre sa main, je lui fis un maigre sourire.

J’aimais retrouver le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau. Enfin tout ce qui m’avait manqué chez lui. J’affiche un énorme sourire alors qu’il me confirme que j’ai son coeur, je lui murmure « j’espère bien, car je suis très possessif. Et que tu m’appartiens. ». Prolongeant ce baiser, celui-ci semble prêt à aller nettement plus loin que la fois précédente. Passant à califourchon sur lui, je continue de l’embrasser. Mais je voulais déjà me rassurer, être certain que lui était totalement prêt à passer plus loin. « Alors très bien, tu m’arrêtes si jamais je vais trop loin... D’accord? » Frissonnant sous ses mains, je me colle davantage contre son torse. Mordillant son cou, je descend ensuite mes baisers sur son torse, insistant sur certains endroit. Le regardant faire avec un regard lubrique, je vais l’aider.

Spoiler:

Il lui caressa la joue, alors qu'il disait qu'il était musclé et attirant, qu'il ne pouvait pas s'empêcher d'être jaloux, il eu un petit sourire et rougit légèrement au compliment. Il lui demandait de ne plus se faire de mal, qu'il ne pourrait pas le supporter, Tim essuya la larme de celui-ci et lui répondit : « Je te le promets... mais toi promets moi que si jamais tu es jaloux de venir me voir, m'en parler... ne me refais plus ça, je le supporterais pas une nouvelle fois... » Il ne parlait pas qu'il ne l'aimerait pas, mais il ne pourrait plus se voir en face si jamais il lui faisait encore du mal en le rendant jaloux. Il voulait que celui-ci lui dise qu'il le pardonnait, il avait besoin de l'entendre. « Je te pardonne.. je t'aime et je te pardonnes... on oublie tout ça d'accord ? » Il ne voulait pas passer la soirée à en parler maintenant qu'il se retrouvait dans les bras de celui-ci à nouveau.

Il eu un sourire alors que celui-ci lui dit qu'il lui appartenait et il lui répondit après un doux baiser dans son cou : « Je suis tout à toi... j'ai envie d'appartenir à personne d'autres. » Il lui adressa un sourire alors qu'il sentait les baiser de lui un peu partout le long de son torse alors qu'il lui précisa de l'arrêter si jamais il allait trop loin... « D'accord, mais j'en ai envie... j'ai envie de toi... » Il lui adressa un sourire et passa une main dans ses cheveux alors qu'il lui donnait des baiser en descendant.

Spoiler:

Je le pensais vraiment, à vrai dire, je n’arrivais pas à trouver quelqu’un de plus beau que lui, ce n’était tout simplement pas possible. Je souris alors qu’il essuya ma larme. Je hoche a tête « Je te promet de faire le maximum pour ne plus être jaloux... » Caressant sa joue, je sais bien que je ne peux pas lui promettre de ne pas être jaloux du tout, je ne l’étais pourtant pas auparavant, comme quoi l’amour change beaucoup de choses. J’espérais seulement que je n’allais pas demeurer aussi invivable que la dernière fois, bien conscient que sinon Tim n’allait pas rester éternellement sous mes crises de jalousies répétées. Lui demandant pardon je souris quand j’entends ces mots, enfin rassuré... « Merci, et je t’aime tellement aussi. Et maintenant je m’occupe de toi. » Collant nos deux corps ensemble, j’avais bien l’intention de profiter de lui.

Mais je lui précisait donc que maintenant il n’était qu’à moi, ce qui était la stricte vérité puisque je n’étais guère partageur avec lui. Je frissonne en sentant ses lèvres dans mon cou. « Hmm... Je t’appartiens aussi... » Déposant de multiples baisers le long de son torse, je caresse en même temps ses hanches, les gardant bien contre mon corps. Je souris, mordillant sa peau pour lui faire comprendre que j’avais entendu. Rien que cette petite phrase avait provoqué un torrent d’émotion dans mon corps, je sais que je n’allais pas pouvoir tenir très longtemps, mais je n’en avais même plus envie maintenant, je voulais simplement le combler de plaisir.

Spoiler:

Il était soulagé de savoir qu'il avait l'intention de faire attention pour ne pas être trop jaloux, il allait faire des efforts et c'est ce qu'il demandait, il ne voulait plus vivre ce qu'il venait de vivre. Le serrant contre lui, le sentant contre lui, il se sentait très bien, même s'il stressait un peu, il avait peur de ne pas être à la hauteur lors de l'acte. Il eu un petit sourire quand celui-ci lui dit qu'il lui appartenait aussi.

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J’avais bien dis essayer, mais je ne suis même pas certain de réussir, à vrai dire, je venais tout juste de comprendre que la jalousie, on ne la contrôlait pas forcément. Mais je ferais de mon mieux, je ne voulais pas revivre ce calvaire. Et puis comme on dit quand on trouve l’amour, on réapprend tout, et bien je ne le pensais pas mais pourtant c’est vrai. J’avais encore beaucoup de chose à apprendre, et c’était un peu le but de ma vie, d’apprendre encore et toujours, ne jamais finir d’apprendre.

Sa réaction ne s’était pas fait attendre, et son plaisir ne faisait qu’augmenter le mien par miroir. Je voulais en priorité son plaisir plutôt que le mien. Le mien était secondaire, j’avais seulement envie de le voire prendre du plaisir. Et cela passait autant par mes mains que par ses caresses. Le laissant me déshabiller, je soupire sous ses effeuillages, ses effleurements le long de ma peau, provoquant ainsi la chair de poule. Souriant, je trouvais qu’il ne se débrouillait plutôt pas trop mal. Enfin malgré sa soi-disant inexpérience. Souriant, je maltraite un peu sa peau avec mes dents. J’y laissais mes marques un peu partout sur son corps. Mettant un peu plus de passion, je grogne à l’unisson avec lui. Je souris, remontant mes lèvres sur les siennes tout en inversant nos positions. Glissant ma main libre dans son dos, je la descend jusqu’à ses fesses. Les serrant entre mes mains, je pose mes deux mains sur ses hanches les laissant glisser au gré de sa descente. Je soupire bruyamment, me cambrant sous la combinaison de ces baisers et de ses caresses. Posant une main dans ses cheveux, je les serre entre mes doigts. Fermant les yeux, je profitais de toute les sensations qu’il me procurait. Gémissant un peu plus fort, je devais me retenir de ne pas me libérer maintenant, je voulais qu’il puisse en profiter encore un peu. Prolongeant avidement son baiser, explorant sa bouche avec ma langue. Plongeant mon regard dans le sien, je caresse sa joue doucement. « Tu n’es pas obligé tu sais... » Je ne voulais pas qu’il se force pour me faire plaisir... Ce qu’il venait de faire était déjà très bien, et m’avait excité comme peu avaient réussi à le faire. Je lève un sourcil tout en souriant... « Fais comme tu le sens bébé »

Il se laissait aller, il voulait lui faire le plus de plaisir possible, il ne voulait surtout pas le décevoir, il avait envie de lui faire plaisir et en même temps il avait peur de faire mal les choses. Il sentait ses dents contre sa peau qui le mordillait légèrement, il l'embrassait, il n'osait pas trop le mordiller comme lui le faisait, il descendait le long de son corps l'embrassant et n'osant pas aller trop loin, il ne se sentait pas prêt à le faire tout de suite. Il voulait lui faire plaisir, mais pour ça... le prendre dans sa bouche le rendait un peu, beaucoup mal à l'aise. Il remonta le long de son corps, il l'embrassa dans le cou... « Je voudrais... te sentir... enfin tu vois.. » Il était gêné de le dire, que voulez-vous ses sa première fois, il avait rougit un peu et il le serra contre lui pour l'embrasser dans le cou, il savait que ça faisait mal, surtout la première fois, mais il le voulait vraiment. Il avait envie de franchir cette étape avec lui, il ne se voyait pas au lit avec un autre personne de toute façon, il ne se voyait pas embrasser un autre homme. « Je t'aime... Liam. » Il l'embrassa avec passion, il se blottit dans ses bras pour le laisser passer à l'action, s'allongeant à côté de lui, il ne savait pas trop comment il était le mieux pour lui de se placé, il avait toujours cette érection qui ne le quittait pas, heureux de donner et recevoir du plaisir et de l'amour...

Il fini par s'allonger de côté sous les caresses de celui-ci et prendre sa main, il avait besoin de ce petit contact, il risquait de lui serrer fort la main durant l'acte, il fera quand même attention de ne pas trop lui faire mal. Dire que ce matin, il pensait que tout cela n'allait jamais arrivé, que Liam ne l'aimait plus, ne voulait plus rien savoir de lui... Il caressait la main de celui-ci de son pouce alors qu'il tentait de se détendre pour que tout soit plus facile...

J’avais chaud, très chaud. La chaleur de la pièce avait monté de quelques degrés depuis mon arrivée, il faut bien dire que nous ne sommes pas restés inactifs depuis que je suis arrivé. Cette dispute m’avait permis de clarifier pas mal de chose, c’était certainement un mal pour un bien après tout. J’étais sincèrement amoureux de Tim, Je tenais vraiment à lui comme je n’avais jamais tenu à un autre mec comme Tim. Même si je sais que notre relation connaitra certainement des tension, il faut dire que notre différence d’âge n’aide aucunement en ça, et le fait que l’on doivent se cacher ne m’aide guère à profiter pleinement de la relation et à être pleinement serein. Parce que j’aimerais m’afficher partout avec lui, hors ce ne pouvait pas être le cas. Parce que je pouvais perdre mon boulot, et ce, même si Tim ne suivait plus mes cours mais qu’il restait dans l’université, je ne pourrais m’afficher que des mois près qu’il ait réellement quitté l’université. Et encore, cela allait très certainement entâché ma réputation. Mais j’étais enfin prêt à en subir quelques conséquences. Mais je ne voulais pas que Tim interrompt ses études à cause de nous, être diplômé était important dans notre vie.

Il avait tellement peur qu'il se tanne de lui, qu'il le laisse parce qu'il n'ose pas assez, parce qu'il n'arrive pas à faire ce que d'autres ferrait, il avait tellement peur de le perdre à nouveau. Il l'embrassait doucement et lui proposait de faire quelque chose qui lui faisait un peu peur, mais il avait envie de le faire pour lui. Il fut surpris de l'entendre refuser, il le regarda un moment, mais il était soulagé malgré tout, il pris la main de celui-ci, il restait pas moins contrarié, il avait peur que celui-ci n'ait envie d'aller voir ailleurs, celui-ci lui assurait que non, alors qu'il l'embrassait et se collait contre lui et il l'entendait gémir de plaisir. Il ferma les yeux un instant et le regarda un moment. « Je veux pas te perdre... parce que je sais rien faire... » Il avait tellement peur de le voir partir. Il se sera à lui alors qu'il passa ses bras autour de lui, alors qu'il sentait les caresses de celui-ci, il l'embrassa doucement dans le cou. « Tu es vraiment sûr... que ça te dérange pas? » Il passa une main dans les cheveux et l'embrassa doucement, mes les caresses de celui-ci lui faisait vraiment de l'effet alors qu'il faisait aller son corps contre le sien et les baiser, ses mains, tout ça mélanger fini par le faire jouir. Faut dire qu'il n'avait pas vraiment d'expérience et il ne pouvait pas se retenir ou autre... il rougit alors que c'était une première encore, il espérait que celui-ci prenne aussi du plaisir. « Je veux que tu prenne du plaisir toi aussi. » Il l'embrassa dans le cou et sa main alla rejoindre l'intimité de celui-ci afin de le caresser comme il avait fait plus tôt. Il accéléra son mouvement comme Liam l'avait fait pour lui tantôt. Il voulait lui faire prendre du plaisir comme lui, c'était vraiment important à ses yeux. Il prenait un peu d'assurance dans ses mouvements, mais il restait un novice et il savait qu'il n'était pas à la hauteur ce qui le stressait.

Je comprenais qu’il puisse douter au vu des derniers évènements, on ne peut pas dire que j’ai été un modèle pour lui. Et puis pleins de choses, certains points étaient encore épineux. Maintenant je devais lui faire croire le contraire, que je tenais autant à lui que je le disais, ce qui était vrai après tout. Mais pour l’instant j’étais plutôt totalement concentré sur son seul plaisir. Le sentant enfin se détendre ce ne fût pas long à ce qu’il se libère, pour mon plus grand plaisir. N’arrêtant pas pour autant mes caresses, je succombas sous son traitement quelques minutes plus tard. Restant proche de lui, je m’écroula à ses côtés, tout en faisant attention de ne pas trop peser sur lui. Le laissant faire, je glisse mon bras autour de sa taille, bougeant afin de le reprendre dans mes bras. Passant l’autre bras autour de son cou, je pose ma main dans ses cheveux, les caressant tendrement. Retrouvant un souffle un peu régulier, je caresse distraitement son dos avant d’embrasser ses cheveux. Déposant de nouveau mes lèvres sur les siennes, je soupire doucement. « Je ne vais pas partir, et je n’ai pas l’intention de quitter ce lit avant longtemps... » J’avais même l’intention de continuer à m’occuper de lui... Caressant ses fesses, j’enfouis ma tête dans son cou, y déposant de nombreux baisers. J’avais pas mal de boulot, mais pour l’instant je ne voulais me concentrer que sur Timéo. Mais alors que l’on était installé tranquillement, j’entendis son ventre. M’arrachant un rire, je glisse une main sur son ventre. « Tu veux manger quelque chose ? » Bon j’étais chez lui, mais si jamais il avait réellement faim, j’allais peut-être trouver le courage de nous lever tous les deux. Attendant sa réponse je glisse mes mains le long de son corps.

Il voulait le garder tout prêt de lui, pour le reste de ses jours s'il le pouvait, mais il savait qu'à un moment il devrait sortir du lit. Seulement il était soulagé que celui-ci dise qu'il n'avait pas l'intention de partir, qu'il n'avait pas l'intention de quitter ce lit avant un bon moment. « Tu es mieux... sinon faudrait que je t'attaches, pas question que je te laisse partir. » Il n'arrivait pas à croire qu'il venait de dire ça alors qu'il se mit à rougir et se blottit contre lui se cachant le visage contre la peau de celui-ci. Il allait le prendre pour un pervers là! Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, celui-ci avait un tel effet sur lui, il l'aimait tellement, il se sentait être un autre homme avec lui, peut-être pas encore assez à son goût mais bon...
Il avait faim, mais il n'avait pas envie de le quitter, il voulait rester dans son lit avec lui, seulement, il commençait à avoir faim tellement il avait mal, il eu un petit sourire, deux secondes. Il se leva du lit et courra jusqu'à la cuisine totalement nu, une chance que les rideaux étaient fermés. Il ouvrit l'armoire et attrapa un paquet de biscuit et la ramena avec lui dans la chambre et retourna s'installer dans les bras de celui-ci et ouvrit le paquet à côté de lui et ce pris un biscuit. Peut-être pas le repas idéal après un moment de jeûne, mais il s'en foutait, il voulait juste être avec lui. « T'en veux ? Au chocolat, délicieux. » Il eu un petit sourire en coin et il l'embrassa doucement - après avoir fini sa bouchée bien sûr - il devait avoir un petit goût chocolaté maintenant. « Tu aimes le chocolat j'espère ? » Il l'embrassa encore et encore puis il se pris un autre biscuit, c'est fou comment il avait faim. « Manquerait juste un verre de lait et je serais au paradis. » Oui il avait un dent sucré, on le dirais pas à le regarder comme ça, il avait un corps parfait - selon certains du moins -, mais il faisait tellement de sport et il pouvait se le permettre avec les journées sans mangé qu'il avait passé.