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Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha

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MessageSujet: Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha EmptyMar 7 Jan - 15:37



❝Sasha x Daniel

   ♡ Quand deux hommes se détestent ça peux déménager


Nouvelle journée à l'aéroport de Woodburgh, en théorie aujourd'hui rien de spécial de prévus même si on essayait toujours de prévoir l'imprévisible car comme je disais toujours "vaux mieux prévoir que guérir". Les hommes et femmes sous mes ordres avaient terminé par m'accepté ce qui je dois l'avouer n'était pas toujours une masse à faire surtout quand il m'arrivait d'être mal luné. Mais depuis quelques jours j'étais d'excellente humeur et pour la première fois, il y avait des moments où je blaguais avec mes collègues. Après avoir passé une bonne matinée enfermé dans mon bureau à faire de la paperasse, chose que je déteste faire plus que tout, j'avais décidé de me prendre une petite pause déjeuné à l'extérieur de l'aéroport, j'avais mon portable et mon bip en cas d'ennuis.

Je retraversa le hall de l'aéroport sur le coup des treize heures trente un peu avant le début de me reprise de fonction, certains agents prenaient leurs pauses d'autres étaient en rondes ou aux portiques, tous se passaient bien. Encore une bonne journée où rien n'arrive, même si c'était ennuyant et qu'on avait l'impression dans ses jours à être payer pour ne rien foutre, ce n'était pas désagréable puis ça me changeais de mon ancien boulot où c'était le contraire. Je resta un moment devant les écrans de surveillance à observer le moindre mouvements de caméra, les contrôles se passaient bien, le passage des voyageurs étaient fluide, que du bonheur. Je me décida sur le coup des quinze heures à faire un tour dans l'aéroport, une sorte de petite ronde en somme. Je passa devant les guichets d'enregistrements et salua les employés que je n'avais pas encore croisé, je tenais à cette notions de respect qu'il pouvait y avoir et puis c'était mieux que de se tirer dessus. Je marchais tranquillement avec ma radio accroché à la ceinture quand j'aperçu un homme que j'avais appris à me méfier car il semblait vouloir tout faire pour m'attirer des ennuis, Sasha Tripps, un client qu'on avait fouiller et qu'il n'avait pas apprécier, depuis c'était très tendu entre nous deux. Je soupira et grimaça finalement un peu d'action s'annonçait dans cette journée calme, j'allais devoir faire des efforts pour ne pas être impulsif à ma grande habitude. Je continuais mon chemin tranquillement en espérant qu'il n'allait pas venir me chercher des ennuis une fois de plus.


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MessageSujet: Re: Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha EmptyMar 7 Jan - 20:25


New-York state of mind


New-York lui avait manqué. C’est en la voyant, toute petite à des kilomètres en-dessous de l’avion, que Sasha le réalisa. Les rues bondées de gens qui se fichaient de tout et de tout le monde, le mélange d’odeur créé par les petits stands de hotdogs, les cafés starbucks un peu partout, les effluves de parfum de chaque New-Yorkaise qui passait sous ses yeux. La ville qui ne dort jamais, un beau nom bien trouvé pour cette fameuse Grosse Pomme. L’avocat s’y plaisait beaucoup ! Pour dire la vérité, il l’aimait tellement qu’il aurait pu déménager si sa famille ne l’attendait pas à Pearl Trees. Sa famille et toute sa vie ! Car son cabinet d’avocat se situait à Pearl Trees, ses associés, ses clients, ses amis. Depuis tout petit, il y vivait et il s’y sentait bien. New-York resterait cependant sa terre d’accueil, son échappatoire rien qu’à lui.

Confortablement installé dans son siège, il avait continué à bosser dans les airs. Merci le vingt-et-unième siècle qui permet à ses humbles contemporains d’utiliser notamment les tablettes. Sasha s’organisait, relisait des dossiers, se concentrait sur des lois en particulier. Bref, avec une tablette entre les mains, il était capable de continuer à travailler même dans l’avion. C’est donc ce qu’il s’employa à faire durant le trajet parce qu’il est vrai que Sasha était un bourreau de travail ! Sa vie personnelle était toujours passée au second plan et il ne regrettait absolument rien. Aujourd’hui, la situation avait changé. Il avait une famille à soutenir et épauler, une relation amoureuse en pleine naissance et le job de sa vie. Dit comme ça, c’est vrai que ça semblait parfait. En fait, ça se rapprochait tout de même de la période la plus belle de sa vie !

- Merci ! Bonne journée !

Sasha arqua un sourcil. Ça le surprenait toujours quand les hôtesses de l’air le remerciaient ! Merci pourquoi au juste ? Pour avoir commandé deux verres et un plat ? Pour ne pas avoir été un passager trop chiant comme ceux qui passaient le vol entier à geindre, pleurer ou vomir ? Ou peut-être que derrière leur mot de remerciement se cachait l’énervement. L’avocat haussa les épaules, tira la petite valise dans laquelle il rangeait ses affaires pour les quelques jours passés à New-York et s’avança. Une tête connue s’approcha, l’homme poussa un soupir d’exaspération puis esquissa un sourire. Oui, il fallait l’avouer : ça l’amusait ! Parce que Daniel avait une tête qu’il ne pouvait pas encadrer et surtout parce que, au moindre faux pas, l’avocat pointu qu’il était, sauterait sur l’occasion de causer des ennuis à sa victime toute choisie. La remarque de Daniel le fit sourire davantage et il haussa les épaules d’un air innocent tout en déclarant, petit air moqueur à l’appui :

- Eh bien oui ! Que veux-tu, certains d’entre nous bossent ici ! On ne fait pas que se balader en rond avec une radio et l’allure d’un cow-boy boiteux.

Il hocha du menton tout en continuant à avancer, passant à côté de Daniel et patientant pour ses affaires. Ces deux-là ne pouvaient pas se voir, c’était clair ! En même temps, le garde était loin d’être le seul à ne pas pouvoir voir Sasha en peinture ! Ils étaient nombreux sur la liste. L’avocat ne faisait rien pour arranger la situation, calmer le jeu n’était pas dans ses habitudes et quand il n’aimait pas quelqu’un, la personne le savait très bien.

- Au fait shérif, quand tu auras fini de te pavaner devant toute la galerie, tu pourras peut-être te rendre utile et aider la demoiselle ?

Sasha désigna du menton une jeune femme qui semblait aux prises avec sa valise trop lourde. Honnêtement, tout aurait été bon pour rappeler à cet instant précis à Daniel que selon lui, il ne servait à rien ici ! Et encore moins à aider les gens ...

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MessageSujet: Re: Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha EmptyMar 7 Jan - 21:27



❝Sasha x Daniel

   ♡ Quand deux hommes se détestent ça peux déménager


L'avocat d'un âge guère plus avancé que le mien me tapait déjà sur les nerfs avec sa réplique, je n'avais aucun doute que si certains d'entres nous ne se baladeraient pas avec des radios à la main, ça serait l'anarchie et il ne serait pas si tranquille. Et puis son cowboy boiteux il pouvait se le mettre à un endroit que je ne dirais pas. Je serais déjà la mâchoire, ça commençait bien, même pas une minute que j'étais face à lui que je bouillais de l'envoyer chier. Ça promettait je vous le dis. Mais je ne pouvais pas rester sans rien dire c'était un peu trop me demander. Je le regarda et souriais d'un air arrogant.

▬ C'est grâce à des cowboys comme nous que vous pouvez voyager tranquillement monsieur.

Qu'est-ce que je donnerais pas pour qu'il ne remette pas les pieds ici mais n'ayant rien fait de mal, je ne pouvais pas prendre la décision de l'interdire de venir et aller. Une fois de plus il remit une couche, je serra la mâchoire une fois de plus pour ne pas dire une connerie qu'il me ferait, j'en suis sur, regretter. L'homme me signala une demoiselle à nos côtés qui semblait être en difficulté face au poids de ses valises. Je lui lança un regard qui parlait de lui même et alla aider la jeune femme en souriant, elle était réticente mais finalement accepta mon aide après lui avoir expliqué que j'étais de la sécurité. Je repris ma ronde tranquillement ignorant cet avocat plus que pointilleux. Peu de temps après je reçu un appel radio annonçant une agression à quelques mètres de moi, je partis en courant tout en répondant. Dans ce genre de situation tout pouvait dégénérer très vite. En arrivant des collègues étaient déjà sur place mais n'osaient pas aller au contact avec l'homme qui était encore menaçant et ce même avec nous. Je demanda discrètement à une agente qu'elle appelle une patrouille de police. Je me tenais face à l'homme qui ne cessait de m'insulter et que je tentais de résonner en vain.

L'homme était de plus en plus violent et commençait a me bousculer, décidément il n'avait pas peur. Quelques secondes après on termina par en venir aux mains, je l'immobilisa au sol et cette fois je demanda moins discrètement qu'on demande à ce qu'une patrouille vienne immédiatement récupérer l'homme avant qu'il ne refasse une autre connerie.


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MessageSujet: Re: Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha Quand deux hommes se détestent ça peux déménager n'est-ce pas Sasha EmptyJeu 9 Jan - 22:06


New-York state of mind


Sasha ne supportait pas ces gens hautains et plein de suffisance qui se croyaient tout permis parce qu’ils avaient une arme coincée entre les fesses. C’était pour lui, le plus insupportable ! Qu’ils s’octroient des avantages certains le mettait hors de lui. Voir cet individu approcher, avec sa tête que Sasha ne pouvait encadrer et son attitude de pré-adolescent empoté, ça lui donnait envie de lui lancer une bonne petite pique. Si le client est roi, l’employé ne l’est pas. Sasha savait que les règles obligeaient son interlocuteur à lui répondre de façon courtoise et ce, même s’ils se détestaient cordialement. D’ailleurs, la réplique de Daniel le fit rire. Voilà la meilleure de l’année !

- Ne t’attribue pas le mérite de toute la profession ! Tous les agents de sécurité ne passent pas leur journée à se balader gentiment dans l’aéroport en comptant les mouches, c’est une qualité personnelle très authentique chez toi.

Il venait de récupérer son bagage et pouvait avancer plus aisément, libéré de la présence de ce gorille en pleine démonstration de son incompétence, l’avocat put reprendre sa journée là où il l’avait laissée. Enfin, presque ... puisque de toute évidence, le personnel de cet aéroport manquait cruellement de professionnalisme ! Un agent de sécurité bouscula Sasha, trop occupé à reluquer le fessier d’une hôtesse de l’air. Furieux, l’avocat ne se gêna pas pour lui lancer sur un ton acerbe :

- Chaque choc violent entraîne la mort d’un neurone, apparemment dans votre métier, vous devez être sacrément violentés pour en arriver à un tel stade !

Évidemment, l’individu n’apprécia pas et monta sur ses grands chevaux. Sans doute ne savait-il pas qu’il s’adressait à un avocat de renom, réputé pour n’avoir aucune limite, aucune gêne, aucun respect pour rien ni personne. Le morveux paierait cher ! Les beuglements bestiaux de l’agent de sécurité se firent de plus en plus sonores. Sasha n’hésitait pas à se moquer ouvertement de l’individu en affichant une mine désinvolte. Son temps était précieux, ces idiots le lui faisaient perdre ! Et puis voilà que débarquaient les collègues et encore ce Daniel qui voulut jouer les plus malins. L’avocat secoua la tête, excédé par leur stupidité flagrante. Quand il voulut se frayer un chemin parmi la meute d’orangs outans armés qui s’étaient amassés autour de lui, ce cher Daniel se permit de poser la main sur lui ! Pire, il l’immobilisa. C’était trop, beaucoup trop. Sasha articula de façon très claire et distincte :

- Ça mon pauvre vieux, tu vas le regretter ! Personne, jamais, ne pose la main sur moi ! Qui plus est, n’ayant montré aucun signe d’agressivité à votre encontre, je suis totalement dans mes droits. Le procès va vous coûter si cher que tu seras très vite renvoyé en mission bien loin d’ici ! Pour le bien de tous, d’ailleurs !

Sasha fit un mouvement des épaules pour se dégager des mains de l’agent. Il se redressa et réajusta son costume qui avait coûté la somme des deux reins, du trois quart du foie et d’un poumon de Daniel réunis. L’avocat était heureux, euphorique même ! Depuis le temps qu’il cherchait un prétexte pour envoyer ce gars à la casse. Il venait de lui servir son mot d’adieu sur un plateau d’argent !

- Il me tarde que les autorités débarquent !

Oh que oui ! Pour être impatient de voir les flics débouler, il l’était !


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